Paronymie

Trois imprécations (malheur en anaphore + honte) enchaînées dans une gradation ternaire => Image de l'automutilation (l'utilité est donc intrinsèque à sa nature). Opposition frère / désert, sandales / scandales renforcée par la rime riche et la paronymie - Le poète est un élu : Au début et à la fin de l'extrait : Dieu le veut / mène à Dieu (origine et fin) Pareil aux prophètes - opposition voit / végètent Emploi absolu des verbes : il voit, il pense Dieu parle à voix basse à son âme. Opposition

dont mon cœur se faisait autrefois, avant tant de plaisir, redire les exploits, à qui même en secret je m’étais destinée, avant qu’on eût conclu ce fatal hyménée ». Dans le vers 1422 « sa mort sera l’effet de l’amour d’Hermione » Racine utilise une paronymie de « mort » et « amour » pour montrer que la mort de Pyrrhus sera effectivement et ironiquement l’effet de l’amour d’Hermione. La tirade d’Hermione, un personnage troublé et contrasté, dans la scène I de l’acte V est composée de deux parties.

Diem) et au stoïcisme (calme) Vers 7 et 9 « clameurs », vers 11, 20 et 22 champ lexical du cri, vers 26 et 27 l’enjambement « qu’à manger »  cochon agité, crieur, ampleur immense de ses cris, personnage rationnel (déduction logique) Le charton : paronymie avec Caron qui fait passer le Styx (fait passer de vie à trépas), imperméable aux supplices du porc, caractère inévitable de la mort III/ La portée didactique de cette fable A) Une apologie de l’ignorance Rapprochement entre la candeur et nonchalance

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1 1 LPB/ 1 Guillaume APOLLINAIRE, « Les colchiques », Alcools (1913). Parcours : Modernité poétique ? Introduction En vérité, Apollinaire n’a réellement finalisé et coordonné que deux recueils strictement poétiques : Alcools (1898-1913) publié au printemps 1913 et Calligrammes, Poèmes de la paix et de la guerre, 1913-1916, publié fin 1918. Souvent réduit à un manifeste de la Modernité, Alcools se présente plutôt comme une suite de tableaux variés, plus ou

victime. Mais ce rejet a des conséquences sur l’écriture du poète qui est alors condamnée à l’anti-lyrisme. De fait, couper les ailes au poète, revient symboliquement à le couper de toute inspiration lyrique: « sans aile », sans elle par l’effet de la paronymie, le poète n’a plus d’Idéal : il ne peut que chanter « la boue », autrement dit croasser. Corbière dévoile donc la fausseté des contes de fée : le crapaud n’est pas rendu à sa véritable identité de prince, faute de baiser salvateur : l’aimée refuse

comparé (âme est comparé à temps), ce qui éclaircit. On a donc un poème simple, clair et très régulier. II – Lyrisme pur et dur : Moi d’abord ! Le 1er quatrain est une confidence lyrique : on a les états d’âme et le paysage, ainsi qu’une paronymie (« pleurer » et « pleuvoir »). ⇒ ORIGINALITÉ SYNTAXIQUE : Forme impersonnelle du verbe pleurer (qui n’existe pas). Mais Verlaine fait correspondre et insiste sur l’analogie paysage/intérieur. Cette tournure impersonnelle introduit une mise à distance

longue liste, invention du torche cul, fais pipi sur les parisiens (la farce), le comique verbal(comique de mots)travail sur la confusion des sons ou de sensRépétitions ; allitération/assonance ; calembours, jeux de mots, déformation ; homonymie/paronymie« Nul ne les éveillait, nul ne les forces, a boire, ni a manger, ni a faire quoi que ce fut d’autres »(Chap. LVII) quand il témoigne du mode de vie ideal. La longue liste des jeux de gargantua. Tout les néologismes (mots et jeu de mots inventer par

incompris par sa bonne dans On Purge Bébé comique de mots : "la belle chose , que de savoir quelque chose !" (fondé sur la répétition), dans le Bourgeois gentilhomme "dans les oreilles des sourds" dans La Leçon "les Z'Hébrides" dans On purge bébé (paronymie avec le mot "zèbre") comique de répétition : dans le Bourgeois gentilhomme : la répétition des voyelles, et des exclamations admiratives hyperboliques. dans La Leçon : la répétition des interruptions de l'élève "Oui, Monsieur" "J'ai mal aux dents"

chaque étape, « la pâte grise », la cuisson, la sortie du pain. Cette nourriture est mise en valeur en utilisant les cinq sens des enfants, auxquels le lecteur s’identifie, il sent « les croûtes parfumées », d’autant plus mises en avant grâce à la paronymie au vers précédent « les poutres enfumées ». Les enfants et le lecteur « se ressentent si bien vivre » , on sent presque l’odeur du pain en lisant le texte, et cette odeur fait revivre les enfants et leur redonne un peu d’espoir, « ils ont leur

trois schémas existant (successivement : croisées, plates et embrassées). L’alternance des rimes masculines et féminines est respecté, et les rimes sont généralement riches, voire équivoquées (« végètent » / « jettent »), ou fonctionnent sur une paronymie (« sandales » / « scandales ») l’évocation du monde : relever tous les termes appartenant à une évocation presque « géographique » du monde : les déserts, les forêts, les flots, la Cité… Le Poète a une vocation universelle. Cette prise en compte