Particularisme Linguistique

une sur Mons en Belgique par Cécile Bauvois et Bertrand Diricq au service des sciences du langage à l’université de Mons et de Hainaut. En s’appuyant sur des enquêtes, les auteurs mettent en évidence les discours des individus sur les rapports linguistiques dans une ville et examinent par ces mêmes discours les attitudes, les valeurs et les marquages identitaires. Les enquêteurs, à travers leurs travaux, se sont demandés comment les pratiques langagières influaient sur l’espace social urbain et sur

remercie, avant de nous quitter, voilà etc … J'exploite mes ressources : le corps : le regard, les gestes, la posture L'ouverture ou la fermeture La voix : Le volume, le débit, les pauses, l'intonation Le propos : le contenu, l'expression linguistique, la rhétorique ( = enchainement des arguments). La relation : le respect de l'image, la non-agression des idées des autres, la non-ingérence dans le territoire des autres. Attention à l'élocution (respiration et voix), à l'attitude (posture

qu'un simple jeu linguistique, ou une figure de rhétorique parmi d'autres. Elle est bien davantage que cela : c'est un instrument majeur de pensée. Selon l'auteur, différents éléments viennent confirmer cette affirmation : « - le caractère systématique des correspondances linguistiques ; - l'usage de la métaphore comme guide tout à la fois de raisonnement et du comportement basé sur ce raisonnement ; - la possibilité de comprendre de nouvelles extensions [=des formu-lations linguistiques nouvelles] dans

lecteur à l'université de Bucarest. Séjournant en Roumanie de 1948 à 1949, il découvre la réalité du système communiste. Un poste de lecteur, de 1949 à 1950, à l'université d'Alexandrie lui permet de se lier avec Greimas qui lui fait connaître la linguistique et à la sémiologie. De retour en France, Barthes travaille, de 1950 à 1952, à la Direction générale des relations culturelles, au ministère des Affaires étrangères, puis de 1952 à 1959 au CNRS comme stagiaire (lexicologie) et attaché de recherches

Monogénèse et polygénèse La question de l'origine des langues a toujours suscité de nombreuses hypothèses et mis a contribution les travaux tant des anthropologues, que des archéologues, des généticiens, des linguistes, etc. En 1865, la Société de linguistique de Paris avait informé ses membres dans ses règlements qu'elle ne recevrait «aucune communication concernant [...] l'origine du langage». Mais la question a continué néanmoins à hanter les linguistes et la recherche d'une langue mère unique s'est

oublier le point de vue des défenseurs et leur lutte acharnés pour préserver la « pureté » du français. Nous aborderons par la suite l’impact de ce que Claude Hagège appelle « invasion » de l’anglais sur la langue française au niveau strictement linguistique (lexique, grammaire, morphosyntaxe et vocabulaire) tout en illustrant par des exemples concrets. Dans un troisième volet nous expliqueront via le point de vue de l’auteur les retombées économiques, sociales, culturelles et politique de cette « assimilation »

lit etc. Nous voila donc condamnés à toujours regretter l’insuffisance du langage, et à nous détacher nous même de ce qui fait notre originalité, notre personne, en recourant, à contrecoeur , à ce langage impersonnel. Entrons-nous dans un monde linguistique, idéal, général, profondément distinct réel toujours étonnant. Il nous est en quelque sorte naturel, par notre tendance à la simplification, de devenir des êtres symboliques. Alors Bergson rappelle la cause de ce processus, et jette soudain la

▪ savoirs grammaticaux plus complets et mieux rôdés, ▪ savoir-faire analytique dans le domaine grammatical, ▪ utilisation plus souple de la langue ▪ perception de la langue comme "système", ▪ conscience linguistique plus développée. 1. le savoir grammatical facilite la compréhension et la production dans les deux langues, du fait par ailleurs que anglais et alld sont étymologiquement proches 2. la capacité d'analyse lors de l'étude de structures

: peut être permise par la langue) Voit la langue comme un système. Approches Synchroniques/Diachroniques Approche dite diachronique s'intéresse à l'histoire de la langue et étudie ses évolutions (étymologie, évolutions phonétiques). Ex : La linguistique comparée. Approche dite synchronique s'intéresse à une langue à un moment précis de son histoire ; ex : La grammaire scolaire est pour l'essentiel synchronique : elle indique quelles sont les normes considérées comme des règles d'une langue,

abondance de définitions sans qu’il y ait toujours consensus entre elles. Pour ces raisons, on ne peut prétendre ici à une présentation exhaustive. Néanmoins, la plus répandue du bilinguisme se fonde sur les aptitudes et non pas sur les politiques linguistiques ou éducatives. Il s’agit d’une aptitude facultative ou nécessaire, pour que communiquent entre eux des interlocuteurs de deux mondes dont les langues présentent entre elles une différence telle que la communication peut en être rendue difficile