Panthéisme

; que je ne connais rien de plus utile et de plus nécessaire que le sentiment religieux, mais le sentiment religieux grave et, permettez-moi d’ajouter, sévère. Je veux que mes enfants comprennent un Dieu, non pas un Dieu dans les abstractions du panthéisme, non, mais un être suprême avec lequel ils sont en rapport, vers lequel ils s’élèvent pour le prier, et qui, en même temps, les grandit et les fortifie. Cette pensée-là, voyez-vous, qui est ma pensée, qui est la vôtre, c’est la force dans les mauvais

; que je ne connais rien de plus utile et de plus nécessaire que le sentiment religieux, mais le sentiment religieux grave et, permettez-moi d’ajouter, sévère. Je veux que mes enfants comprennent un Dieu, non pas un Dieu dans les abstractions du panthéisme, non, mais un être suprême avec lequel ils sont en rapport, vers lequel ils s’élèvent pour le prier, et qui, en même temps, les grandit et les fortifie. Cette pensée-là, voyez-vous, qui est ma pensée, qui est la vôtre, c’est la force dans les mauvais

vertigineux. On redécouvre, non sans quelqu’effroi, le côté suggestion de la relation analytique. Nouveau compromis de la postmodernité Sous-tendues par des philosophies différentes, dans des perspectives mystiques souvent opposées allant du panthéisme matérialiste au monothéisme personnel, de nombreuses tentatives se sont exprimées dans des conditions géographiques, historiques, économiques et sociales différentes, pour parvenir à une « meilleure réalisation de soi par soi » (Selbstverwirklichung)

— Le poème parle de la « tombe terrestre » de Santi, que veut-il dire par là? — Terrestre? Eh bien il n'existe probablement pas d'endroit plus terrestre dans Rome que le Panthéon. Il doit son nom à la religion originelle des Romains, le panthéisme, à savoir l'adoration de l'ensemble des dieux et notamment les dieux païens de la Terre Mère. Étudiant en architecture, Langdon avait été étonné d'apprendre que les dimensions de la rotonde du temple se voulaient un hommage à Gaia, la déesse

néphron neurologie, névralgie économe nosologie octant, octogone odontologie adénoïde oligarchie angiome, fibrome oncogène onirique patronyme ophtalmologie ornithorynque orogenèse orthophonie ostéomyélite otite oxyde, oxygène pachyderme paléolithique panthéisme, pantographe racines par(a) signification voisin de, protection contre souffrance, maladie enfant, éducation cinq autour manger qui brille exemples paralangage, parapluie pathologie, myopathie pédiatrie pentagone périphrase phagocyte, nécrophage

raison. Le monde est une émanation de mon esprit, ce n’est que de cette façon que le ciel et la terre deviennent ciel et terre. « Tous les êtres exis­tent en moi, il suffit de posséder la raison », pour le comprendre. Nous nous retrouvons en plein panthéisme lorsque le philoso­phe considère que la raison occupe et remplit tout l’univers et établit ainsi l’ordre des choses. Cela signifie seulement sans doute que les êtres et leurs transformations régulières provien­nent de la raison ou de la pensée.

poétique est remplacée par Jéhova, par les sistres, par les anges, par les plumes des séraphins, par toute la garde-robe du paradis remise à neuf avec les mots immense, infini, solitude, intelligence. C'est des lacs, des paroles de Dieu, une espèce de panthéisme christianisé, enrichi de rimes rares, péniblement cherchées, comme émeraude et fraude, aïeul et glaïeul, etc. Enfin, nous avons changé de latitude : au lieu d'être au nord, nous sommes dans l'orient ; mais les ténèbres y sont tout aussi épaisses

conventionnelles. Celui-ci relève d’une curiosité primordiale pour ce qui constitue la vie organique, sa vitalité énergique, par delà le bien et le mal. L’acte de Langlois participe aussi d’un sens caché : se fondre dans le cosmos et la nature (forme de panthéisme). La mort est moins le vertige d’une âme perdue (le suicide) que l’acte de transformation de Langlois ou de la transmutation de son trouble (fascination du mal) en une renaissance au sein des puissances de la nature. Le lexique de la démesure

suite de l'épuisement des mérites, il fallait sortir pour recommencer la série des existences terrestres, mais dans l'essence du Bouddha parfait, où l'on trouvait le nirwana, c'est-à-dire le complet et éternel néant. Ainsi le brahmanisme était un panthéisme très compliqué, et le bouddhisme le compliquait encore en le faisant poursuivre sa route jusqu'à l'abîme de la négation [442]. Maintenant, comment Sakya produisait-il ses idées et cherchait-il à les répandre ? Il commença par renoncer

conventionnelles. Celui-ci relève d’une curiosité primordiale pour ce qui constitue la vie organique, sa vitalité énergique, par delà le bien et le mal. L’acte de Langlois participe aussi d’un sens caché : se fondre dans le cosmos et la nature (forme de panthéisme). La mort est moins le vertige d’une âme perdue (le suicide) que l’acte de transformation de Langlois ou de la transmutation de son trouble (fascination du mal) en une renaissance au sein des puissances de la nature. Le lexique de la démesure