Optimisme Leibniz

voltige de branche en branche » et utilisent au gré de leur fantaisie un rayon du soleil ou la queue d’une comète. Proscrivant tout sérieux dans un chiffrage qui raille les calculs de proportions effectués par des savants comme Wolff, un disciple de Leibniz, Voltaire donne une hauteur de 32 km à son ami rencontré sur Saturne, comme si la taille des ET devait correspondre aux dimensions de leur planète. Dans le pays des géants de Sirius, il existe des collèges de jésuites et une cour aussi « remplie de

guerre débarrasse la terre d’ « environ neuf à dix mille coquins qui en infestaient la surface ». Ceci est bien entendu démenti par le charnier des victimes évoqué « neuf à dix mille » morts. + périphrase ironique qui rappelle les théories de Leibniz « ôta du meilleur des mondes » - Reprise du vocabulaire spécifique à la philosophie optimiste pour justifier l’horreur «  la baïonnette fut la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes » ( comme si la mort de milliers

Humain 1694) L'identité personnelle ( Locke, Essai sur l'entendement humain 1694) Introduction Ce texte de Locke traite de la notion de personne, quil met en rapport avec... Premium l'Identité Personnelle Entre Locke Et Leibniz peut-être, de toutes celles de l'identité personnelle, mais comme tout son effort ici, dans ce texte où il discute les thèses de Locke, vise à limiter le rôle de... Premium Histoire Du Droit : Commentaire De Texte De La Séance

mieux. L’optimisme chez Leibniz * Leibniz, philosophe allemand théoricien de l’Optimisme, était physicien, mathématicien, historien, bibliothécaire... Pour Leibniz, chaque chose est déterminée par la fatalité en bien: *Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles *. * Le philosophe Leibniz expose en 1710 sa Théodicée : il y décrit un système philosophique célèbre fondé sur « une harmonie préétablie » pour expliquer l’existence du mal sur Terre. Leibniz, pour sa théorie, part

- 1714 : l’Électeur de Hanovre monte sur le trône d’Angleterre devenant George Ier. Leibniz attendra vainement des princes qu’il servit naguère une nomination d’historien de la Cour ou un appui dans sa querelle avec Newton. - 1716 : il meurt dans une totale solitude. Seule l’Académie de Paris lui rend hommage (éloge de Fontenelle en 1717). La querelle Newton / Leibniz Les dernières années de Leibniz sont assombries par la retentissante controverse avec Newton sur l’antériorité de l’invention

I- L’INCONSCIENT FREUDIEN A- Le concept d’inconscient. 1) L’idée qu’une partie de notre psychisme échappe à la conscience n’est pas nouvelle, et elle est même "dans l’air" à la fin du XIXe siècle : a) Leibniz et les petites perceptions (Nouveaux Essais, Préface, pp.41-42) Avant Freud, certains philosophes avaient déjà montré que la représentation cartésienne du psychisme humain était insuffisante. Pour Descartes, l'esprit s'identifiait avec la conscience, avec la

amour : “ on n’aime jamais personne, on n’aime que des qualités ”  on ne s’aperçoit du sujet que ds son extériorité : solitude ontologique, autrui est celui que je ne peux pas atteindre, ni rencontrer, dont l’existence intime reste inaccessible. - Leibniz : autrui = une entité inconnaissable pour moi - Husserl : existence d’autrui est vécue a priori, et se donne immédiatement comme présence  solitude totale n’existe pas. 2) La reconnaissance du moi par autrui - Hegel : autrui est condition

perception immédiate. 4) Puissance/Acte – Possible/Réel : Aristote distingue la puissance et l’acte. Être en acte, c’est avoir développé, sur le plan de la réalité, tout ce qui n’était que potentialité ; ainsi, une graine est, en puissance, une plante. Leibniz distingue quant à lui le possible du réel ; Une chose possible est une chose non contradictoire (au sens logique) mais toute chose possible n’est pas réelle ; elle n’existe pas nécessairement. 5) L’existence concrète de l’individu : Kierkeggard affirme

conscience. Comment cela est-il possible? Leibniz, philosophe allemand du XVIIème siècle, a expliqué comment nous pouvons avoir des perceptions et ne pas savoir que nous les avons. Il y a une première raison: j'ai certaines perceptions mais j'y suis tellement habitué ou je suis tellement captivé par autre chose que je les ignore. Comme à tout moment nous sommes assaillis par une infinité de perceptions, nous sommes contraints d'en faire une sélection. Leibniz avance une deuxième raison : il y a en moi

chose d’impérissable parce qu’il n’y a rien de vivant." [Joseph Joubert] "Les mathématiques, science de l’éternel et de l’immuable, sont la science de l’irréel." [Ernest Renan] "La mathématique universelle... est une logique de l’imagination." [Leibniz] "Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve." [Euclide d’Alexandrie] "Les mathématiques sont la poésie des sciences." [Léopold Sédar Senghor] "J’étais alors en proie à la mathématique. Temps sombre ! enfant ému du frisson poétique