Paralangage

* Une altération syntaxique (agrammatisme)  * Des néologismes : création de nouveaux mots utilisés dans un sens propre au patient. * Dans les cas les plus sévères, on assiste à une réelle « schizophasie » : ce terme barbare désigne un paralangage totalement déformé, hermétique et incompréhensible. 4.3 La discordance dans la communication Généralement, chez les sujets « normaux », les mimiques et la gestuelle (communication non verbale) sont en accord avec la teneur des propos (communication

Merleau-Ponty dans sa Phénoménologie de la perception « Le silence est bruissant de paroles ». Le rêve aussi devient langage clandestin, symbolique, comme un compromis entre un désir inconscient et la réalité camouflée. Tout ce qui compte alors ce sont les paralangages qui entourent toute la parole elle même : l’intonation, les gestes, le comportement, qui accompagnent la parole et la rendent plus significative. La psychanalyse fait de ces « conflits » des « récits » et développe ainsi un savoir analogique,

anglo-saxons, se fondant sur des études utilisant la vidéo, ont prouvé que 75% de la communication entre les individus était non verbale. En effet, l’homme communique par d’autres moyens appelés paralangages. Ceux –ci sont nombreux. Ils accompagnent ou non la communication verbale. 1.Les différents paralangages a- La présentation physique Le premier message émis par un individu est constitué par la présentation qu’il adopte. En effet, on est d’abord vu avant d’être entendu. La tenue vestimentaire

| |Faire preuve de pro-activité (aller au devant du client/usager), de disponibilité, d’ouverture (sens du service) ( | |Adapter le langage, le paralangage ou le support à l’interlocuteur ( | |Faire preuve de courtoisie (

mécontentement, la vexation), lié à l’écoute de l’autre, montrer l’ennui… Il existe aussi le silence dubitatif, le silence autoritaire, le silence de réflexion et le silence de l’intimité entre amoureux, le silence en fonction du contexte… Le paralangage, c’est le ton, rythme, débit et timbre de la voix. Les gestes sont les premiers moyens de communication. Ils ne sont pas universels même si certains sont compréhensibles par la plupart des gens (approbation, négation etc…). Il existe une multitude

F., coll. "Que sais-je?", 1993. - Les situations de communication. Approche formelle, éd. Eyrolles, 1991. I. Postulats La communication a un sens beaucoup plus large que son sens habituel, restreint aux paroles, aux écrits et aux paralangages, échanges essentiels du niveau inter-personnel. Ici, toutes les actions et conduites des acteurs sociaux y sont intégrées ainsi que toutes les non-communications. L’organisation n’a pas d’existence propre, c’est une « réalité secondaire » au

terme. o CONNOTATIF : Signification émotionnelle ou idéologique qui s’ajoute à la signification de base d’un terme. Le langage non-verbal possède différents canaux qui sont :  L’apparence corporelle  La posture  Le visage  Le toucher  Le paralangage (caractéristiques de la voix)  Les silences  Les gestes. Il existe plusieurs types de gestes :  Les gestes EMBLEMATIQUES : directement traduisibles en mots par convention.  Les gestes ILLUSTRATIFS : qui accompagnent la parole.  Les gestes ADAPTATIFS

avec d’autres personnes. Comme le Net ne permet pas de dupliquer la richesse des échanges de face-à-face, les individus ont recours à un paralangage qui permet le partage de sens (Donn et Sherman, 2002). Les ‘emoticons’ (ou Smileys) sont la forme la plus connue de paralangage ; la ponctuation des textes en est un autre. Sur le site, Nutella fait office de paralangage : en exposant sa passion et ses sentiments dans les ‘Pensées Nutella’, chaque personne présente une facette de son identité. Ainsi, être

Les rituels : De séparation, de salutations L'apparence : C'est la première chose qui est vue donc elle joue un rôle dans les premières impressions que l'on a d'une personne. (Ex : les vêtements, le parfum, les bijoux, le maquillage...). Le paralangage : Le timbre et le volume de la voix, le rythme de la parole. Cela permet l'expression des sentiments. Le silence : Il fait partie de la communication. Certains silences ont plus de sens que les mots. La gestuelle : La gestuelle est un

mettre à la place d’autrui). Grâce à cette technique, le vendeur est plus à l’écoute des besoins du client. Il respecte la parole de son interlocuteur et participe à son expression grâce à la reformulation et à un questionnement ouvert. • Le paralangage. Par une position ouverte et disponible, le vendeur montre visuellement son intérêt à son interlocuteur. Les émotions exprimées par le visage, l’intonation et le rythme de la voix, la franchise du regard communiquent l’enthousiasme, l’écoute et