Paradoxe De Leontief

intrabranche [ Document 5 ] La théorie des avantages absolus [ Document 1 ] La théorie des avantages comparatifs [ Document 2 ] Le libre-échange Le modèle HOS [ Document 3 ] Les critiques du libre-échange [ Document 6 ] Le paradoxe de Leontief [ Document 4 ] Les fondements des échanges internationaux Le protectionnisme éducatif [ Document 7 ] Le protectionnisme Les pratiques protectionnistes [ Document 8 ] © Nathan – La photocopie non autorisée est un délit. Les

des économies d’échelle. b) L’approche néo-factorielle (Findlay et Kierkowsky) D’après les auteurs : « un pays relativement abondant/pauvre en capital humain exportera des biens intensifs en travail qualifié/non qualifié » 1947 : « paradoxe de Léontieff » : mise en avant de l’observation suivante : Les États-Unis exportent beaucoup de produits fortement intensif en facteur travail alors qu’on devrait s’attendre au contraire à savoir l’exportation de produits fortement intensif en capital

d’Heckscher-Ohlin B. L’égalisation des rémunérations factorielles IV. Généralisations et vérifications empiriques A. La loi d’Heckscher-Ohlin avec deux facteurs et plus de deux biens B. Contenu factoriel des échanges et spécialisations C. Le paradoxe de Leontief D. L’approche néo-factorielle E. Dotations des pays et contenus factoriels des échanges V. Ouverture, salaires et emploi A. Ouverture et travail non qualifié dans les pays développés B. Ouverture, progrès technique et organisation du travail

la fin du dix-huitième siècle. En quelque sorte, la mondialisation constitue le dernier développement d'un phénomène historique de long terme, alors même qu'elle par aît être complètement récente. On pourrait résumer ce paradoxe par la formule suivante : la mondialisation est un phénomène historique devenu un sujet d'actualité. La mondialisation émane d‘étapes successives et a été rendue possible grâce à plusieurs facteurs que nous développeront plus

intérêt à se spécialiser dans la production du bien qui utilise le plus intensément les facteurs dont il dispose en abondance. On explique l’origine des avantages comparatifs par des dotations différentes en facteurs de production. § 3 : Le paradoxe de Leontief Il a voulu tester le modèle HOS. Il a examiné les échanges extérieurs des USA en 1947 dans le commerce international. (Il a écrit 2 articles en 1953 et 1954.) Les USA sont plus dotés en capital que les autres pays. On attend donc que les

l'une vise à rechercher des "précurseurs". Cette démarche qualifiée de généalogique aboutit à prêter des conceptions modernes à des auteurs anciens. Par exemple, on peut faire de François Quesnay un "précurseur" de l'analyse input-output de W. Léontieff ; il existe, en effet, une représentation du "Tableau économique" sous la forme d'une matrice input/output (A. Phillips). Cette démarche fait l'objet de critiques. Par exemple, Georges Canguilhem (Etudes d'histoire et de philosophie des sciences

L’analyse néofactorielle estime qu’il est essentiel de prendre en ligne de compte la qualité des facteurs de production: on ne va pas avoir une égalisation du prix de tous les produits, cela dépend par exemple de la qualité du travail. Ainsi Le paradoxe de Léontieff consiste à montrer qu’au lendemain de la seconde guerre mondiale, si on distingue deux facteurs de production (capital et travail), alors les Etats-Unis sont plus avantagés en matière de capital que de travail. Or ce ne sont pas des industries

principes traditionnels semblent remis en cause : la croissance américaine durable, non inflationniste et créatrice d'emplois remet en cause tout à la fois la théorie des cycles, la loi de Phillips (relation décroissante entre inflation et chômage) et le paradoxe de Solow ("on voit les ordinateurs partout sauf dans les statistiques de productivité"). Certes, cette triple remise en cause s'explique par plusieurs facteurs liés à l'ancienne économie : la baisse des prix des matières premières, l'évolution des

ces phénomènes d’interdépendance involontaire entre activités de différents agents économiques, qui ne sont pas couverts par des coûts ni par des revenus, sont appelés effets externes ou externalités. L’effet externe est révélateur d’une sorte de paradoxe de la concurrence, puisqu’il montre que, dans certaines conditions, si elle est laissée à elle-même, la concurrence peut conduire à mettre à mal, voire à éliminer complètement la concurrence. Si l’existence d’externalités met en évidence certains

principes traditionnels semblent remis en cause : la croissance américaine durable, non inflationniste et créatrice d'emplois remet en cause tout à la fois la théorie des cycles, la loi de Phillips (relation décroissante entre inflation et chômage) et le paradoxe de Solow ("on voit les ordinateurs partout sauf dans les statistiques de productivité"). Certes, cette triple remise en cause s'explique par plusieurs facteurs liés à l'ancienne économie : la baisse des prix des matières premières, l'évolution des