Pénologie

26 septembre 2003 : « La politique du passé : constructions, usages et mobilisation de l’histoire dans la France des années 1970 à nos jours » droit colonial, entre savoirs coloniaux et sciences sociales, entre colonisation, émigration et pénologie ou encore qu’il s’agisse de retravailler les effets de la violence de guerre sur la justice et l’armée française et leur fonctionnement en métropole ou sur le traitement des populations immigrées en France, l’effort a été porté sur les effets retours

magistrat. En 1889 H. Gross a créé les archives d’anthropologie criminelle et de criminalistique. b) Criminologie et pénologie De nos jours encore la pénologie fait encore partie de la criminologie aux USA. Si l’on veut éviter la récidive il faut connaître les facteurs et les processus de l’action délinquante. C’est l’objet de la criminologie. La pénologie a pour objet l’étude des méthodes de traitement utilisés pour prévenir la récidive. c) Criminologie et sociologie

l’USM, ça ne nous paraît pas un progrès considérable. » Pour Manuel Valls, le ministre de l’Intérieur, la peine de probation « manque sa cible » et « son contenu n’est pas défini précisément ». « Cette peine de probation, qui se surajoute à la pénologie existante, ne présente pas beaucoup d’avantages par rapport aux peines actuelles. » Le député UMP Frédéric Lefebvre s’est dit favorable à la mesure, à condition « qu’elle ne soit jamais prononcée s’il y a eu violence physique ». Mais l’opposant

plus connues, la reconnaissance des empruntes digitales, grave a la police scientifique. Mais aussi les tests ADN. Il y a aussi toute la médecine légale qui est utile pour déterminer les causes, l’heure du décès pas exemple. On peut aussi citer la pénologie ; c’est l’étude des peines c’est la science pénitencier. C’est les peines que l’on applique mais aussi l’exécution de ses peines qui nous intéresse. On peut aussi citer la politique criminelle qui est tout simplement l’ensemble des procédés par

des causes de l’infraction. Particulièrement utile : travaux début 19ème jusque milieu 20ème pour étudier l’homme criminel. A partir d’un certain nombre d’attitude, on peut détecter si une personne à quelque chose ou non à se reprocher. La pénologie : étude de l’exécution des peines. Le droit pénal spécial : étude des différentes infractions. Le droit pénal général : étude du délinquant, des éléments de l’infraction et de leur imputation. Ce qui permet d’identifier l’infraction. Moyens

personnelle où réside le seul et unique concept de justice. La justice sociale s'en est largement inspirée, à travers la pensée de Bentham et son principe du plus grand bonheur pour le plus grand nombre16. Autres types de justice Article détaillé : Pénologie. En marge de ces deux types fondamentaux de justice d'autres types de justice sont évoqués. Même si, en dépit des différences évoquées, les auteurs n'y voient parfois qu'un jeu polysémique17. la justice procédurale, fondée sur le principe

défense sociale. C’est une doctrine abolitionniste du droit pénal mais pas d’un système judiciaire. Va socialiser le droit pénal. L’Etat parce qu’il veut le bonheur des gens a le droit/ le devoir d’intervenir aux plus proches des gens (Voir cours de pénologie : conceptions de la guidance sociale dans les maisons de justice) et se donne le droit de prévenir la survenance des risques et donc contrôler le comportement des gens. 3) Les premiers congrès internationaux de défense social Le premier

règles de fond mais aussi au niveau des règles de formes 1 – Au niveau des règles de fond : on remarque plusieurs notions au sein desquelles la classification se retrouve, cela concerne le droit pénal général mais aussi le droit de la peines (la pénologie). Les sources du DPG dépendent de la classification tripartite des infractions , le principe de légalité ne s'applique qu'aux crimes et délits , contraventions en sont exclues , cela signifie que seule la loi peut être source de droit pour instaurer

personnalité ou le comportement délinquant. L’EFFICACITE DES MESURES MODERNES DE TRAITEMENT La fonction essentielle assignée à la sanction pénale consiste dans la réadaptation sociale du délinquant ou la resocialisation. Dans son principe de pénologie, BOULOC donne une approche de définition du mot «  resocialisation » ou « réadaptation » sociale du délinquant. Il dit ceci : « Corriger qui signifie dans la langue courante, amender aussi bien que punir, redresser par le châtiment. On cherchera

résultats obtenus par les différentes branches obtenues par la criminologie clinique. C’est une doctrine, une théorie, exposé systématique de la genèse de la délinquance… Ces criminologies rencontrent d’autres disciplines comme le droit pénal et la pénologie. Il y a plusieurs idées, réalités. §1 : criminologie générale et droit pénal Ils se distinguent assez facilement par leur objet, la criminologie chercher à comprendre le phénomène criminel alors que le droit pénal combat le phénomène criminel