Papisme

jusqu’en 1033 et ensuite à partir de 1049, c’est-à-dire lorsque l’empereur maîtrise la nomination (“élection”) du pape face à l’aristocratie romaine qui est son grand concurrent (comme au temps de Charlemagne en fait) : c’est le principe du césaro-papisme. Cependant, au niveau plus local, le problème n’est pas que conjoncturel, il est aussi structurel : les prélats obtiennent leur charge des laïcs (et cela remonte à Charlemagne, encore une fois, qui avait fait des évêchés des charges publiques à part

à l'empereur, clergé compris. De son point de vue, la chrétienté n'est une société parfaite que si elle est soumise au prince ou à l'empereur. Le pape et les évêques ne font que conseiller, ils n'ont aucun pouvoir réel. Marsile prône un « césaro-papisme » absolument totalitaire, dont même Justinien n'aurait pu rêver. Marsile soumet le pape au concile, car il est le seul vrai représentant du Christ. Il est convoqué par l'Empereur, et rassemble les prêtres, les évêques, les laïques. Il prône une

protestante est une vaste réaction contre l'intellectualité scolastique, et Luther ne perdra pas une occasion dans sa correspondance d'exprimer sa haine contre la pensée d'Aristote (sous sa forme thomiste, qui servit idéologiquement à justifier le papisme). De même, Nicolas de Cues s'oppose vivement à l'aristotélisme et au thomisme, notamment dans la Docte ignorance, leur préférant le socratisme platonicien et la mystique de Maître Eckhart. De manière générale, un grand mouvement pluriel de réaction

commis. Les Supérieurs Inconnus entrèrent de nouveau dans leur retraite. Ils attendirent des temps meilleurs, qui n’allaient pas tarder, où la démocratie et l’humanité allaient de nouveau régner. » L’infâme procès contre Cagliostro, ourdi par le papisme, voulait surtout tenter de donner le coup de grâce à la Maçonnerie italienne suspectée d’idées génératrices de subversion par les absolutismes de l’époque. Ainsi le professeur Aldo A. Mola, directeur du Centre italien pour l’Histoire de la Franc-

officiellement toléré le christianisme. Il ne se fera baptisé quant à lui que sur son lit de mort. Le christianisme deviendra la religion officielle de l’empire d’orient un peu plus tard. C’est en se référant à lui que nous parlerons de césaro-papisme césaro-papisme. Section 1.5. Apport des premiers pères de l’Eglise chrétienne Les premiers chrétiens étaient-ils en faveur du communisme ? C’est une affirmation que l’on a souvent entendue, et qui semble aujourd’hui pouvoir être clairement rejetée

qu’il souffrait de voir le pauvre peuple d’Allemagne opprimé et dupé par un clergé avide » ? — L’humble p084 moine, écrivait-il encore, « était arrivé aux mêmes conclusions que le grand théologien de Rotterdam ; il fallait mettre un frein aux abus du papisme et ramener la foi à la pureté des temps évangéliques ». D’où cette suite logique : « Il était dans la nature des choses que Luther songeât de fort bonne heure à se rapprocher d’Érasme — malgré quelques divergences qui pouvaient exister entre leurs

question est ce que ce que fait l’empereur est une action universelle ? Acte capitulaire de Charlemagne agit sur tout le monde ? Il soumet tous les sujets y compris les clercs ? Au 9ème il commence à se prendre pour l’empereur et le pape, le « césar papisme ». Menacée par l’empereur et le pape. Système de féodalité ou beaucoup de biens de l’Eglise vont être consacré. La simonie et le nicolaïsme. La simonie : de l’apôtre Simon, le magicien. Le personnage en question essaie d’acheter à Pierre d’acheter

en faire des santions (Ex: capitulaire de Pépin qui contient des dispositions sur la prohibition de mariage, divorce, inceste…) et puis le pouvoir royal prend des capitulaires relatifs à l'organisation de l'Eglise elle-même. Cela révèle la césara papisme (pouvoir penser diriger l'Eglise). L'Eglise prohibe le divorce mais "la mette en veilleuse" car les mœurs sont rudes (assassinat d'épouse…). L'Eglise des premiers siècle est attentive et soutient les plus faibles, cependant elle devient un pouvoir

écrivains qui séjournent en Angleterre comme Voltaire, Montesquieu. Ces auteurs vont véhiculer les principes promues par John Locke dans sont traité sur le gouvernement civil (contrat social, souveraineté populaire, tolérance religieuse, condamnation du papisme et de la monarchie). Montesquieu reprend la théorie de l’équilibre des pouvoirs. Cette anglomanie se manifeste dans les mécanismes politiques (jury populaire de la cour d’assise). • Deuxième courant c’est aristocratie : Issue de l’entourage du

Révolution Française avec la vente des biens du Clergé puisque ce dernier n’exerce plus les devoirs qui lui incombaient. Cette interdiction pour le Roi de faire les lois de l’Eglise a donné lieu au conflit entre le temporel et le spirituel, ou au césaro-papisme qui en France ne cesse qu’en 1905 avec la séparation de l’Eglise et de l’Etat. En second lieu, puisque le Roi est un Roi très chrétien, il a le rôle de rendre la justice, comme Saint Louis rendant la justice sous son chêne. Il s’agit donc d’un devoir