Parlementarisme Orléaniste

gauche. La pratique est restée et s'est ensuite largement étendue dans le reste de l'Europe. 5) Définition de le parlementarismeLe parlementarisme désigne la volonté d'élargir les droits et les pouvoirs du Parlement face au pouvoir exécutif incarné par la monarchie centralisatrice. Ce fut le cas notamment en France et en Angleterre.De nos jours, le parlementarisme est une forme de régime représentatif dans lequel le Parlement, qui détient notamment le pouvoir législatif, dispose de la primauté sur

côté de la religion, du corps électoral. On avait un suffrage censitaire. Louis Philipe trouve un équilibre avec la chambre basse et a moins d’autorité avec la chambre haute. On est vers un parlementarisme. Il y a deux modèles de régimes parlementaires : Modèle initial : le parlementarisme dualiste (Orléaniste) Français Le premier ministre doit mettre un œuvre un double circuit de confiance politique. Il doit avoir à la fois le soutien politique de la chambre basse mais aussi le soutien politique

devant le parlement mais il a devant lui une majorité très conservatrice : La Chambre introuvable : majorité écrasante, 2/3 des élus étaient ultra royaliste. Chambre plus royaliste que le Roi et donc Louis xviii A BEAUCOUP DE MAL à appliquer le parlementarisme. !Après la victoire des modérés de septembre 1816 Louis XVIII pourra plus facilement jouer le jeu parlementaire il prend des ministres qui ont la confiance des chambres. Mais en 1820 et 1824, Victoire des ultraroyalistes. Réaction des royalistes

types de parlementarisme : • Le chef de l'État a des prérogatives puissantes : parlementarisme orléaniste (Monarchie de juillet). • L'influence du chef de l'État n'est que morale, ce n'est plus le chef du pouvoir exécutif : parlementarisme occidental (Angleterre depuis Victoria et France depuis 1877). • Disparition du chef de l'État, seuls le parlement et le cabinet sont présents et responsables : parlementarisme prussien (pays allemands après la guerre 14-18). Ces types de parlementarisme n'existent

provisoires d’attente monarchique, facilement transformables en véritable monarchie. Malgré tous les rapprochements tentés, l’espoir d’aboutir à un compromis entre monarchistes s’éloigne, tandis que celui d’un compromis entre modérés (républicains et orléanistes) s’avère possible. *B/ La IIIème République fondée en droit *par un compromis entre monarchistes et républicains Ce qui divise les républicains modérés et les monarchistes modérés, c'est-à-dire les légitimistes, c’est le débat république/monarchie

législatif sur l’exécutif, mais pas la réciproque. C’est donc un régime qui est déséquilibré dans ces institutions. Parlementarisme absolu : C’est une doctrine qui deviendra plus tard une doctrine politique, selon laquelle le pouvoir législatif, donc le Parlement, doit être au-dessus de tous les autres pouvoirs. On se trouve ici dans une confusion des pouvoirs, car le parlementarisme absolu veut, en quelques sortes, que le pouvoir législatif occupe tous les postes, tous les pouvoirs, s’occupe de tout

la question de la responsabilité du gouvernement et plus particulièrement celle des ministres est inscrite à la fois dans les Chartes constitutionnelles de 1814 et celles de 1830. Une responsabilité qui n’est pas sans rappeler la définition du parlementarisme avec les moyens d’actions entre les différents pouvoirs. Née de la responsabilité pénale, la responsabilité politique du gouvernement renvoie au fait que ce dernier doit posséder la confiance du parlement pour continuer d’exercer son rôle politique

SOCIALE POLITIQUE CONTEMPORAINE CHAPITRE 2 LA REVOLUTION LIBERALE ET LA CONTINUITE BONAPARTISTE (1848-1870) SECTION 1 – LES CADRES POLITIQUES § 1. – Le courant républicain § 2. – Le courant légitimiste § 3. – Le courant bonapartiste § 4. – Le courant orléaniste SECTION 2 – LES CADRES ECONOMIQUES § 1. – L’état de l’économie française § 2. – Les évolutions par secteur SECTION 3 – LES CADRES SOCIAUX § 1. – Les classes sociales § 2. – La législation sur le travail Février 1848 rouvre une nouvelle fois le

la France, il y a une opposition entre les monarchistes et les républicains. Les monarchistes sont 400 mais sont divises entre eux : division entre les légitimistes, dont le prétendant est le Comte de Chambord, petit fils de Charles X, et les orléanistes, dont le prétendant est le Comte de Paris, petit fils de Louis-Philippe, qui aspirent à une alliance entre la royauté et principes plus libéraux. Les républicains sont aussi divisés : conservateurs, au plus radicaux (Gambetta). Cette incertitude

France à la recherche d’un modèle de gouvernement (1789-1870) 1- Entre 1789 et 1870, une confusion s’installe entre le pouvoir législatif (régime d’assemblé – même si aucuns d’entre eux n’a terminé en dictature -, la IIIe république dites « Orléaniste » et la IVe dites « parlementaire ») et le pouvoir exécutif (à savoir les différentes monarchies absolues, la quasi-totalité des dictatures, ainsi que les théocraties – où le pouvoir exercé par les religieux). Pour les théoriciens de la séparation