Opposition Classiques Keynes

Adam Smith. Adam Smith a toujours été considéré comme le père fondateur de l'école libérale. En 1776, il publie son ouvrage célèbre : « recherche sur la nature et les causes des richesses des nations ». Il s'agit du premier grand ouvrage classique d'économie. Adam Smith glorifie les lois du marché et vante les mérites du capitalisme auto--régulé par la concurrence. La « main invisible » du marché suppose que la recherche par chacun de son intérêt individuel permettra d'atteindre l'intérêt général

décision de consommer est Keynes. Il le fit à travers la loi psychologie fondamentale. Cette loi écrite par Keynes en 1936 dans la théorie générale dit : «En moyenne et la plupart du temps, les hommes tendent à accroitre leur consommation à mesure que leur revenu croît, mais non d'une quantité aussi grande que l'accroissement du revenu». Cela signifie qu'il considère que si un revenu augmente de 10%, la consommation sera augmenté d'environ 5%. Si je l'augmente de 5%, Keynes dira que ma propension

KEYNESIENNE : Monnaie active 6 1. Le motif de transaction 6 2. Le motif de précaution 6 3. Le motif de spéculation 7 III. REACTIONS AUX ANALYSES KEYNESIENNES 9 A. L’ANALYSE DES MONETARISTES 9 B. LES NOUVEAUX CLASSIQUES 12 1) Les hypothèses des nouveaux classiques 12 2) La politique monétaire des nouveaux classiques 14 C. L’ECONOMIE DE L’OFFRE 14 CONCLUSION 15 BIBLIOGRAPHIE 15 INTRODUCTION Peut-on utiliser la monnaie pour stimuler ou freiner l’activité économique ? La majeure partie des théoriciens de la

Keynésienne Pensée « libérale » (Libre échange) Pensée (Emergence) 6è-16è : Moyen âge 15è-16è : Marche vers le capitalisme Mercantilisme (bullioniste) 17è : Montée des bourgeoisies Mercantilisme (commercial / Industriel) Pensée Classique Pensée Néoclassique 18è : Révolution agricole 1800-1870 : Capitalisme industriel 1870-1945 : Dépression et Guerres 1945-1978 : Les trente glorieuses Depuis 1980 : Mutation du capitalisme.. Mondialisation.. FPL Introduction à

L'auteur a choisi de présenter les théories économiques en les classant en quatre courants: classique, néoclassique, marxiste et keynésien. Cette méthode est à notre avis l'une des plus fructueuses, et elle rend bien compte de la nature des controverses en économie. Il faut se garder, toutefois, d'ériger cette conception en critère absolu. Ainsi l'auteur affirme-t-il d'entrée de jeu qu'il y a une opposition irréductible entre les quatre approches mentionnées, ce qui l'a conduit à choisir sa méthode

monétaire 0.1 La bipolarité du savoir économique (Platon et Aristote 5ème et 4ème siècle av J.C) 0.2 Controverse médiévale entre réalistes et nominalistes (12ème et 13ème siècle) Partie I : Les controverses fondatrices de la pensée monétaire classique 1. La controverse Bodin / Malestroit et la théorie quantitative de la monnaie 1.1 La thèse de Malestroit 1.2 La réplique de Jean Bodin 1.3 Bodin, précurseur de la théorie quantitative de la monnaie 2. Des controverses autour de la valeur de la monnaie

* Chapitre 1 : la place de l’économie dans la pensée grecque * Chapitre 2 : l’économie subordonnée aux impératifs politiques et juridiques. Mercantilisme, physiocratie… * Chapitre 3 : les classiques et le marché autorégulateur * Chapitre 4 : la pensée de Marx, le dernier des « classiques » Introduction générale La plupart des économistes que nous étudieront ont été également des philosophes. Au niveau de l’histoire de la pensée de l’Humanité, les premiers auteurs à se spécialiser

Econometrica intitulé "Keynes and the classics : a suggested interpretation" (Keynes et les classiques : une interprétation possible), dans lequel il explique le modèle IS-LM, son interprétation de la Théorie Générale (TG). L'article de Hicks tente de faire une synthèse des analyses keynésienne et classique ; Hansen reprendra et diffusera l'idée plus tard, en 1952, dans son livre Théorie Monétaire et Politique Fiscale. Le modèle IS-LM est considéré comme une version formalisée des idées de Keynes, une représentation

inspirent et évoluent l’un avec l’autre. En France, le courant des physiocrates pensaient que seul l’agriculture était productive, ils étaient profondément inspirés par la société agraire dans laquelle ils étaient ancrés, or, 50 ans plus tard les néo-classiques déclarent que l’agriculture et l’industrie sont productifs, comme quoi les théories évoluent avec le temps ainsi qu’avec les avancés. La réciproque est aussi vraie, en effet, les discours sur l’économie ont aussi tendance à modeler l’économie, car

renouvellement, comme celle des années 1970, avec un retour vers le libéralisme. LES CLASSIQUES ET LES NÉOCLASSIQUES Les auteurs de ces courants peuvent être rassemblés selon leurs hypothèses de travail, mais aussi dans une certaine mesure, par une croyance partagée en la suprématie du marché, comme moyen d’information pour la prise de décision. À l’exception de J. S. Mill et de S. de Sismondi, la plupart des auteurs classiques sont plutôt des libéraux. En revanche, tous partagent la conviction que la