Optimum de Pareto

contrainte (cf débat économie trop mathématisée). Raisonnement en termes d’équilibre : - Equilibre partiel : Equilibre de l’offre et de la demande = équilibre du marché (équilibre partiel Marshall) - Equilibre efficace au sens de Pareto (optimum de Pareto) : tout équilibre de marché est une situation optimale. Etat idéal dans lequel vous ne pouvez pas améliorer le bien-être d’un individu sans détériorer celui d’un autre. Nécessite une concurrence pure et parfaite : atomicité de l’offre et

plein-emploi, sans excès de capacités de productions sur l’ensemble des marchés de sorte que le décideur public n’a à intervenir ni par le biais de la politique monétaire ni en utilisant la politique budgétaire. L’équilibre est dans ces conditions Pareto-optimal : aucun agent ne peut améliorer son utilisé sans dégrader l’utilité d’un autre. Equilibre le plus efficient étant donné les ressources initiales. Hypothèses : H1 : les marchés sont rigides par la concurrence parfaite, par conséquent

vraie définition de l’état. - Les libéraux interventionnistes (Keynes & marginalistes). Ils laissent le maximum de place au marché, mais il y a des imperfections que l’état doit corriger, mécanisme tempéré. Dans les marginalistes il y a surtout Pareto et Samuelson. Et l’on distingue un sous mouvement avec la théorie des besoins publics (Kolm & Musgrave), ils essaient de synthétiser les libéraux interventionnistes et sont à l’origine des réformes de la loi de finance. - Les marxistes. Conception

Objectif………………………………………………………………………………44 5.3. Démarches………………………………………………………………………….44 5.4. Outil de la qualité…………………………………………………………………45 5.4.1. Le brainstorming (BS)………………………………………………… 45 5.4.2 .Diagramme causes-effets (Ichikawa)………………………………...47 5.4.3. Diagramme Pareto……………………………………………………..48 5.5. Application des outils de la qualité à la zone d’étêtage……………..………51 5.5.1. Définition ……………………………………………………………….51 5.5.2. Analyse des causes …………………………………………………….51 Chapitre VI : Amélioration du fonctionnement des

causes principales d’anomalies. Un classement des anomalies par « criticité » (enjeu financier) décroissante (diagramme PARETO) contribue à déterminer les programmes d’amélioration prioritaires. 2. Approche dynamique : Le processus d’amélioration doit tendre vers le niveau de qualité correspondant à l’optimisation des couts résultant de la non-qualité. Cet optimum est atteint lorsque le cout des anomalies (décroissant) est égal au cout de la fonction qualité (croissant). Dans le temps

l’équipement) et un dernier (moins important) le marché des biens futurs. Si on laisse fonctionner ces marchés interdépendants librement, on arrive à un équilibre génl entre offre et demande, cet équ. serait satisfait par les agents économiques (optimum de PARETO) Troisième raison : nouvelle théorie de la valeur d’échange : LA THEORIE DE LA VALEUR D’UTILITE. Les néoclassique partent de l’hypothèse qu’il n’y a pas que le travail qui est productif, mais le capital aussi (postulat car ils ne l’ont

7 mars 10 4 La quantité totale :  = 30 +10 + 10 = 50 Pit = Qit / = {30/50; 10/50; 10/50} CUMPi = 5*30/50 + 7*10/50 + 4*10/50=5,2 € Quantité économique  Optimiser le délai et le point de commande  Objectif • Trouver un optimum (quantité économique) entre le coût de lancement ou d’approvisionnement et le coût de possession (de stockage)  Notations • • • • N, nombre d’articles consommés sur la période Pu, prix unitaire de l’article (prix d’achat) t, taux de

qui “émet” des effets externes négatifs ne dédommage celui qui les subit. De la sorte, l’équilibre concurrentiel de marché obtenu grâce aux mécanismes des prix ne correspond pas en présence d’effets externes à un équilibre social optimal au sens de Pareto[3], car l’agent émettant des externalités positives (négatives) a, par intérêt privé, tendance à limiter (hausser) son activité au-dessous (au-dessus) du niveau “optimal” d’un point de vue social; d’où l’interprétation de ces effets en termes de défaillances

arrivée chez le client D, - la gravité de leurs effets de la défaillance pour le client G - la criticité caractérise l'importance de la défaillance C = 0 x D x G. Elle permet de hiérarchiser les défaillances potentielles en utilisant le diagramme de Pareto. 4ème étape : rechercher les solutions (démarche PDCA) Une fois les solutions trouvées mais pas encore mises en place, réévaluer la criticité prévisionnelle GESTION DE LA QUALITÉ Des outils pour la qualité Sandrine Quesnel 11 C' = O'x Dx

arrivée chez le client D, - la gravité de leurs effets de la défaillance pour le client G - la criticité caractérise l'importance de la défaillance C = 0 x D x G. Elle permet de hiérarchiser les défaillances potentielles en utilisant le diagramme de Pareto. 4ème étape : rechercher les solutions (démarche PDCA) Une fois les solutions trouvées mais pas encore mises en place, réévaluer la criticité prévisionnelle GESTION DE LA QUALITÉ Des outils pour la qualité Sandrine Quesnel 11 C' = O'x Dx