Parallélisme

peut annoncer l’avenir et dénoncer la vérité. Il démystifie, il fait tomber les masques. Une des fonctions de la parole poétique et prophétique est d’inverser les valeurs. La force de la parole peut modifier des choses. Au vers 3 et 4, il y a un parallélisme par l’anaphore de la construction. C’est une sorte de paraphrase du thème de béatitude. On note l’opposition entre « je » et « on ». Insultes : bannis, proscrits, exilés. Parole porteuse d’espérance qui fait basculer les valeurs entre proscription

on voit un parallélisme dans les huit répliques. Estragon parle à Vladimir qui ne comprend pas, estragon répète et c’est ce qui créer un intense jeu de répétition comique où chaque fois qu’estragon répond il parle plus fort on le comprend grâce aux didascalies où il y a aussi un parallélisme. Le spectateur a donc l’impression que les deux personnages ne parviennent pas à s’entendre et à se comprendre

l'absence d'ouverture montrée par la répetition des termes "clos", et "sans", ainsi qu'une accumulation de termes péjoratifs comme "impossibles", "imbéciles", "ne tenaient pas debout" qui enfoncent ces deux personnages et détruisent leurs embitions. Le parallélisme de construction des deux dernières phrase "Ils étouffaient" et "Ils se sentaient sombrer" n'est que le résumé de la dernière partie de cet extrait. Une deuxième partie débute alors à la ligne 35, qui prend la forme d'un crescendo illustré par

présence du champ lexical de la violence de la guerre insiste sur ce fait «  massacré, cris, tué, fureur, exécution, frappé, abattu… » Le texte insiste sur la violence et le massacre notamment avec les gradations L7 et 17. Le parallélisme L7 «  Les garçons égorgés, les jeunes filles brulés » nous montre qu’il n’y a pas de pitié. De plus on a une impression de violence exprimé par l’hyperbole L8. Enfin l’anaphore de «  choisis  » L12

l'injustice des enfants traités comme des criminels grace a l'utilisation de l'antithèse et du parallélisme(v.120). Avec le parallelisme de construction il insiste ainsi sur l'activité contre nature des enfants a travailler et la dureté de leur travail en référence aux métaux "tout est d'airain, tout est de fer"(v.121). Ainsi que sur la durée et l'abscence de joie a l'aide d'Anaphore, de parallelisme, negation et d'une allitération "jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue" Par consequent nous

« grand » montre que le comte est un personnage plus important que Figaro. « vous ne l’aurez pas » est répété deux fois ce qui montre que Figaro insiste sur le fait que le comte n’aura pas sa fiancée. * Non, ne, ne = 3 fois la négation. * Parallélisme = grand seigneur / grand génie, noblesse, fortune * Champ lexical de la noblesse : « grand seigneur » « noblesse » « fortune ». énumération de termes montrant sa noblesse, richesse. * Question rhétorique : « Qu’avez-vous fait pour tant

et de ses anciens maîtres, notamment grâce à une anadiplose ligne 5 à 7 : « Ils nous enseignaient la même chose que les curés. Et les curés nous enseignaient la même chose qu’eux. ». On ne peut pas réellement parler de parallélisme pour cette structure de phrase puisqu’un parallélisme apparaît dans une seule et même phrase mais cette reprise de la même structure de phrase doublée d’une anadiplose, qui à elle seule implique déjà une répétition lexicale, insiste et introduit par la même occasion une

Valjean change totalement son caractère à cause du bagne, il s’avachi sur sa tristesse, et est désespéré.On peut observer deux parallélisme au début et à la fin de l’extrait. Dans le premier parallélisme, on peut remarquer les deux adjectifs « méchant » ainsi que « impie », ce sont deux adjectifs négatifs décrivant le caractère de Jean Valjean. Dans le second parallélisme, on y voit un complément circonstanciel de manière « sévérité », «qui regarde le ciel avec sévérité» donc il doit penser à sa liberté

leurs terresvers 4 : - « allait » imparfait d’habitude qui montre qu’il trouve à manger tous les jours - « glacé » métaphore qui montre qu’il est handicapé par l’agevers 6 : - « sa cuisine allait bien »/ «la meme cuisine alla mal » antithèse + parallélisme de construction - « alla » passé simple qui annonce le problèmevers 7 : - on sort du récit puisque l’auteur va nous donner des info sur le Cormoran - « se sert … lui meme » présent de vérité générale, l’auteur insiste avec « se » /  « lui meme »

qui sont synonymes, plongent le poète dans cette incertitude et ce mystère. Celui-ci apparaît également dans la dualité de la personne avec les oxymores « La douleur qui fascine et le plaisir qui tue » (v.8), ici l’oxymore est construit sur un parallélisme qui renvoie à l’idéal de beauté baudelairien, une beauté mixte, en tension entre deux. Elle est belle parce qu’elle est belle et qu’elle souffre, et c’est cela la beauté. Cette dualité se retrouve aussi dans l’œil de la belle avec l’échange de