Paradoxe De Leontief

dans le pays qu'à l'étranger. Au sens "de Leontief", enfin, le facteur rare est celui dont le pays possède moins d'unités physique que l'étranger, relativement aux unités de l'autre facteur. C'est cette dernière définition que nous adopterons prioritairement dans ce qui suit, en supposant de plus l'identité internationale et l'homothétie des goûts des consommateurs. Toutefois, avec ces deux dernières hypothèses en supplément, la rareté au sens de Leontief implique celle au sens de Heckscher-Ohlin

international tend à produire une égalisation des rémunérations des facteurs. Cependant, cette égalisation ne peut être absolue parce que la concurrence le commerce international a néanmoins tendance à pousser les pays à se spécialiser. Leontieff fait ressortir un paradoxe grâce aux études empiriques. Selon lui, les USA étant fortement doté en capital, il devrait importer des biens comportant plus de travail et moins de capital et donc exporter des biens à forte teneur en capital et à faible teneur en

le développement actuel de la théorie écono mique conduit à lire avec un regard neuf certains passages des vieux auteurs qui, à l'époque où ils ont été écrits, pouvaient paraître d'un intérêt relativement secondaire : les tableaux matriciels de Leontief conduisent ainsi à des rapprochements suggestifs avec le zic-zac physiocratique qui divertissait fort le petit groupe de personnages désœuvrés gravitant autour de la marquise de Pompadour ; les étapes de la croissance décrites par un Rostow donnent

Pour Hescher et Ohlim (33) Fondé sur la dotation relative de chaque pays en facteurs de production : facteur abondant = rémunération plus faible. Chaque pays à intérêt à se spécialiser là où il possède un facteur de production abondant. Paradoxe de Léontieff : Montre que les USA étaient spécialisé dans la production de bien nécessitent du capital et pourtant, ils exportent des biens intensifs en travail. Les USA exportaient en fait des biens en travail qualifié. Puis renouveau des théories

publie ses travaux dans le dernier quart du 18ème siècle, il publie La richesse des nations en 1876 et Ricardo lui au début du 19ème siècle. Ces idées vont être développées par des auteurs du 20ème siècle, le modèle HOS (Hecksher, Ohlin, Samuelson). Leontieff va contester ce que disent ces auteurs. A) La théorie des avantages absolus de Smith L’idée de Smith est que chacun dans une société développée a intérêt à se spécialiser, produire au-delà de ses besoins, et ensuite échanger avec d’autres pays

..... 148 7.1.2 Convergence et développement .................................................................................................. 148 7.1.3 Résidu de Solow et paradoxe de la productivité .......................................................................... 149 7.1.4 « Nouvelle économie » et fin du paradoxe de Solow ? ................................................................ 150 7.1.5 Le retard européen en matière d’éducation et d’innovation .............................

C’est un simple instrument à convertir des impulsions sociales en décision politique. Il ne faut pas survaloriser le politique, ni le mettre en-dehors de la société. Critiques : Easton s’inspire du modèle mis au point par Vassili Leontief dans son étude sur la structure de l’économie américaine (The structure of American economy). Il a reçu le prix Nobel d’économie en 1976. Il a fait cette étude à partir des « inputs », « outputs » et effet de « feedback ». Est-ce qu’on peut

exporteraient des biens nécessitant un capital important pour leur fabrication. C’est ce qu’a voulu vérifier W. Leontief dans deux articles de 1953 et 1956 consacrés à l’examen de la position des États-Unis dans l’échange international. Or selon ses résultats, les États-Unis importent en réalité des biens à forte intensité de capital et exportent des biens à forte intensité de travail. Le paradoxe peut s’expliquer par la plus grande productivité des travailleurs américains et par le fait que les États-Unis

1933-1948 Ils prennent la suite de RICARDO. Les pays vont se spécialiser dans les pays qui utilisent les facteurs de production dont il est richement doté. Les échanges de biens vont compenser les inégalités. Idée remise en question par LEONTIEFF : « le paradoxe de LEONTIEFF » 1953 Si mon suit HOS : chaque pays devrait se spécialiser dont les facteurs de production sont les plus riches. Les Etats-Unis sont riches en capital. Or ils exportent du travail (donc cela contredit l’approche néoclassique) mais

enregistre positivement les efforts qui y remédient (murs antibruit, station d’épuration…). Plus les nuisances augmentent, ces efforts de correction augmentent, ce qui conduit le PNB à augmenter d’autant plus que les nuisances sont importantes. Ce paradoxe est bien résumé par MORGENSTERN. Ces considérations traduisent l’idée que la croissance quantitative du PNB est moins significative pour l’amélioration du bien être économique. Tinbergen propose de remplacer le PNB par la notion de «Bonheur National