Paradoxe Baroque

bas de l’échelle sociale, individu qui échoue, qui ne fait pas rêver. Héros de roman : individu exceptionnel, qui s’illustre par ses qualités et ses prouesses Peut-il : est-ce qu’il en est capable, est-ce qu’on en trouve vraiment, existe-il. Ce paradoxe est-il possible ? 2.Problématiser. Il s’agit de reformuler avec vos propres mots la question qui vous est posée. Il faut se demander constamment si vos propos sont en relation directe avec le sujet. La problématique est le fil conducteur de

problématique, construction d’un plan : Intro 2 o 3 parties équilibrées Conclusion Bibliographie Annexes (documents secondaires, trop volumineux, doivent être un plus) – elle ne sont pas comprises dans les pages. INTRODUCTION : Chiffres, paradoxes, évolution de l’environnement ; Objectif : montre problématique Accroche Sur la problématique : on fait une synthèse de ce que l’on connaît. « Ce dont je parle apporte-t-il vraiment qq chose à la problématique » ? Comprendre le contexte

-L’ironie et la litote créent en effet une connivence entre l’orateur et son public. -Amplification : L’hyperbole exagère la réalité, la paraphrase développe les divers aspects d’une même affirmation, les figures d’affirmation soulignent l’idée. -Le paradoxe présente un raisonnement inattendu, qui va contre l’opinion comune. -Opposition : L’oxymore présente une réalité contradictoire (deux thermes qui se contredisent).L’antythese oppose fortement deux idées

respiration : vers 297 " Je respirais " -> oppression de l'amour • mutisme : vers 275 juxtaposition de manifestations relevant de la perte des sens vers 276 : manifestation oxymorique : à la fois corps glacé et brûlant - insistance sur le paradoxe par répétition de " et " reprend l'oxymore initiale : rougis -> brûler (feu) = amour palis -> transir (froid) = effroi • métaphore de la maladie : " mon mal " + " incurable amour" -> Amour qui se manifeste d'emblée par des troubles physiques

conseillé de le lire bien attentivement et plusieurs fois, il comporte une citation et une consigne dont il faut analyser les termes. Concernant la citation, il est indispensable d’expliquer les métaphores qu’elle contient en mettant bien en avant le paradoxe qu’elle soulève. Il faut ensuite analyser l’expression « dire juste » et « mentir », on peut mentir par omission ou par déformation. La discussion est donc ouverte puisque l’on vous y invite, « pensez vous que », vous devez donc faire un choix, étayer

est l’opposition de deux termes: (Ex : pour le meilleur et pour le pire) Oxymore est l’association de deux termes contradictoires( Ex : Obscure clarté ) Antiphrase : c’est dire le contraire de ce que l’on pense ( Ex: 0/20 quelle bonne note !) Paradoxe : C’est une idée contraire à l’opinion commune ( Ex : Quelle chose horrible que le loisirs) Hyperbole : Exagération ( Ex: des ruisseaux de sang) Anaphore : Répétition en tête de phrase ( Reviens, je t’en supplie, reviens tu me manques). Graduation

aussi autre chose, et "plus", bien plus, que cela. La liberté dans notre propre définition paraît donc un "bien" ; mais le sujet sous-entend tout au contraire que cette liberté est un "mal", par la connotation négative associée au mot "condamné". Paradoxe frappant qu'on saisira peut-être mieux en reformulant magistralement le sujet, eu égard à nos réflexions jusqu'à ce point : "Notre spontanéïté caractéristique implique une "liberté de plume" dans notre propre définition, et c'est une catastrophe

la culpabilité par un tel contraste b) aliénation à l’angoisse, qui génère la peur, qui se propage • symbole des mouches, des « ombres », 12 / les remords aliènent l’être, finissent par prendre toute la place, empêchent la lumière de passer • paradoxes, 26, 39 / processus fatal ; cercle infernal, vicieux, d’autodestruction • champ lexical de la peur, torpeur, 28-30 / pression terrifiante qu’engendre l’angoisse c) qui finit par s’exprimer sous forme de haine • allitération en [r] + imagerie brutale

description que ce soit. Je est un autre. Tant pis pour le bois qui se trouve violon et Nargue aux inconscients, qui ergotent sur ce qu'ils ignorent tout à fait. I. Introduction :  A. Reformulation :  « Je est un autre » Proposition qui forme un paradoxe : le pronom qui désigne celui qui parle, celui que nous croyons le mieux connaître serait, à en croire Rimbaud, un autre. En quel sens l'entendre ? Est il un autre que celui qu'il croit être, un autre que celui que l'on croit connaître ? Ou alors

on s’aperçoit alors de notre erreur d’interprétation : - « canons » introduit ironiquement dans la liste des instruments de musique provoque un décalage étonnant ! - « harmonie » et « enfer » dans la même phrase forment une antithèse, voire un paradoxe ; car les enfers sont tout sauf harmonieux ! Cela introduit l’idée de chaos et de vision d’horreur du 2e paragraphe. * 2e paragraphe = vision d’un massacre dans la population civile ; tout le monde est touché (pluriel + groupes nominaux crus et