Pardon Justice Vengeance

moyen d'une réflexion sur le théâtre, dont il met en valeur l'écart par rapport à la vie réelle. Izquierdo, en effet, rappelle la grandeur du rôle qu'il jouait, celui d'Ascasio, un héros qui “mourait avec beaucoup de noblesse”, en “ s'efforçant de pardonner sincèrement” à ses bourreaux, afin de rester digne du Christ et de son sacrifice. Mais, à la scène 3 de l'acte II, devant déclamer cette tirade alors même qu'il s'agit de sa propre mort, il ne peut qu'adopter “un ton morne“, puis, à l'inverse de

sérieux. −  Je l'ai été, je le confesse à ta honte, mais va, je te le pardonne; les hommes ne valent rien. Dans le pays d'Athènes, j'étais ton esclave; tu me traitais comme un pauvre animal, et tu disais que cela était juste, parce que tu étais le plus fort. Eh bien ! Iphicrate, tu vas trouver ici plus fort que toi; on va te faire esclave à ton tour; on te dira aussi que cela est juste, et nous verrons ce que tu penseras de cette justice-là; tu m'en diras ton sentiment, je t'attends là. Quand tu auras

le duel entre Rodrigue et Gomès, le roi fulmine. Sa fureur redouble quand on lui annonce  qu'une armée Maure s'apprête à attaquer le pays. Scène VII
 Rodrigue sort vainqueur du duel. Son rival est mort. Scène VIII
 Chimène, désespérée, réclame que justice soit rendue : Rodrigue, assassin de son père, doit périr. Don Diègue intercède en faveur de son fils et s'accuse d'être responsable du meurtre.
Le roi hésite. Acte III Scène I
 La gouvernante de Chimène enjoint à Rodrigue de ne plus revoir sa maitresse

Molière – Le Misanthrope (1666 – siècle classique)Alceste, idéaliste et Misanthrope revendique de vivre sans hypocrisie. Il refuse de faire des compromis. Il se lie d’inimité avec Orante, car il ne loue pas son poème. Insulté, Oronte veut aller en justice, ce que confirme l’image négative qu’Alceste a de l’homme. Lorsque on découvre que Célimène, celui qu’il aime a plusieurs prétendants, Alceste est le seul à la soutenir et a lui proposer de se retenir ensemble. Elle refuse et la question si Alceste

qu'ils se rendent chez les Pazzi, Pierre et Thomas sont arrêtés par un officier allemand et conduits en prison. Alexandre de Médicis a décidé de faire comparaître devant le tribunal les deux fils Strozzi. Leur père se lamente de l'iniquité de la justice qui va condamner les fils d'une honorable famille. Lorenzo arrive. Et a une longue discussion avec Philippe Strozzi. Le vieil homme demande à Lorenzo de délivrer Florence d'Alexandre de Médicis. Lorenzo évoque alors son destin. Lorsqu'il était jeune

définition complète, seulement à celle qui est pertinente au roman concerné. Dans Yvain ou le chevalier au lion , nous trouvons plusieurs aspects de cette forme littéraire. Le premier, dont Chrétien de Troyes fait grandement justice dans cette œuvre, est défini, dans l ’Anthologie littéraire du Moyen Âge au XIXe siècle , «Ces œuvres […] magnifient les vertus guerrières de la chevalerie, telle que l’honneur et la bravoure, se plaisent à jouer sur la tension

demande à Sisyphe où se trouve Égine. Sisyphe accepte de lui répondre si, en échange, Asopos fait jaillir une source éternelle à Corinthe dont Sisyphe est le fondateur et le roi. Marché conclu. Sisyphe trahit donc Zeus, lequel échappe de justesse à la vengeance d’Asopos en se métamorphosant en rocher (→ le rocher des Enfers). Zeus veut se venger à son tour et demande à son frère Hadès, dieu des Enfers, d’infliger un lourd châtiment à Sisyphe : il a donc été condamné par les dieux des Enfers à faire rouler

la marquise et Balzac, bourgeois issu d’une famille de paysans ? En tout cas, c’est probablement sous ce prétexte que la marquise a refusé de se donner à son soupirant. De ce fait, ces trois récits sont souvent considérés comme des œuvres de « vengeance », d’autant plus que cette expression apparaît pas moins de quatorze fois dans La Duchesse de Langeais. Cependant, il est clair que ces trois textes ne sont pas de même nature. La Dézespérance d’amour est un conte moral qui ne fait que cinq pages5

être irrésistible, décide de lui montrer Mélite. L'effet est immédiat : Tircis et Mélite tombent amoureux l'un de l'autre. Désespéré et jaloux, Éraste tente de les séparer en forgeant de fausses lettres que Mélite aurait envoyées à Philandre : sa vengeance contre Tirsis est ainsi complète, puisqu'il brise ainsi et son couple et celui que sa sœur, Cloris, formait avec Philandre. Tandis que Mélite ne parvient pas à convaincre Cloris de son innocence, on annonce que Tircis s'est tué, et Mélite s'effondre

être irrésistible, décide de lui montrer Mélite. L'effet est immédiat : Tircis et Mélite tombent amoureux l'un de l'autre. Désespéré et jaloux, Éraste tente de les séparer en forgeant de fausses lettres que Mélite aurait envoyées à Philandre : sa vengeance contre Tirsis est ainsi complète, puisqu'il brise ainsi et son couple et celui que sa sœur, Cloris, formait avec Philandre. Tandis que Mélite ne parvient pas à convaincre Cloris de son innocence, on annonce que Tircis s'est tué, et Mélite s'effondre