Parodie De Phedre

| |- Viau, Pyrame et Thisbé, V, 2 |Dissertation : Peut-on tout montrer au théâtre ? | |- Racine, Phèdre, V, 7 |Invention : A la sortie d’une représentation de Roméo et Juliette, deux spectateurs contemporains débattent. L’un défend l’idée que le théâtre| |- Hugo, Hernani, V, 6

flirte avec un genre populaire, en l’occurrence le vaudeville. Outre la sortie fracassante d’Yvan ou la scène qui est à limite du farcesque, celle de l’altercation dont ce dernier est la victime, on peut voir dans le conflit opposant Serge à Marc la parodie d’un thème dramatique auquel le boulevard a souvent recours, celui de l’infidélité. Cette thématique est illustrée par la mise en scène de la relation triangulaire entre Serge, Marc et le tableau qui reprend le thème du ménage à trois (le mari,

de Diderot. Mme de Merteuil est une véritable actrice, elle se contrôle. Elle a recours à des modèles littéraires, elle s’est instruite pour savoir jouer ses rôles. Leurs lettres montrent qu’ils sont nourris de littérature (citations, références, parodies…) Ils possèdent un style, une élégance, fruits de leur culture. Ils ont aussi de la verve et de l’à-propos, ce sont de bons causeurs. Ils ont des dons pour plaire et une force de caractère. « Cependant, au milieu des bénédictions bavardes de cette

Boileau. 10 Nouveaux Programmes de Français – édition 2008 I-d. LE THEATRE CLASSIQUE Extraits des œuvres de : - Pierre Corneille, Jean Racine Molière. Une œuvre intégrale au choix - Molière, L’école des femmes, ou Jean Racine, Phèdre. I-e. LES COURANTS LITTERAIRES L’humanisme Le classicisme La philosophie des lumières Le pré-romantisme La négritude II – PRODUCTION ECRITE II-a. Le résumé de texte II-b. La dissertation et la discussion II-c. Le procès-verbal II-d. Le rapport

moururent » (Yourcenar, Carnets de notes de « Mémoires d’Hadrien » ). «  Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche » (Racine, Phèdre ). IV – L’hypallage et l’épithète morale  : un hypallage consiste à déplacer un mot dans la phrase pour lui faire occuper une autre fonction grammaticale

médicaments du mois) ; le monologue d’Harpagon (IV, 7). – Dans la comédie : le long monologue de Figaro, dans le Mariage de Figaro (V, 3). – Dans la tragédie ou la tragi-comédie : « To be or not to be ? », Hamlet ; les stances du Cid de Corneille (I, 4) ; Phèdre (III, 2 ; IV, 5). – Dans le drame romantique : le monologue de Cœlio à la fin des Caprices de Marianne de Musset ; le monologue d’Hernani (I, 4), celui de Don Carlos dans Hernani de Hugo (IV, 2), les monologues de Ruy Blas marchant « dans son rêve

fable est un apologue en forme de récit allégorique qui met en scène le plus souvent des animaux et terminé par une morale. C'est un genre très répandu, qu'on trouve dès l'Antiquité, en Grèce avec les Fables d'Esope, chez les latins avec celles de Phèdre, et dans le domaine français, de manière continue, avec les Fables de Marie de France, les isopets médiévaux, prolongés par les nombreuses fables écrites par les poètes de la Renaissance (Marot, Régnier, Bonaventure Des Périers); les plus célèbres

exagérée fait rire). - La satire va consister à critiquer, dénoncer quelque chose ou quelqu'un en le rendant ridicule. L'ironie va donc être souvent employée dans ce but. - Le registre comique naît souvent aussi de reprises parodiques (pastiches, parodies littéraires, clichés détournés). Quelles sont les règles du théâtre classique définies par Nicolas Boileau dans son Art poétique ? Il définit la règle dite des "trois unités" : - l'unité de temps: l'action de la pièce de théâtre doit se dérouler

dont les raisons du détournement des objectifs initiaux de l'expédition. Il s'agit d'une chronique en prose française. Aucassin et Nicollette C'est une œuvre étonnante mêlant vers et prose, parodie des chansons de geste et des romans d'aventure, qui inverse les rôles masculins et féminins. Parodie pourquoi ? _ le héros amoureux oublie de se battre. _ Nicolette quitte sa chambre fermée à clé pour retrouver Aucassin enfermé dans la tour et pleurant à chaude larme _ au château voisin, le couple

(les contemporains de l’auteur) n’est pas la seule à fournir des interprétations. La signification d’une œuvre se construit au cours de l’histoire par les lecteurs jusqu’à ajd.  Les 2 arguments s’appuient sur la distinction platonicienne (cf. Phèdre) entre le discours écrit et le discours oral (parole). L’écrit est caractérisé par l’autonomie de sa réception p/r à son émission. L’intention est un critère acceptable pour la parole mais est trop normative pour la littérature. Sens n’est pas