Parodie Rencontre Amoureuse

l'obstacle dur » combattu par le comte et son ancien valet Figaro. S'il finit par être ridicule, il n'en est pas moins intelligent et rusé. Au-delà de la vieillesse, il incarne le refus du siècle, c'est-à-dire de toute innovation. Rosine, la jeune amoureuse, est elle aussi complexe: lucide malgré son inexpérience, sincère sans refuser le jeu, elle s'impose dans son refus de la tyrannie de Bartholo. Le comte Almaviva, jeune seigneur libertin, est sensible au naturel de Rosine et veut être aimé non

s'énerve). Il sait également pervertir le langage (= il l'utilise comme ça l'arrange) : ___- le langage courtois : « ordre » (l.1), « à vos pieds » (l.83), mais ce n'est pas pour lui dire qu'il l'aime → il ____"parodie" le langage ___- le langage religieux utilisé pour son entreprise amoureuse (c'est antithétique / ironique car ce qu'il fait est ____contraire à la religion). Il se moque un petit peu en même temps de Mme de T. Il sait jouer sur la suggestion : « je lui en prépare de plus efficaces

d’érudition (ce dont se moque Molière dans Les Femmes Savantes). Vont prendre parti des modernes. Accusé de prédilection des salons : Poésie de circonstance (petits poèmes qui sont mineurs : madrigal, épigramme par exemple), débat de casuistique amoureuse : l’art d’étudier les cas (l’amour peut-il durer plus d’une vie ? Si il faut aller à un bal où on peut croiser son mari ? Est-il vraisemblable d’avouer à son mari qu’on aime un autre homme ?) - Question de la langue : les précieuses ont un style

sous le nom de « Wahlheim » ou « W » (en allemand littéralement « chez-soi choisi »). Il aime se promener dans la nature où il s'exerce à l'art du dessin, puisqu'il se considère comme un artiste. Un jour, il est invité à un bal, au cours duquel il rencontre Charlotte (Lotte), fille de notables, qui, depuis la mort de sa mère, s'occupe de ses huit frères et sœurs. Werther sait dès le départ qu'elle est fiancée ; cependant, il n'en tient pas compte et tombe immédiatement amoureux d'elle. Durant le bal

(1810-1857) *Hugo (1802-1885) *Vigny (1797-1863) - Deux textes importants => Le Lac est un poème de Lamartine, publié en 1820. Dans celui ci le poète s’adresse au Lac, on y retrouve le romantisme de l’époque par les thèmes de la nostalgie amoureuse abordée, le sentiment, la fuite du temps. Atala, récit de Chateaubriand publié en 1801. C’est une épopée en prose d’inspiration chrétienne où l’action se déroule en Amérique. Le fait que l’influence du paysage soit décisive montre la sensibilité

qui est comique. Il y a également la scène où Pierrot essaye de dire à Charlotte qu’il l’aime, cette scène a uniquement pour but de faire rire, avec les deux personnages qui s’expriment en vieux patois. On peut également assimiler cette scène à une parodie de la scène entre Done Elvire et Dom Juan, ici Done Elvire est Pierrot et Charlotte est Dom Juan. II – Une pièce entre tragique et comique 1- Une comédie sérieuse Dom Juan est une pièce avec une dimension sérieuse importante où Molière fais

par le contenu (histoire de gens qui se sacrifient pour l’Eglise, mais les héros ne sont pas des Saints). Ces chansons sont écrites pour être chantées, lues et récitées (comme par exemple Turold). A partir du 13e siècle, le genre s’est dégradé en parodie. Pourquoi a-t-on commencé à écrire ces épopées ? Il y a plusieurs hypothèses : - C’est une adaptation du texte latin. Mais le fait que ce soit une traduction n’est peut-être pas tout à fait juste, car on n’a pas retrouvé de traces latines pour

on apprend plus haut qu’il est devenu rédacteur en chef du journal, et il ambitionne dorénavant une carrière politique. ð sociale puisqu’il est devenu « le baron Du Roy du Cantel » et qu’il épouse une jeune fille d’une famille riche. ð amoureuse puisque, si Suzanne est jeune, jolie et lui plaît, il se réconcilie en silence avec sa maîtresse préférée (« Leurs yeux se rencontrèrent, souriants, brillants, pleins d’amour »), et la réconciliation ainsi que la fin de l’extrait laissent entendre

sociale, soit le plus souvent d’une pirouette stratégique lui permettant de ne pas répondre aux questions que son valet lui pose. Certes, à la scène 2 de l’acte 1 il explique d’abord son goût pour les femmes par une mise en parallèle de la conquête amoureuse avec la conquête militaire, dans la tirade à laquelle j’ai déjà fait allusion. Mais outre qu’il s’agit de la seule tirade dans laquelle Dom Juan semble expliquer plus que justifier son comportement, cette tirade, dans la deuxième scène de la pièce

culture de base. 2) construire un archétype du rusé, si cela est possible, en raison des multiples facettes que peut prendre la ruse. 3) l’hypertextualité (texte source réécrit, arrangé, adapté) et l’intertextualité (allusions, citations, parodies d‘histoires traditionnelles) ce que nous trouvons dans la littérature de jeunesse. 4) «connaître pour reconnaître» afin de profiter du jeu littéraire proposé par l’auteur. « Ce sont ces stratégies et ces savoirs, cette culture étendue au