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qu’il veut emprunter au réel. « Après trois années d’études acharnées, Rumphius est parvenu à déchiffrer le papyrus mystérieux, (…), et c’est sa traduction latine, tournée par nous en français, que vous allez lire sous ce nom : Le Roman de la momie. » p.94. L’extrait que nous allons étudier nous entraîne dans la découverte d’une momie qui « semblait endormie plutôt que morte » p.90. La représentation de la femme reste donc le fil conducteur de tout le roman. Comment la momie devient-elle l’emblème de

nouvelles pratiques professionnelles auprès de personnes présentant une déficience intellectuelle Mémoire déposé en vue de l’obtention du Diplôme Supérieur en Travail Social D.S.T.S. Directeur de recherche : Monique Chauliac Présenté par : Pascale Monat-Gourbin LYON 2005 SOMMAIRE Avant-propos INTRODUCTION GENERALE p.2 PREMIERE PARTIE Chapitre 1 Vers une prise en charge humanisée et individualisée des personnes en situation de handicap 1.1.1.Du XVIIIème siècle à aujourd’hui

elle-même imaginaire, une théorie ordinaire de l’imagination à l’âge classique : on retrouve, par exemple, la fameuse cage dans laquelle on enferme le philosophe1. Les auteurs classiques, de Montaigne à Kant, -qu’il s’agisse de Descartes, de Spinoza, de Pascal, de Leibniz, de Malebranche- ont considérablement développé la théorie de ce qu’ils appelaient l’imagination, en croyant probablement, et en nous faisant croire encore aujourd’hui, qu’ils parlaient de quelque chose par là. Que mettaient-ils sous ce

Surréalisme à Paris III pendant les deux années universitaires 2004-2005 et 2005-2006. Ce travail de contextualisation se référera aux travaux des historiens sur cette question des intellectuels au XXe siècle, et surtout à deux ouvrages de référence : de Pascal Ory et JeanFrançois Sirinelli, Les Intellectuels en France de l’affaire Dreyfus à nos jours, Armand Colin, 1992 et de Michel Winock, Le Siècle des intellectuels, Seuil, 19971. Pour analyser ces figures de surréalistes en intellectuels, il faudra faire

unitaire qui serait largement acceptée. Ainsi les approches sur cette question extrêmement complexe se partagent-elles traditionnellement entre celles qui considèrent que l'objet de la psychologie est le comportement et sa genèse, les processus de la pensée, les émotions et le caractère ou encore la personnalité et les relations humaines, etc. Les différentes branches de la psychologie se distinguent soit par la méthode utilisée (clinique ou expérimentale), soit par l'activité humaine considérée (travail

d’abord reconnaître son sentiment intérieur, mais n’oublions pas l’insistance de Sarraute sur l’universalité de l’être humain et sa déclaration là-dessus dans une conversation avec Simone Benmussa qu’elle « n’a pas de sentiment d’indentité [et qu’elle] pense qu’à l’intérieur de chacun de nous, très profondement, nous sommes pareils » 23 . À sa façon, il s’agit donc d’une recherche dans l’imaginaire personnel d’un univers étrange et énigmatique et dans la vie psychique du sujet pour retrouver la sensation

Le style est essentiellement celui du conte : simple, incisif, les effets étant rares : - La création plaisante qu’est «se poudre-de-rizaient» (page 10). - Des juxtapositions insolites, qui permettent de découvrir un autre sens, inaccessible à la pensée froidement rationnelle. - Les métaphores : celle des «brusques ombrelles de terre» (page 14) qui sont soulevées par les boulets de canon, et indiquent l’ignorance du vicomte, semblable à celle de Fabrice del Dongo à Waterloo dans ‘’La chartreuse

comme le surgissement d'une parole populaire jusqu'alors réprimée. Joël Cornette confirme la thèse d'Habermas. En effet, il rend hommage à Habermas en rappelant que ce dernier à bien vu la multiplication de ces clubs, salons, cafés, sociétés de pensée, d'agriculture... On peut exercer la raison dans le domaine politique. Cornette rappelle le rôle marginal en terme de nombre « l'extraordinaire vitalité des Lumières reposa sur de petits nombres ». Ce petit nombre on en a la preuve avec que l'Encyclopédie

façon plus générale sur les passifs, ont été engagés par le Conseil National de la Comptabilité (CNC) en 1998 dans le but d’introduire dans le Plan Comptable Général (PCG) 1999 des règles convergentes avec les règles internationales rénovées (EITF 94-3 et IAS 37[3]). Ces travaux ont conduit à l’avis CNC n° 00-01[4] qui a été adopté par le Conseil de la Réglementation Comptable (CRC) sous forme du règlement n° 00-06 du 7 décembre 2000 et homologué par l’arrêté du 17 janvier 2001. Ces dispositions

La metamorphose dans les Maximes de La RochefoucauldLA MÉTAMORPHOSE DANS LES MAXIMES DE LA ROCHEFOUCAULD Éric Tourrette Presses Universitaires de France | « Dix-septième siècle » 2015/2 n° 267 | pages 281 à 306 ISSN 0012-4273 ISBN 9782130650959 DOI 10.3917/dss.152.0281 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-dix-septieme-siecle-2015-2-page-281