Patronat

Comment les syndicats interviennent pour améliorer les conditions de travail des salariés ? Les syndicats sont aussi des acteurs du dialogue social entre l’État, les employeurs et les salariés. En effet, les syndicats peuvent signer avec l’État ou le patronat des conventions collectives, des accords nationaux (ANI), des accords de branche qui règlent les conditions de travail pour l’ensemble des salariés. Quels sont leurs moyens d’action ? Actuellement, le moyen le plus reconnu par les syndicats pour

nombre est important ce qui favorise leur remplacement dans les entreprises en cas de revendication, les ouvriers sont dépendent de leur employeur et n’ont encore aucun moyen d’action pour améliorer leurs conditions de vie et pour lutter contre le patronat. Les ouvrier réclament une hausse de leurs salaires, une baisse du temps de travail( nombre d’heures journalières et congé de fin de semaine), ils réclament aussi une protection sociale ainsi que le droit d’association. Naissance du syndicalisme

française (l. 1),  et les représentants des salariés c’est-à-dire le syndicat de la  C.G.T. (l. 2). Récit : Les grèves et les occupations d’usines inquiètent le patronat. Il y voit une tentative d’expropriation et le début d’une révolution sociale. A la demande du patronat Léon Blum réunit à l’hôtel Matignon les représentants du patronat et la C.G.T. . Ils signent les accords le 7 juin 1936.   En quoi est-ce une nouveauté ? Pour la première fois l’Etat intervient directement pour arbitrer des

hiérarchiques, les soutiennent en cas de litiges*qui entrainerait une procédure judiciaire. Les syndicats font le dialogue entre l’État, les employeurs et les salariés .Les syndicats reconnus comme représentatifs peuvent signer avec l’État ou le patronat des conventions collectives* qui règlent les conditions de travail pour l’ensemble des salariés. Les syndicats jouent aussi un rôle de gestionnaire d’organismes. C’est ce qu’on appelle le paritarisme : en partenariat avec les organisations patronales

syndicale est la capacité, pour des organisations syndicales de salariés, de parler au nom de ces derniers. La reconnaissance de cette capacité permet en particulier aux organisations de négocier et de signer, avec l'employeur ou les représentants du patronat, des accords s'appliquant à l'ensemble des salariés d'une entreprise, d'une branche d'activité au niveau local ou national, ou encore à tous les salariés de l'ensemble des secteurs d'activité. La situation française a été pendant plus de 50 ans

l’affaire Woerth-Bettencourt…et tellement d'actualité!!!! que je le publie: [pic] 1) Le contexte La crise économique de 1929 1933 secoue toutes les sociétés européennes. Plutôt que de partager une partie de ses richesses, dans tous les pays le grand patronat finance des organisations fascistes capables d’intimider sinon exterminer les militants syndicalistes et progressistes. La droite, l’Eglise, l’armée et la police sont traversées par un climat de sympathie vers cette solution autoritaire. Début 1934

l'indépendance syndicale quittent la CGT et créent un autre syndicat, la CGT-FO.
FO a environ 300 000 adhérents, surtout dans le secteur public. C'était, à l'origine, un syndicat réformiste, pour les négociations et les accords avec le gouvernement et le patronat. Mais ce syndicat est devenu plus protestataire. Aujourd'hui, il fait des grèves et des manifestations pour s'opposer à la mondialisation libérale, aux réformes des retraites et aux réformes de la sécurité sociale. Il reste très indépendant des partis

plus de conquérir de nouvelles places. La baisse du travail féminin = 30’s. Les femmes baissent et de nouveaux étrangers arrivent. Dans les 20’s, arrivent chaque année en France 100 000 étrangers. On à des flux considérables de telle manière que le patronat des houillères crée en 1924 la Société Générale de l’Immigration, pour recruter a l’étranger. On a un monde croissant des étrangers comme a Marseille par exemple. A Billancourt on a 30% de main d’œuvre étrangère. ==>A partir de 1904, des ingénieurs

créé de toutes pièces par les partenaires sociaux, contribue en retour à légitimer leurs propres rôles. La convention collective de la branche AFB contient dans sa nouvelle version un versus contractuel, c’est-à-dire des engagements pris entre patronat et syndicats. Il s’agit par exemple des procédures relatives au fonctionnement de la Commission Paritaire de la Banque, la gestion des ressources humaines (classification, évaluation, mobilité, formation). Mais ces engagements sont nettement moins

pragmatique qui canalise la révolte A’) Des acquis sociaux historiques Dès le lendemain de la « déclaration ministérielle », le 7 juin 1936, le gouvernement pousse la CGT et le patronat à signer les accords de Matignon. Sous l’extrême pression révolutionnaire et la menace d’une révolution bolchevik en France, le patronat est près à céder un bon nombre de choses. Ainsi, les accords de Matignon permettent « la reconnaissance du droit syndical », « la hausse des salaires de 7 à 15% pour les catégories