Opposition Classiques Keynes

davantage interventionnistes. 4.1. Les fondements théoriques du libéralisme D’un point de vue historique, la théorie économique libérale recouvre pour l’essentiel la pensée des économistes classiques, néoclassiques, monétaristes, des nouveaux classiques et des économistes de l’offre. •Les classiques ont posé les bases de l’économie politique moderne au XVIIIe et XIXe siècle. Ils ont les premiers développés une vision libérale de l’économie en posant notamment la « loi des débouchés » de Jean-Baptiste

chaque personne en âge de travailler. Pour calculer le taux de chômage, on établit le rapport entre : Le taux de chômage = Les chômeurs / Population active occupée 4 Les analyses théoriques du chômage : 4.1 les classiques et les néoclassiques : Pour le auteurs classiques Libéraux puis les Néoclassiques :le plein emploi était un élément entendu dés lors que les mécanismes du Marché pouvaient fonctionner librement, partant de l’hypothèse de flexibilité des Prix (dont le prix du travail :

économique et l’échange dans tous les points d’un espace abstrait et homogène. Tel contenu qui défie l’observation et l’expérience, présupposant l’indépendance des petites unités entre elles, se justifie grâce à la référence à l’équilibre de la mécanique classique de Lagrange (1758) et de son système d’équations. Ce système statique conduit, en dehors du temps, à la coïncidence de l’optimum des unités individuelles avec l’optimum total : ces optimums sont co-determinés mathématiquement en régime de concurrence

activités ne font que les transformer : le meunier transforme le blé en farine et le boulanger transforme à son tour la farine en pain. » * Au moment de la révolution industrielle (1780 – 1880) Naissance d’un courant d’économiste : l’école classique (Adam Smith, Ricardo, JB Say, Malthus…). Smith donne une def de la richesse dans Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations, livre 2, chap 3 : « certaines des plus grave et les plus importante en même temps que certaines des

explication : la diminution de la capacité à extraire de la plus-value. Cette diminution trouve son origine dans la substitution progressive du capital au travail (le progrès technique). Il nous décrit la situation de « reproduction élargie » (en opposition à une reproduction simple, soit stationnaire) dans laquelle une partie de la plus-value a été capitalisée, c’est-à-dire convertie en force de travail et en moyens de production supplémentaires. Ce trait psychologique, cet élargissement infini est

Chapitre 1.2. Histoire de la pensée économique Modifié le : 21/10/07 Section 1 Le courant fondateur des classiques Section 2 Les grands courants de la pensée économique contemporaine (néoclassique, keynésien, marxiste) Section3 Repérage des orientations théoriques récentes Section 4 Analyse des divergences et des convergences Prolégomènes : quelques définitions de base I. L’économie Économie signifie en grec les règles (nomos) de la maison (oikos). Elle s’intéresse aux

Introduction I Qu’est ce que la Macroéconomie ? A quoi sert la Macroé- conomie ? La macroéconomie est le domaine de l’économie qui s’intéresse au fonctionnement d’ensemble de l’économie. Elle se définit par opposition à la microéconomie qui s’interesse davantage aux comportements des agents économiques. Il est toutefois difficile de sépa- rer analyses microéconomiques et analyses macroéconomiques. C’est davantage par les questions qu’elle se pose que se définit le champ de la macroéconomie. La

y avoir une manque d’or malgré tout théorie de référence car limite la création de monnaie scripturale. Tout cela correspond au système de Breton Wood : 1945 - 1971. 1.2. Référence à la neutralité de la monnaie. Pr les économistes libéraux (classique et néo), il y a 2 sphères dans l’éco : dichotomie (séparation) entre une sphère réelle et sphère monétaire. Dans la sphère monétaire la quantité de monnaie est décidée par la banque centrale et n’influence pas la sphère réelle càd l’activité éco

immédiat et un actif sans risque. Donc la monnaie n’est pas un bien comme les autres et les différences résident non dans la qualité de la monnaie mais dans sa nature. C’est ce qu’a fait Keynes dans "Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie" (1936). Les propriétés de la monnaie selon Keynes sont trois : - L’élasticité d’offre de la monnaie est nulle. Il n’existe pas de mécanisme automatique qui en réallouant des facteurs au secteur monétaire permettrait de produire plus de monnaie

Les premiers jalons de la théorie libérale, Les Classiques Contemporains de la première RI, les classiques ne forment pas un courant de pensée uniforme 1.1. Contexte 1.1.1. Sur le plan économique La croissance économique. Phénomène qui a débuté en Angleterre puis a atteint progressivement l’Europe occidentale puis le Japon. Hausse de p° industrielle (textile et métallurgie). En Europe, aux USA et au Japon en moyenne de 2% par an mais à l’époque ça impliquait une multiplication du PIB par 6