Pangloss Caricature Leibniz

parc). Plus loin dans le roman, on rencontre le « gouverneur Don Fernando d’Ibaara, y Figueora, y Mascarenes, y Lampourdos, y Souza qui avait une fierté convenable à un homme qui portait tant de noms ». Satire de la pensée de Leibniz : Leibniz, représenté par Pangloss dans le conte excellait dans la métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie. Cet homme qui « prouvait admirablement bien qu’il n’y a pas d’effet sans cause » et que « tout allait bien dans le meilleur des mondes » est parodié par Voltaire

quelqu’un. Pour cela, l’écrivain décrit souvent la réalité avec des termes apparemment valorisants, dans le but de la dévaloriser. Aussi, l’ironie est une arme polémiste dans Modeste proposition (1729) de Swift, c'est une parodie qui passe par la caricature où il veut remédier à la misère en Irlande. C'est une oeuvre d'humour noir où il met à leur menu de la chair d’enfant de pauvres, en effet ce sont des logiques aveugles et simplistes. « Je reconnais que ce comestible se révélera quelque peu onéreux »

l'absurdité d'une guerre sans issue que cautionne la religion et une critique de Voltaire sur l'attitude des philosophes (Leibniz.) qui cautionnent également ceci par l'optimiste. En effet, il caricature le jeu, le fonctionnement d'une philosophie qui considère comme acceptable les conséquences de la guerre à "Tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles". Voltaire tourne Leibniz en dérision en utilisant ses formules, tirées de ses écrits, pour décrire des horreurs. L'auteur montre aussi dans

propose de démontrer que les philosophes optimistes ont tord de prétendre que « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes » (Théorie du philosophe allemand Leibniz). Pour ce faire, l’auteur met en scène un héros, Candide, un grand naïf, qui découvre toutes les formes du mal au cours de ses aventures et un personnage nommé Pangloss, censé représenter la pensée leibnizienne. Au début du chapitre 3, candide a été chassé du château du baron Thunder-ten-Tronck et découvre la guerre, le premier mal

insiste sur son aspect extérieur, son caractère simple et naïf. C’est un jeune homme qui, comme le suggère son nom, est innocent, pur et ingénu. Le fils du Baron est seulement définit par sa filiation, il est l’image de son père. Enfin, le précepteur Pangloss, qui semble détenir la vérité absolue et dont l’influence s’exerce sur son élève, Candide, qui boit ses paroles et croit tout ce qu’il dit. On peut remarquer que cet incipit a tous les éléments d’un conte traditionnel. Il y a une situation initiale

jardin qu’il va « cultiver ». 3. Nature du passage : Il s’agit d’un conte, on peut le voir à l’aide de plusieurs éléments. - Tout d’abord avec la situation initiale : Voltaire pose le contexte et présente les personnages. Il caricature plus qu’il ne les décrit. (ex. Pangloss est l’optimisme incarné) - C’est un univers fondé sur l’illusion, l’imaginaire c’est un endroit merveilleux coupé du monde et de la réalité. On le voit avec le nom du château imaginaire (Thunder-ten-tronckh), les grandes étendues

l’expérimenttation 2) Mr le Baron du chateua de thunder-ten-tronk se distingue par sa classe social : L12 L13 et par sa renomé : L18 attribué généralement aux et XXXXXXXXXXXXXXXX 3) Pangloss enseignant de la famille : L25-28 appuit sur le portrait de moral L22 : appel aux idéologies de la philosophie de Leibniz «  tout est au mieu » 4) Madame la baronne être bien portant : L21 attira « grande considération «  a l’époque de XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX 5) Cunéguonde :

dénoncer ce qu'il condamne. L'auteur le plus célèbre de contes philosophiques, Voltaire invite le lecteur à prendre conscience de l'imperfection humaine et de l'omniprésence du mal sur la terre tout en s'opposant à la théorie de Leibniz caricaturé sous les traits du Docteur Pangloss dans Candide, ce qui donne aussi une dimension satirique à l'œuvre. Le conte devient un moyen plaisant pour faire réfléchir le lecteur sur la place de l'homme dans l'univers, en réunissant la fiction et les morales philosophiques

Il ridiculise tout d’abord les mœurs nobles dans le premier chapitre. Les personnages grotesques sont présentés comme des caricatures, des pantins. Voltaire tourne en dérision l’optimisme de Pangloss. Il s’oppose au philosophe allemand Leibniz et caricature sa pensée en ne retenant qu’une formule : « tout est pour le mieux dans le meilleur  des mondes possibles ». Pangloss est disqualifié à cause de son libertinage, sa conduite et par l’absurdité de son raisonnement. De plus, l’auteur fait une

tout d'abord des douleurs physiques, avec la bataille, les coups de fouets et les corrections qu'il subit ; puis des douleurs morales, caractérisées par la confrontation avec des problèmes essentiels: l'opposition entre l'illusion (optimisme de Pangloss) et la réalité (cruauté du monde, des hommes) et entre le bien et le mal : «Comment avez-vous fait, vous qui êtes né si doux, pour tuer en deux minutes un Juif et un prélat ?» Toutes ces difficultés vont le faire changer, à l'image des adjectifs