Parallélisme

L'ESPACE I) PARALLÉLISME DANS L'ESPACE 1) Voir en 3D une figure faite en 2D La difficulté principale de ce chapitre est de raisonner dans l'espace à partir de figures dessinées sur une feuille de papier, c'est à dire sur un plan ! Pour nous y aider, 2 règles à suivre : Les figures devront être réalisées en perspective cavalière : perspective "classique" perspective cavalière Conserve le parallélisme ? les distances ? les rapports de distances ? Conserve le parallélisme ? les distances

justement le contraire. Elle fait donc une antiphrase, car elle aurait pu dire à la place de « dévotement », voracement ou gloutonnement. Donc on voit bien que Tartuffe préfère manger les perdrix, que s’adorer à Dieu. 3. Le parallélisme : Il y a effectivement un parallélisme entre Elmire et Tartuffe, car la maladie d’Elmire est opposé à la santé de Tartuffe : « fièvre », « mal de tête étrange » // « se porte à merveille », « le teint frais », « la bouche vermeille ». Ensuite l’insomnie d’Elmire est

retrouve de nombreuses expressions s’y rapportant : « la main de Rodrigue a fait tous ces miracles? » (v. 10), « la main » est ici mise en valeur car elle est le sujet du verbe, c’est elle qui « fait tous ces exploits ». De plus Elvire explique par un parallélisme, que « sa main les a vaincus, et sa main les a pris » (v. 12), plus tard on retrouve une expression marquant le rôle héroïque de cette main : « la main qui sauve la province » (v. 22) ; elle devient a elle seule celle qui a sauvé le pays. Enfin

plein… que » > hyperboles. Présent de vérité générale > poète qui constate sur terre l'importance des apparences… Thème baroque. Cf. « sagesse est conduit par le sort » > fatalité. « L'on monte et l'on descend avec pareil effort ». - Parallélisme avec « L'on… et l'on… ». - Antithèse « monte » / « descend ». - Paradoxe. Cf. « avec pareil effort ». « Sans jamais rencontrer l'état de consistance ». - Assonance en [an]. Cf. « sans » ; « rencontrer » ; « consistance »… - Allitération en

négation restrictive qui insiste sur l’unicité de cette règle • Antithèse « tout » / « que » > montre le caractère unique de cette règle • « Bien nés et bien éduqués » > parallélisme, mise en valeur des qualités qui sont favorisées par cette règle« Un aiguillon » > métaphore > les habitants de Thélème sont guidés, ils ne peuvent pas se perdre, opposition avec le passé de Gargantua • « Ces gens-là » >

substitution |METONYMIE, |Utilisant la syntaxe |ANAPHORE | | |SYNECDOQUE | |PARALLELISME | | |PERIPHRASE | |ASYNDETE | |Par opposition |ANTITHESE

Lecture linéaire « M elancholia » Introduction Problém atique: co m m en t par c e tableau pathétique Hugo dénonce-t-il le travail des enfants? M ouvements V . 1 à 6:un constat m arqué par l'affliction v 7 à 1 6 : u n tableau pathétique v 17 à 2 2 : la colère du poète v. 1 à 6 : u n co n stat m arqué par l'affliction A ccum ulation de questions rhétoriques V ers 1 à 3 voix du poète qui feint l'incom préhension L exique de l'enfance « tous ces enfants» « doux êtres » « filles de

tournure restrictive « un scandale ne peut que l’achever » (l.39) qu’utilise Egisthe met en relief sa vision réaliste de la situation Le ton d’Electre apparait alors comme lyrique. Elle fait une critique des divinités par la sublimation dans ce parallélisme de construction « une belle lueur sur un incendie, un beau gazon sur un champ de bataille » (l.5), elle utilise aussi l’adjectif a valeur méliorative « sublime » pour désigner le « repentir sur un crime » (l. 7). Elle associe les dieux à des artistes :

rimes étant ABBA ABBA BBCDDC). Ceci ajouté à la ponctuation, pousse le lecteur à lire le texte, un vers après l'autre. Cette apparence de triomphe dans le premier tercet. En effet, ici l'anaphore des "il" dans les deux premiers vers ajoutée au parallélisme de construction entre les trois vers, ne peut qu'évoquer une complainte voire même une litanie. Ainsi, si l'auteur se place comme maître de ce texte. Il se montre aussi comme un personnage "emprisonné" suppliant son lecteur de lui venir en aide

coordination = correspondance entre l’amour et la mer Champs lexicaux primordiaux : la mer (6 fois) et l’amour (8 fois) Répétitions au vers 1 et 2 avec : -parallélisme (mer=amour), -anaphores (« et la mer », « et la mer ») -chiasme (ver 1 mer-amour-amer et ver 2 mer-amère-amour) Métaphores de la mer agité qui devient l’amour renforce parallélisme donc amour=mer * Ressemblance entre mer et amour : L’amour et la mer toujours associé : « pour partage » (v1), « aussi bien » (v3) Marbeuf examine