Parlementarisme Orléaniste

pourquoi, le chef de l’État dispose de nombreuses prérogatives prêtes à être confiées à un monarque par une révision constitutionnelle. C’est ainsi qu’on a cherché des prétendants au trône de France. Malgré un désaccord entre légitimistes et orléanistes à l’Assemblée, c’est le choix légitimiste du comte de Chambord qui prévaut. Il doit monter sur le trône sans le nom d’Henri V. Il a cependant un condition : il souhaite retrouver le drapeau blanc de l’ancien régime ce qui ne passe pas. Dès lors

républicains étaient bellicistes. Elle compte 400 monarchistes sur plus de 650 membres. La situation politique est paradoxale : la République est proclamée mais l'Assemblée est dominée par des monarchistes, eux-mêmes divisés entre légitimistes et orléanistes, c'est-à-dire partisans de deux branches de la même famille des Bourbons, mais opposées quant à la conception de la future monarchie souhaitée. Les Républicains, eux-mêmes divisés entre une gauche modérée et une gauche radicale, refusaient quant

n’allait pas, il a échoué. On fait alors une correction. Il faut donc un diagnostic précis. La constitution de 1958 est le fruit de l’échec de la 3ème et 4ème république. 1958 est "la rupture dans la continuité." Section 1 : 1870-1958 L’échec du parlementarisme à la française C’est un moment essentiel pour comprendre la constitution de 1958.Les solutions adoptées dans la 5ème république peuvent être comprises qu’en connaissance de la 3ème et 4ème république. §1 : La troisième république C’est

divisaient entre légitimistes (favorables au retour des bourbons) et orléanistes ensuite venaient les républicains et enfin les bonapartistes et quelques indécis. La volonté de l'assemblée de rétablir la monarchie semblait au départ évidente mais encore fallait-il s'entendre sur le monarque. Les légitimistes souhaitent installer au pouvoir le comte de Chambord qui était le petit fils de Charles X (frère de louis 18) quant aux orléanistes, ils se montraient favorables au comte de Paris qui était le petit

est renversé par une révolution populaire, qui en juillet 1830, porte au pouvoir son cousin, le duc d’Orléans. 4-La Monarchie de Juillet(1831-1848) : La monarchie de Juillet a confisqué la révolution de 1830, au profit de la bourgeoisie orléaniste. C’est De 1830 à 1835, Louis Philippe doit consolider son pouvoir face à l’opposition légitimiste, et surtout à l’agitation ouvrière exaspérée par l’épidémie de Choléra. Deux tendances politiques s’opposent ensuite, le « mouvement » partisan d’un

pendant une quinzaine d'années, on se dirige progressivement au XIXème siècle vers un régime parlementaire. En Admettant que cela soit possible, à partir de quand peut-on dire que le régime en place en France a réuni les caractéristiques du parlementarisme? Nous verrons que cette naissance du régime parlementaire en France s'est faite en deux temps, avec premièrement une amorce de régime parlementaire par la charte constitutionnelle octroyée par Louis XVIII et deuxièmement l'orléanisme de la monarchie

responsabilité politique sous la 3e république, puis par la suite nous tenterons de distinguer l’élément qui sous la 4e république a posé problème lors de l’installation du parlementarisme rationalisé et les limitations du pouvoir du président. I. La responsabilité politique du président selon le type de parlementarisme. A. Sous un parlementarisme dualiste et moniste. Selon Gabriel Hanotaux, les institutions de la 3e république sont « un monument incohérent dont on ne pouvait même pas désigner l’architecte

démissionne remplacé de suite par Albert de Broglie. Dès lors la Chambre s’insurge contre le ministère de Broglie et refuse de lui accorder confiance. Cette compagne électorale a montré la confrontation entre deux conceptions parlementaires : parlementarisme dualiste de Mac-Mahon (le gouvernement est responsable devant la Chambre et devant le Président) et moniste préconisé par les républicains (le gouvernement ne doit dépendre que de la Chambre). Les conséquences institutionnelles impliquent les

Wilson, gendre de Grévy, trafique des décorations) le président de la République, Grevy, démissionne. On pense à Ferry pour le remplacer mais ce sera finalement Sadi – Carnot. Les adversaires du parlementarisme se tournent vers Boulanger. Sans rompre avec les Républicains il prend contact avec les Orléanistes en novembre 1887, les bonapartistes en janvier 1888. Il leur fait des promesses contradictoires. Débute alors pour lui une carrière électorale : le 26 février 1888 : il obtient 55 000 voix dans

sont divisés en deux branches à savoir les légitimistes qui sont partisans du conte de Chambord (petit fils de charles X, lequel est le petit frère de Louis XVI) et les Orléanistes, partisans du Duc d'Orléans (petit fils du Roi Louis Philippe qui a régné de 1830 à 1848). La différences tient que les Légitimistes..... , les Orléanistes eux, veulent une monarchie libérale. Quant à la gauche (républicain) est aussi divisé en quatre tendances, il y a tout d'abord la gauche conservatrice avec comme chef