Ouranos

l’intérieur, et à partir d’éléments, de principes, de puissances déjà existants. D’ailleurs, la mythologie des anciens Grecs représente le commencement de l’univers comme une succession de générations divines : Chaos, Nuit, Jour, Terre (Gaia), Ciel (Ouranos), …Toutefois le discours mythologique semble repousser la question de l’origine absolue de toutes choses. Quand surgit le temps ? Ou finit l’espace ? Ainsi, par sa genèse et sa structure fabuleuse, l’univers des mythes cosmogoniques reste clos sur

qu'il reçoit durablement l'empreinte dont on veut le marquer. Immoralité des fables [377d-378e] : - elles présentent des dieux anthropomorphiques, dont les aventures horribles peuvent servir d'excuses aux forfaits humains (Cronos châtrant son père Ouranos) ; - « l'enfant ne peut discerner ce qui est allégorie et les opinions qu'il reçoit à cet âge deviennent d'ordinaire indélébiles et inébranlables ». Ilfaut donc imposer des règles et des modèles aux poètes. b) [378e-383c] La seule théologie que devraient

qu’il y entre une part de sacré. Figurez-vous, je suis justement en train de lire un bien bizarre texte de Kurt. Mais asseyez-vous (Le théseur débarrasse deux chaises des manuscrits qui les encombrent) Il y relate le lancement du dernier Ouranos. L’enquêteur du domaine maritime : Je me souviens de cette journée. Comme à son habitude, Karl était bien entouré. Ses fils, sa fille, Zhorn le comédien et aussi tous les habitués du cercle ; bref tous étaient là. Le théseur français :

terre et le ciel honoraient ta beauté », on remarque un écho aux vers 3 et 4. On retrouve la galanterie : la femme devient une sorte de divinité à travers l’hommage rendu par la nature toute entière (« la terre et le ciel »), on peut penser à Gaia et Ouranos dans la mythologie, le choix du verbe « honoraient » renforce cette idée d’un statut exceptionnel, l’imparfait donne une impression de durée. Le rythme est régulier, en 3/3//3/3 et les sonorités harmonieuses, avec l’allitération en « r » (terre »

Deff lié à capacité de l’H à dvlp outils, inventions car cela lui permet d’agir, travailler efficacement. Mythe= mythologie grecque au moment de l’âge d'argent (voir cours sur le travail) . Entre H et les Dieux = titan (accouplement entre Gaia et Ouranos). Deux titans (Epiméthée et Prométhée) est dévolu la tâche de produire la création dite naturelle sur Terre. Epiméthée (nom qui signifie “celui qui pense après coût) veut créer les animaux et dépense toute son énergie dans le fait de doter animaux

Mondialisation : acteurs, flux et réseaux.Problématique :En quoi les firmes trans nationales ( FTN) sont elles des actrices de la mondialisation ?Quels sont les autres acteurs de la mondialisation ? Quels flux génèrent et sont générés par la mondialisation ?I) Les FTN , acteurs de la mondialisation IA) Le poids des FTN dans l'économie mondiale Les sociétés implantées à l'étranger ont une emprise considérable sur l'économie mondiale. Mais leur influence semble plafonner. Depuis

n’est que la dernière phase, plus pacifique, d’un « travail violent » où la force accouche dans le sang d’une justice un peu moins violente ou d’une force un peu moins injuste que celle de la génération précédente. C’est Cronos castrant son père Ouranos, puis Zeus destituant Cronos son père. Zeus, le législateur divin, appartient à une lignée transgressive, et n’affirme sa loi que par le meurtre du père. Les Erynies sauront s’en souvenir, pour désavouer la justice de Zeus qui leur dérobe Oreste :

chèvre à travers, au-delà de trou trou, orifice, point, trois poil, cheveu roue, disque roue nourriture tronqué percer. forer aveugle modèle gencive, gomme au-delà un crochet ongle épithélium V X Z ungula unus ura (oura), ura urano- ouranos urie, Gr. ourêsis, vagus variegatus vél(i)velum vermivernalis vésic(o)vicevirens, viridis vitta -vore xanth(o)xén(o)xenos xér(o)-, -xéra xiphos xyl(o)-, xylon -zoaire, -zoïque zo(o)zôê zôon zygo-, zygon sabot un queue ciel action d’uriner promeneur

sonnent leur réveil. I] Puissances d’En-haut, puissances d’En-bas. On distingue deux types de rites lors du sacrifice d’un animal : soit le sang de l’animal est orienté vers le ciel et dans ces conditions il s’agit d’un sacrifice de type ouranien (ouranos= le ciel) : on mange alors les abats dans l’allégresse, soit il s’agit d’un sacrifice de type chtonien qui se pratique au-dessus d’une fosse où le sang coule directement dans la terre ; les chairs sont entièrement brûlées en holocauste. Les rites

dans les fantasmes collectifs, une place analogue à celle qu’occupaient les dieux primitifs dans les cosmogonies antiques ? Comment ne pas penser à Chronos mangeant ses enfants pour ne pas se faire châtrer par l’un d’eux comme lui-même avait mutilé Ouranos qui, à l’origine des temps, l’empêchait de s’extraire de Gaïa la terre. Certes dans la mythologie, c’est un père qui dévore ses enfants, comme plus tard dans le conte, l’ogre s’en prend à des enfants et non à de petits-enfants. Mais, comme on l’a