Opérations Arbitrage Couverture Spéculation Gestion Portefeuille

limites D) Sur les alertes qu’aurait méconnues la hiérarchie 1) L’incompatibilité du résultat déclaré avec le mandat confié 2) Les soldes de trésorerie 3) Sur l’évidence des alertes EUREX 4) Sur l’importance des volumes traités via FIMAT E) Sur les opérations fictives 1) Sur les techniques employées 2) Les arrêtés mensuels de mars et avril 2007 3) La fin de l’année 2007 et les premiers jours de 2008 F) Sur les faux courriels G) Sur le débouclage IV - Les conclusions déposées à l’audience par la défense

qualité, délais, variété, développement durable Performance = f(P, Q, D, V, D) - PARTIES PRENANTES: actionnaires, clients, dirigeants, salariés, société Satisfaction = max (A, C, D, S, S) - CONCURRENCE: globale et locale, co-opétition Gestion = f(G, L, C) Deuxième constat: des stratégies d'entreprise plus complexes Année 70’- 80’ 80’-90’ 00’-10’ Définition stratégie Planification Adaptation Invention Attentes du marché Consommation de masse Besoins spécifiques Customisation

capitaux. Une telle titrisation s'opère en regroupant un portefeuille (c'est à dire un lot) de créances de nature similaire (prêts immobiliers, prêts à la consommation, factures mono-thématique, ...) que l'on cède alors à une structure ad hoc (société, fonds ou trust) qui en finance le prix d'achat en plaçant des titres auprès d'investisseurs. Les titres (obligations, billets de trésorerie, ...) représentent chacun une fraction du portefeuille de créances titrisées et donnent le droit aux investisseurs

qui confient leurs fonds à des banques pour disposer d’un compte courant ne sont pas donc des créanciers ordinaires. Leur créance résulte non pas d’un choix d’investissement mais du service qu’ils sollicitent auprès de leur banque : un service de gestion des moyens de paiement. Ils n’ont pas d’information sur l’utilisation de leurs fonds, et même, s’ils disposent d’une information suffisante, leur faible surface financière et leur dispersion ne les permettent plus d’exercer un contrôle efficace.

admissibles et arbitrage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Martingales et arbitrages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1 Martingales et transformées de martingales . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 Marchés financiers viables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Marchés complets et évaluation des options . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.1 Marchés complets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2 Evaluation et couverture des actifs

liquidité. Ces jours-ci, les banques ne se prêtent plus entre elles. Besoin de liquidité pour régler ses dettes, assurer les retraits • Le risque de taux d’intérêt, l’épargne coûte et le crédit rapporte. La marge est-t-elle intéressante ? • Sa propre spéculation, la perte des valeurs de ses actifs (immeubles et actions) Risque politiques • Risque de management : est-elle bien dirigée ? bien contrôlée ? • Risque de choix de clientèle : une seule catégorie de clientèle ? • Risque des agences de notation (agences

rentabilités et faire face à une concurrence qui peut être vive. 9. L’expression « muraille de Chine » est inscrite noir sur blanc dans les statuts d’Euronext. Les marchés financiers sont des réseaux informatiques La plupart des opérations sont aujourd’hui réalisées à partir de terminaux d’ordinateurs. Les parquets de négociation avec présence physique des opérateurs ont quasiment disparu ; c’est très largement le cas en Europe. Même quand la négociation se fait sur un parquet

CONSEQUENCES DE LA CRISE SUR LA GESTION D’ACTIFS FRANCAISE ET SOLUTIONS MISES EN ŒUVRE PLAN Introduction p 4 1ère Partie Les conséquences de la crise sur la Gestion d’Actifs p 5 I La crise financière mondiale p 5 1) Crise immobilière et titrisation p 5 2) Crise du secteur financier p 6 II Conséquences sur la Gestion d’Actifs p 8 1) Crise de liquidité p 9 A) Assèchement du marché B) Intervention des autorités C) Flight to liquidity 2) Chute des encours

R(ω) R = K(ωd) 0 ≤ R(ω) ≤ ω ≤ 0 ≤ K(ωd) ≤ ω si si ωd ∈ S ωd ∉ S Où R(.) et K(.) sont des fonctions qui vérifient les conditions suivantes : ϖ ≤ ϖ (3.1.) Si l’entrepreneur choisit d’annoncer un niveau de production ne déclenchant pas une opération de contrôle, il choisit alors, pour maximiser son revenu, une annonce ωd* définie par : ωd* = Arg Min K(ωd) A cette annonce correspond un paiement constant au prêteur : = min K(ωd) ωd Il est par ailleurs nécessaire qu’à un paiement inférieur à impliquant

Quoiqu'en aient pensé certains économistes classiques, on s'est aperçu que le problème n'est en fait pas tellement lié au contenu en or ou en argent de la monnaie, mais à la quantité de monnaie par rapport aux besoins de l'économie. Les problèmes de gestion optimale de masse monétaire et de l'impact de celle-ci sur la stabilité des prix sont donc très anciens. L'utilisation de papier comme support monétaire est une étape logique vers l'abstraction monétaire. Malgré son apparition très ancienne (probablement