Péjoratif

courtisans qui blanchissent le coupable et noircissent l’innocent : * 2 juges : Renard pour Lion vs Loup pour Ane * Renard : * Paroles au discours direct * Intervention aux vers 34 à 42 * Minimise les crimes du lion avec un voc péjoratif « canailles », « sotte espèce » * Euphémisme : « croquant » Atténue voracité du lion * Transforme en vengeance la mort du berger * « Ces » adjectif démonstratif Dénigre les victimes * Loup : * Discours indirect libre donne l’impression

             ­ Vos gens à la mode {L. 8}              ­ Tous ces gens faiseurs de protestation {L.10}              ­ Ces affables donneurs d’embrassades frivoles {L. 11}               ­ Ces obligeants diseurs d’inutiles paroles {L. 12} Péjoratif         → Mots soulignés = Déterminants démonstratifs péjoratifs = signe de mépris ­ Alceste a une haine profonde avec « Je ne puis souffrir » {L. 7} ­ Il dénonce donc les attitudes non naturelles et hypocrites de ces personnes c) L’argument d’Alceste . Il faut faire de

Séance n°5 : La plainte amoureuse Explication linéaire n°1 : Apollinaire, « Le Pont Mirabeau » Introduction : Le début du XXe siècle est marqué par une renaissance artistique et culturelle, une nouvelle attitude créatrice faite d’audace et d’invention qu’Apollinaire nomme en 1917 « l’esprit nouveau ». Le poète se fait le défenseur de l’avant-garde, de la modernité en poésie et en peinture. Côtoyant les artistes parisiens, consacrant de nombreux articles au Cubisme, Apollinaire rencontre

fait pour elle. Elle n'avait qu'à ne pas désobéir !". Elle se traite à la 3e personne en utilisant un vocabulaire péjoratif. Antigone veut nous dire qu'elle est libre : "je ne suis pas le roi", sa liberté existe depuis toujours et elle le revendique. L'affaire de Polynice n'en est qu'une partie. Elle a été depuis toujours indomptable. En fait, ce qu'elle nous dit n'est pas péjoratif pour elle. Sa sœur est présentée comme quelqu'un de plus raisonnable. Antigone ne veut pas s'enfermer dans un conformisme

étant réel, les événements fictifs qui s'y déroulent sont gagnés par la contagion du réel. subjectifUn regard subjectif a) un lieu répugnant : Le narrateur utilise un vocabulaire avec de connotations péjoratives : répétitions d'adjectifs à suffixe péjoratif : " jaunâtre ", " blanchâtre ". et un vocabulaire évaluatif: des adjectifs sans objectivité (" une nuit salie et ignoble ", " des formes bizarres ", " horrible couleur brune ") ; des adverbes traduisant une opinion " misérablement " ; " étrangement

▪ Conjonction de coordination à valeur de rupture. ▪ Adverbe de temps qui traduit une situation présente. ▪ Le champ lexical de la réminiscence ▪ Le champs lexical de la mort ▪ L’interjection de regret /l’impératif/ le substantif péjoratif ▪ L’hyperbole / enjambement ▪ l’adverbe de négation temporelle. ▪ Les phrases négatives  Le passé glorieux contraste radicalement avec le présent terne.  Disgrâce et situation tragique tant du monarque que du palais  l’émotion

de contemplation) est démentie dès la fin du vers par le terme affreux (antithèse : contempler / affreux) → sarcasme → Lexique ouvertement péjoratif : affreux, ridicules, terribles), adverbe évaluatif qui intensifie le jugement (degrés de l’adjectif) : « vraiment affreux » → Noter les rimes qui renforcent ce jugement, associant tous les termes péjoratifs : affreux / ténébreux ridicules / somnambules 3. Insistance sur l’étrangeté menaçante des aveugles : Le terme de « singulier » définit

rapidement éclipsée par la vision décevante de la réalité « en rupture de faune et de flore ». L’attente est ainsi trompée par le lever de l’aube sur une ville personnifiée, allégorie de la résignation et de l’immobilisme : la récurrence d’adjectifs péjoratifs pour la qualifier « inerte » « trébuchée » « essoufflée » « étalée » exprime la déception du poète et le regard réprobateur qu’il porte sur Sa ville qu’il ne reconnaît plus. •Les déictiques « au bout du petit matin.. » « cette ville … » et

supporte bien cette idée.] [En effet, les termes de ce champ lexical contribuent à générer une ambiance nauséabonde, voire repoussante, qui rejaillit sur l'ensemble de son texte poétique.] [L'auteur met également de l'avant un vocabulaire péjoratif avec le mot « charogne » du titre et du troisième vers pour implanter la laideur au sein du poème.] [De surcroît, le terme « charogne » apparaît avec d'autant plus d'évidence qu'il est placé en situation de contraste, car le cadre spatiotemporel

entre l’enfant riche et le pauvre. à Péjoratif : enfant pauvre et son univers, « charbon et les orties » (ligne 14), cela représente la pauvreté et le sauvage, la liberté du pauvre. La pauvre vit hors des cages, il est libre alors que le riche est surveillé. Il relaie le point de vue de la condition sociale. Il fait de l’enfant pauvre quelque chose de plus. Ils sont tous deux innocents : « marmots » : familier (ligne 16) « parias » : marginal donc péjoratif car rejeté par la société. Mais à la