Optimisme Leibniz

point de vue naïf et intellectuel du jeune philosophe. a) Une vision esthétique de la bataille. Une parade, une fête : mot « harmonie » confirme d’emblée à lui seul cette vision positive de la guerre. Cf : doctrine de « l’harmonie préétablie » de Leibniz où guerre cesse d’être absurde car s’inscrit dans logique de volonté providentielle qui veille au destin des hommes. - Termes laudatifs « beau, leste, brillant, ordonné » (l.1) associés à l’intensif « si » de la première phrase accumulation d’adjectifs

métaphysico-théologo-cosmolonigologie : cette discipline dont le titre prétentieux laisse pourtant entendre le terme « nigaud » tend à démontrer que tout est le mieux dans le meilleur des mondes ! Mais l’optimisme de Pangloss – double du philosophe allemand Leibniz - est vite démenti par la litanie des malheurs qui s’abattent sur le monde et sur le philosophe lui-même : ni la vérole, ni la pendaison, ni l’esclavage ne pourront le faire taire, ni lui enlever sa foi en l’optimisme. 3. Les personnages secondaires

Leibniz Gottfried Wilhelm Leibniz 1er juillet 1646 - Hanovre, 14 novembre 1716) est un philosophe, scientifique et mathématicien allemand qui a écrit en latin, français et allemand. Il est diplômer d'un baccalauréat en philosophie ancienne en 1663. il étudie ensuis a Léna ou il étudie les mathématiques. Plus tard il entre a l'université de droit. Il part en France en 1672 en mission diplomatique et y reste jusqu'en 1676. Il rencontre de grands scientifique. Il fait partie du courant rationaliste

fin du conte que Candide pourra pour la première fois, faire taire Pangloss et lui exposer sa pensée sans redouter quelque moquerie de sa part. Pangloss : Pangloss est le précepteur de Candide avance des théories sur l’Optimisme inspirées de Leibniz qui finissent par devenir de plus en plus pathétique vers la fin du récit. Cunégonde : C’est la fille du baron de Thunder-ten-tronckh, elle attire plus par sa beauté que part son intelligence. Martin : C’est l’opposé de Pangloss. Très terre-à-terre

apporte une explication partielle : l’incohérence de notre destinée est la conséquence d’une vue limitée. Si nous avions plus d’élévation spirituelle, nous pourrions mieux juger de l’ordre universel. La position de Voltaire est alors proche de celle de Leibniz : "il n’y a point de hasard : tout est épreuve ou punition, ou récompense ou prévoyance". Même l’existence du mal est justifiée. Plus important encore, Voltaire, en philosophe qui croit à la raison, nous livre une pédagogie, cherche à rééduquer

les «a priori» absurdité des raisonnements par causalité (lunettes, Colomb et sa maladie, volcan à Lisbonne, vante le dur périple) Chap 4-5 => n'agit pas (Candide lui dit de se faire soigner, il ne soigne pas Candide) Chap 28 => borné (Leibniz ne peut avoir tord) Chap 1 => désir charnel Chap 7 à 26 => Pangloss n'est présent que par références (grande influence) -- Cunégonde : sujet de la quête amoureuse, nom impératrice d'All canonisée Chap 1 : indices sensualité (La relation

philosophique dont il va se moquer. Il s’agit d’un narrateur omniscient qui raconte l’histoire au lecteur. Candide est élevé au château d'un baron, avec le fils du baron et sa fille, Cunégonde, sous la direction du précepteur Pangloss, disciple de Leibniz, qui enseigne que tout est toujours pour le mieux dans le meilleur des mondes. Amoureux de Cunégonde, il est chassé par le baron, puis enrôlé de force par des recruteurs de l'armée bulgare; il déserte, passe en Hollande et retrouve Pangloss en pitoyable

actes ? » L’inconscient dans la philosophie classique et moderne C’est Leibniz le premier qui a démontré l’insuffisance de la conception cartésienne de la conscience (cogito). Pour Descartes, conscience et pensé étaient intrinsèquement liés. La conscience étant la volonté réfléchie, la faculté mentale d’appréhender de façon subjective des phénomènes externes ou internes (à ne pas confondre avec la conscience morale). Leibniz dissocie pensé et conscience en affirmant que bien que nous pensons toujours

d'amour ? – La philosophie → Voltaire s'oppose avec virulence au philosophe et mathématicien allemand Leibniz. Ce dernier voulait répondre à la question : d'où vient le mal ? Sa théorie repose sur la monade (entités qui composent l'Univers pour essayer de créer une harmonie) : chaque mal est compensé par un bien. Cette théorie révulse Voltaire car elle n'incite pas au progrès, puisque Leibniz pense que l'Univers est régi par le bien, et risque d'inciter les gens à la passivité. Or, Voltaire prône

mieux. Un des passages dans lequel Candide refuse clairement l’optimisme de son professeur se trouve au chapitre 19 : « O Pangloss ! s’écria Candide, tu n’avais pas deviné cette abomination ; c’en est fait, il faudra qu’à la fin je renonce à ton optimisme. » Nous pouvons donc arriver à la conclusion que Candide reflète la personnalité de Voltaire. Comme nous l’avons vu dans le paragraphe précédent, Pangloss incarne Leibnitz et Voltaire incarne Candide. Voltaire et Leibnitz sont donc deux antagonistes