Parodie La Cantatrice Chauve

mener à des complications de la langue et à des orthographes qui n’ont pas vraiment d’explication. Pour le retenir, on doit l’apprendre par cœur. « Le serment de Strasbourg » a été écrit en 1142. Il se situe entre Louis le Germanique et Charles le Chauve et le frère Lothaire. C’est un accord entre les frères pour les différents royaumes. C’est un des premiers textes identifiés comme étant à la base du français. Le latin évolue avec le parlé, le roman (entre le latin et l’ancien français), l’ancien

Barthélemy, des guerres civiles, en dénonçant les responsables de ces actes, en autre Catherine de Médicis et le cardinal de Lorraine…), Corneille au début de sa carrière L’Illusion comique et Le Cid, le Dom Juan de Molière, Le Roman comique de Scarron, parodie burlesque du roman précieux. En Europe, Cervantès (Don Quichotte) et Calderon (La Vie est un songe), respectivement romancier et dramaturge écrivent leurs chefs-d’œuvre. Le baroque s’épanouit encore dans l’architecture, la sculpture et la musique

élucider le sens des mots et l'angoisse de ne pas y parvenir. Ils montrent des antihéros aux prises avec leur misère métaphysique, des êtres errant sans repères, prisonniers de forces invisibles dans un univers hostile (Parodie d'Adamov, 1949 ; Les Bonnes de Genet, 1947 ; La Cantatrice chauve de Ionesco, 1950). Par des processus de distanciation et de dépersonnalisation, ces pièces démontent les structures de la conscience, de la logique et du langage. L'essai de Martin Esslin publié en 1962, où l'expression

protagonistes, mais ce divertissement perpétuel, au sens pascalien du terme, est la parodie dérisoire de l’existence humaine, d’autant que les personnages ont conscience de leur jeu, et se dédoublent eux-mêmes pour se regarder parodier leur existence ; ce dédoublement est une source du comique de la pièce : « Je commence à en avoir assez de ce motif », « il n’y a pas d’issue par là »… De son côté, La Cantatrice chauve, écrite à partir des phrases d’un manuel de conversation franco-anglais à l’usage

l'obligea à regagner la Roumanie. C'est en 1942 qu'il devait se fixer définitivement en France, obtenant après la guerre sa naturalisation.  En 1950, sa première œuvre dramatique, La Cantatrice chauve, sous-titrée « anti-pièce », était représentée au théâtre des Noctambules. Échec lors de sa création, cette parodie de pièce allait durablement marquer le théâtre contemporain, et faisait d’Ionesco l'un des pères du « théâtre de l'absurde », une dramaturgie dans laquelle le non-sens et le grotesque

langage manipulateur. Ce mélange du tragique métaphysique et de l'humour dans la dérision et la déstructuration du langage et de la forme théâtrale (pas de scènes, actes très longs, didascalies abondantes) se retrouve chez Eugène Ionesco (La cantatrice chauve, 1950 - Les Chaises - La Leçon - 1951) et plus encore chezSamuel Beckett (En attendant Godot, 1953 - Fin de partie, 1957). Les Romans du XXe siècle :Ce genre très large voit la continuation du roman traditionnel mais aussi des innovations et

fonctions du langage. Celle du perroquet serait, par exemple, la parodie de la fonction phallique. Tout langage n’est pas signifiant. – On peut chercher tous les clins d’œil littéraires. (Queneau s’en donne à lui-même : « Si tu t’imagines » dira « Zazie »). À cet effet, on pourra étudier de près le monologue de Gabriel (p. 90). 14 « L’Être ou le Néant… les braves gens qui m’entourent. » (Sartre – Lamartine – Shakespeare). La parodie du surréalisme dans le portrait de Gabriel (p. 142) avec son «

protagonistes, mais ce divertissement perpétuel, au sens pascalien du terme, est la parodie dérisoire de l’existence humaine, d’autant que les personnages ont conscience de leur jeu, et se dédoublent eux-mêmes pour se regarder parodier leur existence ; ce dédoublement est une source du comique de la pièce : « Je commence à en avoir assez de ce motif », « il n’y a pas d’issue par là »… De son côté, La Cantatrice chauve, écrite à partir des phrases d’un manuel de conversation franco-anglais à l’usage

d’Albert Camus et de Jean-Paul Sartre, les dramaturges de l’absurde voyaient, selon le mot d’Eugène Ionesco, « l’homme comme perdu dans le monde, toutes ses actions devenant insensées, absurdes, inutiles ». Rendu célèbre par Eugène Ionesco (la Cantatrice chauve, 1951 ; Rhinocéros, 1959) et par Samuel Beckett (En attendant Godot, 1952), le théâtre de l’absurde tend à éliminer tout déterminisme logique, à nier le pouvoir de communication du langage pour le restreindre à une fonction purement ludique,

mondaine ? Il sort «  plaisir et des jours «  et ensuite « passionné d’art » mais ce sont des échecs. Après la mort de sa mère il arrête la littérature et écrit des articles sur la mémoire et la culpabilité. A partir de 1908 il imite le style Pastich (parodie) puis il écrit un cycle romanesque « A la recherche du temps perdu » en 7 tome écrit en Je. C’est une autobiographie déguisée de Proust ➢ Du coté de chez Swann ➢ A l’ombre des jeunes filles en fleures ➢ Du coté de Guermantes