Paradoxe

Contraintes communes, destins multiples : les paradoxes de la monoparentalité Existe-t-il, réellement, un profil familial que l’on pourrait qualifier de monoparental ? On ne peut nier, certes, que le fait d’élever seul, quotidiennement, un ou plusieurs enfants a des conséquences considérables en termes de compatibilité vie familiale / vie professionnelle, mais aussi en termes de définition du rôle parental ou de ressources mobilisables. Or, le paradoxe qui apparaît à l’occasion de ce type d’enquêtes

_Les femmes Dans Ouvert la nuit chaque personnage est un puzzle: un être décrit à plusieurs reprises et de divers points de vue.  Le portrait est produit par "collage," par glissements et par ruptures successives. Paul Morand emploie des paradoxes psychologiques dans les descriptions, qui tranchent avec les conventions romanesques, et ne convainquent pas immédiatement le lecteur. Les descriptions physiques et les détails concrets fournis par le texte ne permettent pas, eux non plus, de conclure

vie d'un homme, celle qu'une fois plus âgé on regrette le plus. Elle est aussi de l'autre côté considérée comme une période de problèmes, de mal être, et en tant que collectivité souffre d'un certain mépris, d'une mauvaise image. Ainsi un premier paradoxe se démarque vite, comment la jeunesse peut-elle être à la fois l'âge d'or et l'âge de fer de l'Homme ? Tout d'abord, en quoi peut-on parler de la jeunesse comme du plus bel âge? La jeunesse n'est-elle pas au contraire l'époque des problèmes ? Enfin

il tombe dans la contradiction pure et simple quand il prend deux idées contraires pour la même idée. En outre, il ne faut pas non plus confondre un paradoxe et une contradiction. Un paradoxe est une contradiction seulement apparente. Par exemple, « personne ne désire travailler et tout le monde cherche pourtant à travailler » est un paradoxe car « ne pas désirer » semble le contraire de « chercher à ». Mais, en réalité, « désirer » signifie ici « vouloir une chose pour elle même ou la rechercher

théatrale : "ils marchèrent en procession ainsi vétu".l15 ils sont montrés à toute la population comme coupables. ==> paradoxe : cela montre la bétise de la religion confus L16-17 "Candide fut fessé en cadence, pendant qu'on chantait" Le personnage est ridiculisé car sa punition est celle d'un enfant. oui et donc ? conlusions :c'est grace nottament au paradoxe qu'il y a un décalage entre ce qui est décrit et la situation réelle ce qui renf orce l'ironie de la situation oui mais md

dépasser un préjugé - il faut être à l'affût des phrases du textes qui indiquent à quoi il s'oppose. Repérer la phrase clé du texte : introduite comme conséquence de toutes les considérations qui précèdent Phrase paradoxale ? : elle présente 2 paradoxes conjoints, cela appelle à des questions A quoi s'oppose cette thèse ? : au bon sens du lecteur (on est surpris en lisant ça), et à toutes les pensées métaphysiques qui ont cru pouvoir s'identifier à l'expression de LA vérité, par rapport à laquelle

l’amour de Perdican (vision qui s’oppose à celle de Camille) Dernière tirade de Perdican. Amour terrestre qui réuni deux être imparfaits, et l’amour en devient sacré ( Paradoxe. L’amour embelli le monde, l’homme. Aspect paradoxal. « Il y a u monde une chose sainte et sublime [..] Affreux » ( Antithèse qui souligne le paradoxe. Accumulation, qui souligne la vision pessimiste. Parallélisme de construction souligné par la répétition de « tous les hommes, toutes les femmes » L’amour sauve le genre

cher. Dans ce syllogisme, La seconde proposition (la mineure) est contradictoire avec la première (la majeure) : un cheval ne peut pas être bon marché et rare en même temps d’après la première proposition. Il y a un paradoxe beaucoup plus difficile à résoudre : le paradoxe du menteur. Il est tout simple : quelle est la valeur de vérité de la proposition « Je mens » ? Si elle est vraie, je mens, donc elle est fausse. Mais si elle est fausse, ce que dis est vrai, donc elle est vraie ! Bref, cette

« L’essai vous semble-t-il plus ou moins efficace que les apologues pour défendre une opinion ? » • le plan dialectique : pour les sujets avec question oui/non I. Thèse II. antithèse III. synthèse = dépassement de la contradiction par un paradoxe Ex : « les fables sont-elles des textes réservés aux enfants ? » I. Leur apparence puérile les rend compréhensibles par les enfants II. Mais les adultes peuvent aussi en tire profit, car les subtilités de la fable échappent aux

donner une signification véritable ; il serait peut être temps d'admettre que malgré toutes les réponses apportées au problème on reste toujours dans une justification approximatlve de ce qu'est < être soi même >. On ne résout à aucun rnornent le paradoxe de l'expression !;ans cl6ute p;lrce donner... c1r:e celle-ci n'a que le sctts qrte clracun veut bien lui 3. a. < être soi même > n'a clue le sens que chacun veut lui donner pour certains être soi même c'est répondre à une iclentité