Paul Ricoeur Culture

est lui-même en partie dépendant du passé, nous ne sommes guère libres de décider. 3 Extraits de « EGO ». p. 168-171 Ego p 168-169 L'individu travaille continuellement à son unité. D'abord au niveau de la représentation, de l'identité narrative (Ricœur, 1990), de la fable de vie qu'il se raconte (Kaufmann, 1996a). Cette construction unitaire n'est pas une pure illusion biographique ; l'individu doit en effet parvenir à la forger avec un maximum d'éléments crédibles tirés de son histoire. Il doit

Herméneutique  moderne  :  de  Schleiermacher  à  Ricoeur   1.4.1 Schleiermacher : tournant historique de l’herméneutique 1.4.2 Gadamer et Ricoeur : fusion des horizons et appropriation subjective du sens 1.5 Les  opérations  herméneutiques  :  expliquer,  interpréter,  comprendre   1.5.1 Gadamer : comprendre un texte 1.5.2 Ricoeur : expliquer et interpréter - Valeur et légitimité de l’interprétation : l’arc herméneutique (Ricoeur) 1.6  Stratégies  interprétatives   1.6.1 Stratégies

3/ La notion d’universel potentiel * C’est Paul Ricoeur (philosophe français mort récemment) qui propose ce concept de manière à dépasser l’antinomie (= contradiction entre deux thèses ou deux principes qui semblent tous deux valables ou légitimes) suivante : * les droits de l’homme font l’objet d’un consensus mondial quant à leur valeur universelle * les législations qui en garantissent la validité émanent de la culture occidentale, et de son modèle démocratique laïque. De là une critique

Palou Lacoste LE CHOC DES CIVILISATIONS SOMMAIRE Le paradigme du choc des civilisations est-il pertinent ? « Guerre des cultures » versus « Univers concret » .................................................. 10 Les limites de la théorie de Samuel Huntington et du pessimisme conservateur ......................................... 10 Paul Ricœur et les cultures nationales : il existe une seule « Civilisation » ..................................... 17 Valeurs occidentales ou valeurs universelles

nuance Gérard Bailhache*, professeur de philosophie à l’ISTR de Marseille. Elle a semblé absente parce qu’elle n’était plus traitée sous l’angle métaphysique depuis Kant. Mais elle s’est enracinée dans une approche plus centrée sur l’histoire et la culture. Dans cette perspective, la notion de Dieu est prise comme une donnée culturelle qui, parce qu’elle a produit du sens et façonné des manières de penser durant vingt-cinq siècles, ne peut être purement est simplement ignorée. ” En d’autres termes

Jean-Claude Passeron, pour faire bonne mesure, dénonce aussi ce qu’il qualifie de “divagation herméneutique2“ qu’il assigne à un vulgaire délire interprétatif, en méconnaissance totale de la tradition de pensée marquée par la rigueur de pensée, comme Paul Ricoeur l’exemplifie en tous domaines. L’espace webérien revendiqué par Passeron est d’ailleurs tout entier dans une filiation herméneutique. Il correspond à une autonomie épistémologique des sciences sociales qui ont en commun avec les sciences de la

résumé du roman ………………………………………………p47. 2.1.2.2 la réception du roman………………………………...………...p48. 2.2 Le « je », une mémoire de la société…………………..……………p49. 2.2.1 De l’autobiographie individuelle à l’autobiographie collective….p49. 2.2.2 Identité et culture ………………………………………………p52. 2.2.2.1 une religion musulmane………………………………………..p55. 2.2.2.2 des rituels africains……………………………………………..p56. 2.2.2.3 la magie et le surnaturel………………………………………. p58. 2.2.2.4 le bestiaire………………………………………………………p 59. . 4 2

projet de la CNHI se situe dans un double rapport à la fois au présent et au passé. Nous proposons pour saisir la tension existante au cœur de ce projet entre mémoire et histoire d'analyser ces concepts à partir de la manière dont les à aborder Paul Ricoeur. L'objectif de ce dernier est de démontrer que la pratique de l'historien est une pratique en tension entre une objectivité impossible à atteindre et la subjectivité d'un regard qui doit se débarrasser d'une partie de soi-même et qui se sépare

choix individuels agrégés La compréhension des tendances suppose la compréhension de toutes les motivations individuelles étant à l’origine de la tendance. Chaque individu se livre au jeu social, se donne à voir, se raconte. Comme le précise Paul Ricoeur[3], l’identité est une mise en récit de soi. La similitude entraine la similitude L’idée selon laquelle la similitude entraine la similitude est une idée produite par le politiste Robert Axelrod[4]. Pour lui, il existe un mécanisme social

contribuer au débat. Cette démarche relève donc de l’éthique selon la définition de Roland Sublon qui indique que celle-ci, “supposant un travail de théorisation, apparaît à la manière d’un discours second, justificatif, s’appliquant à [la morale].” Paul Ricoeur désigne