Paralangage

qu’il ne me dit pas Nous ne pouvons jamais dire exactement le fond de notre pensée, les mots n’ont pas suffisamment de vertu, ils sont trop pauvres. Il faut entendre avec la seconde écoute, s’attacher à la périphérie du message central, entendre le paralangage, le message sous le message. C’est se centrer sur l’autre pour faire de l’empathie Que dit-il en vérité ? Master 1 Patrick San Isidoro – 2008 40 Bien communiquer, c’est d’abord écouter C’est bien souvent par des onomatopées, • des ‘oui’

| | | | |Adoption d’une attitude et d’un comportement adaptés au| | | | | | | | |langage et au paralangage du client | | | | | | | |C.3.2.2. Présenter le produit au client |Sélection dans l’offre commerciale du ou des produits | | | | | | | |

dont le statut et le rôle peuvent varier. Le contenu du message peut varier (information, ordre, morale, raisonnement, avis, opinion, expression d’un état d’âme, etc.) Le message peut être volontaire ou inconscient. Code* verbal et/ou non verbal (paralangage) généralement commun à l’émetteur (E) et au récepteur (R) *code : ensemble de signes ayant une valeur expressive, un sens socialement reconnu par E et R Diversité des canaux (supports d’information) : parole, papier, télévision, téléphone, etc.

Pratiquer l’écoute active Rechercher les mobiles, motivations et freins exprimés Avec : les outils d’aide à la vente le matériel de démonstration le cas échéant ! ! ! ! • Adopter l’attitude et le comportement adaptés au langage et au paralangage du client Présenter le produit au client À partir : des profils clients des conditions générales de vente des tarifs 3.2.2. • ! ! Sélectionner dans l’offre commerciale le ou les produits correspondant aux attentes du client 3.2.3. •

groupe humain. IV- Aspects de la communication Les aspects d’une situation de communication représentent tout ce qui peut être perçu par le récepteur en plus du message proprement dit, dans un environnement donné. Exp : l’ensemble des paralangages (mimiques, gestes, regards, silence) constitue le comportement non verbal. 1- Aspects Formels et informels de la communication ← Aspects formels :c’est la bases d’une organisation, d’une communication officielle. Ils

communication personnelle Prendre la parole devant un auditoire est une épreuve souvent redoutée. Il existe pourtant des techniques pour aborder de façon plus détendue une prestation orale. Au-delà du contenu de nos propos, il y a ce qu’on appelle le paralangage c’est-à-dire l’ensemble des éléments qui ne font pas explicitement partie de notre expression verbale, mais qui entrent en compte dans la façon dont on nous perçoit. C’est ainsi que nous pouvons citer l’apparence, l’allure, l’attitude générale,

ont vulgarisé l’idée que l’on en dit tout autant par le non verbal que par les mots. La communication non verbale se situe en dehors du langage. Bien souvent elle échappe à la volonté et à la conscience. C’est ce qu’on peut aussi appeler ‘‘ Paralangage ’’ et on peut en déterminer quatre composantes : 1) LA POSTURE : Dans un message oral : - Les mots comptent pour 7% ; - L’intonation pour 38% ; - La gestuelle pour 55%. Ceci démontre que la gestuelle est d’une grande importance lors de la

nécessaire que le récepteur du message soit entièrement disponible (pas d’autre activité menée en parallèle), ne porte pas de jugement sur le contenu du message, regarde son interlocuteur et signale son attention dans l’écoute par le langage et/ou le paralangage (questionnement, vérification de la bonne compréhension du contenu du message, hochement de tête, signe d’encouragement, sourire, clignement d’œil, par exemple). C’est ce que l’on appelle l’écoute active. 2. La reformulation Reformuler consiste

arrive à intégrer le mot dans l’image qu’on projette cependant un néologisme schizophrène = son langage ne s’inscrit pas dans la symbolique de l’image : on a du mal à comprendre.  · Schizophasie : Paralangage hermétique : création d’un nouveau langage qu’on ne comprend pas et cela peut compliquer la relation avec ces sujets : le processus thérapeutique est plus délicat. Symptôme positif = montre l’effet de l’angoisse du morcellement. 

organisation hiérarchique, horaires et jours fériées, langue des affaires, formule des politesse, ponctualité, tenue vestimentaire, etc. Les différences de cultures et de comportement : contexte de la communication (messages explicites et ou implicites), paralangage, etc. Les politique de négociation : pouvoir de décision de l’interlocuteur, pratique de marchandage, arguments à privilégier ou à éviter, conditions usuelles de vente ou de distribution, etc. 4.2. Le suivi de la prospection : Le suivi de la