Pathos Et Discours

savoirs professionnels. 2. Cadre méthodologique des séances - Référents disciplinaires Le travail d’analyse de la pratique professionnelle tel que je le conçois, s’inscrit dans le cadre d’une démarche clinique, c’est-à-dire partant du sujet, de son discours, de sa vérité. Plus précisément, c’est à partir de la parole de l’étudiant sur sa pratique - essentiellement les stages jalonnant la formation et son éventuelle expérience passée - et seulement à partir de cette parole que le « détricotage » peut

spirituel dans l’art, 1912) avec un infléchissement spiritualiste. Il faut plonger dans les profondeurs de la vie intime de l’être, afin d’extérioriser le noyau intime de l’être et le projeter à l’extérieur, avec le maximum d’intensité. Théorie du « neuer pathos » : extériorisation violente de soi-même. - Paul Klee : « l’art rend visible les choses » ; Eluard : « donner à voir ». L’acte de peindre est un don, une faveur généreuse. - art non figuratif, mais pas abstrait. Torsion, distorsion des apparences :

détachement par rapport à la révolution. * Il se venge, il se console avec une jeune femme aux mœurs légères, il décide même de se rendre dans la chambre réservée pour l’autre femme pour l’outrager dans son âme. * Hypocrisie de F dans son dernier discours. * Mme Arnoux est idéalisée, c’est un amour impossible. * Il n’a aucune volonté, il rêve sa passion au lieu de la vivre. Rosanette a peur de la foule, F, est un anti-héro, un héro raté comme cette révolution. II ] Une révolution ratée

La plaidoirie Le plaidoyer est un discours qui vise à défendre une cause , une personne , une idée …. Le réquisitoire, au contraire, est un discours qui vise à critiquer , accuser une personne , une cause ou une idée . (apostrophe, question rhétorique, répétitions, anaphores, etc.) I.  Les différentes parties

peur (peur que personne n’aime son frère) et de la culpabilité . Il martèle ces deux mots « peur /coupable ». Il raconte ensuite qu’il entendait leurs parents tenir le même genre de discours. « nous pensions en effet que nous ne t’aimions pas assez, ou du moins, que nous ne savions pas te le dire (…) cela revient au même » Il souligne que dans la famille, les sentiments ne sont pas exprimés facilement

argumentative .................................................... 57 A. La rhétorique classique au service de l’argumentation ........................................... 57 1. Ethos, pathos, logos .............................................................................................. 57 2. Les plans du discours ........................................................................................... 58 B. Comment débuter sa dissertation ? .................................................

Style de l’écriture : sec, constat simple, rapide, brièveté des phrases, peu de mots de liaison. Prolepse « je prendrai l’autobus, je rentrerai demain » et analepse « j’ai demandé 2 jours de congé à mon patron ». Neutralité de Meursault, absence de pathos pour un fait généralement grave => déroulement conventionnel de la vie, méthodique « c’est comme si maman n’était pas morte » => pour le patron car il n’y a eu encore aucune démarche officielle. Meursault => « maman » = affection, patron =>  « mère »

courtois , en dépit de certaines apparences. Elle peint plutôt le mort de cet idéal, et son évanouissement ou son élévation dans la pénitence, le renoncement à la fois résigné et joyeux au siècle. » Flamme mystique  : discours religieux / cistércien de la Queste -> pénitence / renoncement au siècle = monde d’ici bas et aux gloire terriennes vs prières et retrait en ermitage ; chevalerie terrienne vs chevalerie célestienne ; idéal

comme un fardeau et fait de lui un personnage qui peut aller de la violence jusqu'à la tyrannie. Son caractère versatile le place parmi les personnages les plus difficiles à comprendre dans le projet de la Comédie humaine. Le lecteur partagé entre le Pathos et l'Ethos 4/8 du personnage a du mal à l'identifier et à deviner l'importance qu'il prend au sein du récit. C'est pourquoi nous allons essayer de l'analyser à travers plusieurs études. Tout d'abord, le comte de Mortsauf n'est pas un personnage

même l’expérience de l’altérité d’autrui, ou celle de l’étonnement, n’est pas un produit de la seule réflexion intellectuelle, Nietzsche a bien vu qu’il s’agissait là d’un pathos, d’une expérience autant affective que réfléchie. Lorsque nous parlons et jugeons, lorsque nous nous prononçons, il existe une distance entre le discours et ce dont il parle, son référent, qui d’ailleurs est à la base un particulier de base de degré zéro, or cette ouverture et cette distance sont si peu produites par la réflexion