Parataxe

cucuphe" ou enfin, "Et moi j'ai le cœur aussi gros / Qu'un cul de dame damascène dans le poeme "Réponse des Cosaques". Ensuite, le poète au niveau des vers ou des phrases utilise des ruptures de rythme et de métrique comme avec la brisure du vers et la parataxe. Au niveau du poème, Apollinaire réduit son poeme "Chantre" à un vers elliptique, ce qui a son tour peut susciter l'étonnement et la surprise. De plus, il bâtit certains de ses poèmes sur une chute comme avec "Nuit Rhénane" et "La Porte". Enfin,

II) Un texte moralisateur. A) Un style percutant : Le style de Salluste est caractéristique ; c’est un style « sec », concis », qui a pour but de toucher plus directement le lecteur. Il ya une parataxe ( des propositions qui se succèdent sans mots de liaison) « de ita omnia…pellebantur » b) Eloge de la mesure Salluste insiste sur la démesure qui frappe ceux qui ont le pouvoir ( par ex. la noblesse qui va provoquer sa propre ruine

au début du vers 3 - Bosquet ménage la surprise - situation anormale qui n'est pas expliqué - autodérision => « cinq lignes » - discoure direct - troisième temps => retour au récit II- sonnet pas de rîmes - enjambement, rejet - phrase banale => parataxe - vocabulaire mélioratif - «linceul de luxe» => oxymore/ Allitération en [l] - la mort = ne plus être personne - adjectif «libre» provoque un verbe d'action - la mort permet d'agir - litote => «ne manque pas d'attrait» - discoure terminé par une

l'irresponsabilité du roi à l'égard du pays. Il craint les généraux au lieu d'en faire ses alliés. Ils critiquent également son ingratitude. Montesquieu fait donc un portrait dans lequel il souligne les travers de Louis XIV. C'est une construction en parataxe. C'est également un portrait en camaïeu dans lequel le cadre est plus lumineux que la toile. Il s'agit également d'une critique de la monarchie absolue tyrannique qui sont sans contrôle parlementaire. L'annonce de la mort de Louis 14 dans la lettre

sont nominales, sans verbes : l.1, l.3, l.12-13 - « abrutie » x3 -> effet produit : assez fragmenté, découpe qui force à faire une pause, comme pour bien comprendre la phrase - il y a peu de liens entre les phrases, voire pas du tout -> asyndète / parataxe - esprit borné, beaucoup de peine dans la parole et les pensées, comme si on était dans la tête de la mère - pauvreté du langage - beaucoup de poids derrière les mots et les phrases -> mise en forme de l’esprit de la Varienne - dans ce livre, Benameur

ailleurs énormément de parataxe plutôt que de syntaxe : « Je le trancherai, je le renverserai, je le romprai, je le ferai dégringoler » l.6. La langue subit également toutes sortes de démantèlements. Michaux s’amuse des néologismes. Le groupe « dissipation-dérision-purgation » l.11 l’atteste. Les mots sont simplement liés par des tirets et des sonorités semblables : le [d] et le [ion]. Là ou les mots de la phrase sont simplement accolés sans liaison sur le mode de la parataxe, Michaux lie d’autres

(« Ménalque ») : « […] Ménalque se jette hors de la portière, traverse la cour, monte l’escalier, parcourt l’antichambre, la chambre, le cabinet ; tout lui est familier, rien ne lui est nouveau ; il s’assit, il se repose, il est chez soi. ». La parataxe est, quant à elle, une forme d’asyndète qui consiste à juxtaposer deux propositions qui devraient être unies par un rapport syntaxique de subordination. Catachrèse (féminin) : C’est une figure qui consiste à employer un mot par métaphore Une métaphore

Périphrases lignes 15 et 16 : Perruque qui symbolise l'hypocrisie car visage caché. B) La situation d’énonciation - les énonciations (effet de miroir) dans la première phrase: jeunes opposés à vieillard. - redondance - construction en parataxe - il connote les vieillards C) Le point de vue due narrateur, étranger Périphrases des choses communes. Procédés de distorsion. Le narrateur est exclue, c'est un vocabulaire neutre. Il y a des verbes qui jettent le doute et des anaphores

dramatisation (la mort s'approche de plus en plus, passage du futur proche au présent). « Je me meurs » : tournure pronominale qui insiste sur l'instant de la mort. Mort physique avec le vocabulaire de l'épuisement. Déconstruction de la syntaxe avec la parataxe du dernier paragraphe : épuisement moral. Lettre tragique avec l'idée de la fatalité. Cette mort est la revendication de sa liberté.

* Bardamu s’interroge : que va-t-il gagner à se battre ? C’est une révolte passive : « on luttait un peu avec lui à coups d’inertie » → oxymore. « C’était comme si on avait essayé […] de me donner l’envie d’aller me suicider. » * Enfin, la parataxe de la dernière phrase relève aussi de cette dénonciation de la guerre et de la vacuité du combat. http://www.etudes-litteraires.com/celine-voyage.php#axzz2Eaq93Ssm