Patronat

violemment réprimées. La CGT se présente ainsi comme étant un intermédiaire entre le patronat et le monde ouvrier. B-Un but ultime: renverser le patronat Les idées exprimées par la CGT dans la charte d'Amiens ont des tendances marxiste, voir anarchique. Pour les dirigeants, c'est une « renaissance de la lutte des classes » (l.4). Selon eux il faut que les ouvriers se mobilisent pour renverser le patronat et ainsi se défaire de la domination exercée. II-Le paradoxe: officiellement apolitique

réciproque de solidarité que nous allons étudier au travers de l’instauration du patronat et celui de l’obligation du lien de clientèle. A/ L’instauration d’un principe nouveau : le patronat Dans sa première loi, Romulus permet à « chacun de choisir son protecteur ». C’est à travers ces paroles, qu’il met en place le tout premier principe de patronat, offrant aux plébéiens une certaine protection. En effet, le principe de ce patronat était de permettre aux plébéiens, à travers le savoir des patriciens,

de la ligne 1 à la ligne 6. C’est une volonté certainement de noter les forces en présence et d’affirmer derrière un désir plus ou moins commun un projet salariale et sociétale. De l’autre côté du champ d‘opinion, nous avons le Conseil National du Patronat Français (CNPF) et la CGPME (Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises). Et pour arbitrer les débats, remarquons la présence du Premier ministre, du ministre des Affaires sociales et du secrétaire d’Etat chargé des problèmes de l’emploi

novembre La CFDT veut contraindre le patronat à assumer ses responsabilités lors de la négociation interprofessionnelle sur la pénibilité au travail. Agir pour des résultats sur la pénibilité Sous l’impulsion de la CFDT, la réforme des retraites a imposé aux partenaires sociaux de négocier sur la pénibilité. La CFDT veut maintenant des résultats concrets sur ce sujet. Aujourd’hui, les propositions du Medef sont nettement insuffisantes. Il faut contraindre le patronat à changer de braquet ! Exigeons

de signer, avec l'employeur ou les représentants du patronat, des accords s'appliquant à l'ensemble des salariés d'une entreprise, d'une branche d'activité au niveau local ou national, ou encore à tous les salariés de l'ensemble des secteurs d'activité. * Question 2 et 3 : Le texte d'août 2008 vise à « simplifier le paysage » en éliminant les petites confédérations : Dès lors que le syndicalisme fut reconnu par la loi - par le patronat et l'Etat -, son indépendance devint menacée et le syndicalisme

les partenaires sociaux à l'Elysée, lundi 10 mai, au dossier des retraites, pourtant pas à l'ordre du jour. Selon le texte de son discours, diffusé par l'Elysée, le président de la République a une nouvelle fois promis lundi aux syndicats et au patronat que la réforme à venir serait "juste", confirmant notamment qu'il serait demandé un "effort financier supplémentaire des hauts revenus et des revenus du capital". Au début du printemps, il avait laissé entendre qu'un effort pourrait être demandé

En effet l’existence d’un salaire brut a justifié à l’époque la présence de représentants du patronat au conseil d’administration des caisses de sécurité sociales, les représentants du patronat étant censés représenter la part patronale des cotisations. On pourrait multiplier les exemples : à chaque fois, depuis 1945, la « complexification » est une des conséquences des remises en cause par le patronat de l’acquis social qu’est la sécurité sociale. 3. Au début de son existence, la fiche de paie

Notre histoire Le régime de sécurité sociale géré par la Caisse Nationale de Sécurité Sociale est né il y’a plus de 50 ans. L’organisme considéré généralement comme l’ancêtre de la CNSS, La Caisse d’Aide Sociale, a été créé en 1942 par le patronat pour servir des allocations familiales aux travailleurs des grandes entreprises et des allocations aux femmes en couche. C’est en 1959 qu’a été institué le régime de sécurité sociale des salariés de l’industrie, du commerce et des professions

distinguées des mesures concernant les délégués du personnel, l'augmentation des salaires et les conventions collectives. Contrairement à une idée reçue, Léon Blum n'a pas engagé de négociations sans avoir préalablement vérifié auprès des représentants du patronat qu'ils étaient prêts à négocier. Le deal qui s'est noué le jeudi 4 juin 1936 au soir, avant même la présentation du gouvernement, entérine les lois qui institueront les 40 heures et les congés payés. La négociation qui va s'ouvrir devra porter sur

celui-ci est apporté par le patronat qui est considéré comme une des élites traditionnelles. Le photomontage illustre bien cette idée de « l’immense » patronat (représenté par un homme imposant) qui « nourrit » et plus correctement qui subventionne un Hitler dit « petit homme » (représenté tête baissé et minuscule, en salut tout en demandant des subventions). On peut tout de suite penser que la tendance politique de ce journal est plutôt penchée communiste car le patronat est dénoncé et le prolétariat