Parodie De Phedre

répétions, extravagance, idés extraordinaires. Il y a deux tendances essentielles : 1. Le contraste : il aime opposer ses personnages par le caractère, le vocabulaire, les moeurs. Il aime opposer ses personnages à eux-mêmes. 2. La comique de parodie – il fait participer le spectateur à une sorte de jeu intelectuel, c’est à lui de découvrir les intentions de l’auteur. En parlant de la comédie de Molière, on parle de la haute comédie. Le système dramatique de Molière Sa conception de comédie:

l'histoire et des collections courtes comiques de discussions pleines d'humour, comme dans les "comiques de Histoires" de François du Souhait; l'espiègle, chaotique, parfois obsene et presque illisible Moyen de parvenir par Béroalde de Verville (une parodie des livres du l'"entretien de table", de Rabelais et de Michel de Montaigne's "Les Essais") ; le "Caquets anonyme de l'accouchée" (1622) ; et D'Essertine de Molière'amoureuse de s "Semaine" (une collection d'histoires courtes). Choisissez la liste

comparer Paré et Rabelais... (p. 119) 1. Deux visions du rôle de l’expérience Les deux textes ont en commun de relater des processus expérimentaux menés, l’un par un scientifique, Ambroise Paré, l’autre par un personnage fictif, Gargantua, qui parodie le discours scientifique. Hormis une ressemblance formelle, tout sépare donc les deux textes, écrits dans des perspectives radialement divergentes. Ambroise Paré se propose un but scientifique et médical : prouver que les vertus que l’on attribue

un mot dans un sens contraire à sa véritable signification. B)LA SATIRE Est la critique railleuse(#burlona) de quelq´un , de quelque chose pour mettre en rélief l´aspect ridicule des actions d´un personage ou d´une certaine situation. C)LA PARODIE c´est la imitation burlesque d´une oeubre littéraire célèbre et d´une maniére générale, elle peut représente l´imitation de queq´un ou de son discours. D)L´ABSURDE Est l´association des propos que n´ont aucun logique et qui sont contraire au

tonalités comiques : Humour : se moquer sans méchanceté du ridicule d’une situation d’une personne ou d’une chose. Ironie : dire le contraire de ce qu’on pense pour montrer à quel point un comportement/une idée est ridicule. Le burlesque (ex : la parodie) : dégrader tout ce qui a un statut solennel, noble, sacré, en quelque chose de familier voir vulgaire. Conclusion : Molière est le grand écrivain de comédies car il a renouvelé le genre en présentant une multitude de caractères, de situations et

contrepoint, comparaisons des mises en scènes et des choix d’interprétation (Cyrano joué par Daniel Sorano puis par Gérard Depardieu). Lectures et activités personnelles (exposés, recherches...) : Suggestions : Corneille, Le Menteur ; Racine, Phèdre ; Victor Hugo, Ruy Blas. CYRANO DE BERGERAC, D’Edmond ROSTAND (1897) ENTRÉE DANS L’ŒUVRE Cyrano de Bergerac, comédie héroïque, en cinq actes, en vers… Première piste : Titre et horizon d’attente La comédie héroïque, Robert Abichared,

Héros a priori, pour ainsi dire, ils le demeurent dans tout contexte, même quand ils sont tournés en dérision sur le mode burlesque (Scarron, Le Virgile travesti). C'est au sens où ses épistolières écrivent à des héros consacrés (Pénélope à Ulysse, Phèdre à Hippolyte, Ariane à Thésée, Médée à Jason ... ) qu'Ovide a pu intituler Héroïdes l'un de ses recueils poétiques. De même, les héros que la tragédie met en scène sont généralement des figures légendaires, tirées de la mythologie. Quel que soit leur

que l’autre n’est que dérision et fausseté. L’autre, c’était aussi celle de « Socrate, ce sophiste, ce charlatan » disait Plutarque (Contre Colotès 1118d). Quant aux limites de la parole-dialogue, elles sont bien connues : les femmes, sauf dans les parodies mordantes d’Aristophane (cf. L’assemblée des femmes), le peuple, esclaves et étrangers non-citoyens (malgré les concessions intéressées évoquées par le Pseudo-Xénophon, cf. La République des athéniens I, 10-12), les enfants (in fans, sans parole)

désespoir né du sentiment qu’un destin fatal écrase l’homme. Ma blessure trop vive aussitôt a saigné. Ce n’est plus une ardeur dans mes veines cachée : C’est Vénus tout entière à sa proie attachée. Jean RACINE, Phèdre, I, 3. Vénus, déesse de l’amour, poursuit de sa vengeance la famille de Phèdre. • Le registre dramatique (du grec drama : l’action) → il caractérise la montée d’une tension, une succession d’événements violents. On confond souvent tragique et dramatique dans le langage courant parce que

que nous n’entendons pas ici attaquer la patrouille urbaine, chose utile qui garde la rue, le seuil et le foyer ; mais seulement la parade, le pompon, la gloriole et le tapage militaire, choses ridicules, qui ne servent qu’à faire du bourgeois une parodie du soldat.» Avec ironie, il poursuivait : «Il est important, députés ou ministres, de fatiguer et de tirailler toutes les choses et toutes les idées de ce pays dans des discussions pleines d’avortements». Il avait évidemment particulièrement remarqué