Pensée Ternaire

Un Homme dans un Etui Introduction : Publiée dans la revue La Pensée Russe en 1898, la nouvelle Un Homme Dans Un Etui forme une trilogie avec les deux nouvelles Les Groseilliers et De l’Amour. Tchékhov fait le choix de construire son récit en une seule partie, il n’y a pas de découpage formel en chapitre comme on a souvent pu en rencontrer dans ses autres nouvelles. L’histoire est celle de deux chasseurs, Ivan Ivanytch le vétérinaire et Bourkine le professeur de lycée, qui passent la nuit dans

avait six belles ailes, mais ni pieds, ni tête, ni queue, et ne ressemblait à rien » à la ligne 157. Memnon décrit ici une créature inconnue, ne ressemblant en rien aux humains. Cette opposition est renforcée par une anaphore de « ni » et un rythme ternaire, on se trouve bien dans un monde imaginaire. Memnon se trouve confronté à des hallucinations. Le texte étant un apologue, on retrouve l’envie de distraire le lecteur par un monde et un personnage assez originaux. Le génie nous décrit un univers

intégrant dans une pensée ouverte et évolutive. Le pavé mosaïque composé alternativement de dalles blanches et noires doit être pour nous l’image même de l’objectivité. 2) La structure géométrique du pavé mosaïque contient l’essentiel des symboles maçonniques. - Le trait droit, c’est la règle qui permet l’alignement des pierres. Symbole de rectitude, de ligne de conduite maçonnique. - L’angle droit, c’est l’équerre qui permet la taille. C’est le symbole de la pensée droite sans détour

qui parle énormément et à un maître qui l'écoute alors qu'il pourrait le faire taire en deux phrases. Malgré tout, on reste dans la vraisemblance: Sganarelle reste un valet. 6. Champs lexicaux du savoir et de la connaissance: esprit, disputer, pensées, arithmétique, étudier, sage, apprendre, sens, jugement, comprendre, raisonnement, savants, expliquer, croire, parler, savoir. Il y a une certaine réflexion chez Sganarelle. La tirade de Sganarelle en donne un représentation paradoxale, car il n'est

des uns aux autres en exprimant leurs pensées. Mais on peut finalement dire que Cocteau romp avec l'idée générale et habituelle de focalisation même. On remarque ça dans le passage descritptif de Clémence, au début du livre. Le discours employé ne serait ni du DIL, ni du narrativisé, et pourtant les deux s'y mélangent. Le point de vue de l'auteur s'alterne en effet et fait hésiter le lecteur, qui ne saurait dire si Cocteau s'appuie réellement sur les pensées des peronnages, d'un tiers, ou bien d'un

b. Le rythme ternaire ascendant l. 25-27 : reproduction par le rythme de la béance d'un « abîme nouveau » (l.25) non seulement l'univers visibles mais l'immensité qu'on peut concevoir de la nature dans l'enceinte de ce « raccourci d'atome » => émotion du lecteur qui croyait être arrivé à une forme de stabilité : « il pensera peut-être que c'est là l'extrême petitesse de la nature » (l.23-24) qui se trouve devant un nouveau gouffre pour sa pensée : « un abîme nouveau » 2)

Sujet : références du texte, type de discours, question Annonce du plan I° PARTIE : Ce discours n'est pas une véritable "prière". 1°§ Cette page a les apparences d'une prière. 1° IA : Solennité de l'invocation 
 Titre "Prière à Dieu"
 Rythme ternaire (4/4/4) et ampleur de la première phrase.
2° IA : Prière de louange Voltaire célèbre la puissance du Créateur ("décrets", l. 4), son caractère "éternel", universel, sa "bonté" (l. 3), lui qui a "tout donné" (même son fils), "bénir ... ta bonté"

: références du texte, type de discours, question Annonce du plan I° PARTIE : Ce discours n'est pas une véritable "prière". 1°§ Cette page a les apparences d'une prière. 1° IA : Solennité de l'invocation Titre "Prière à Dieu" Rythme ternaire (4/4/4) et ampleur de la première phrase. 2° IA : Prière de louange Voltaire célèbre la puissance du Créateur ("décrets", l. 4), son caractère "éternel", universel, sa "bonté" (l. 3), lui qui a "tout donné" (même son fils), "bénir ... ta bonté"

son amie George Sand de lui trouver un titre —, Flaubert adopte finalement, «en désespoir de cause», le titre l’Éducation sentimentale, histoire d’un jeune homme: «Je ne dis pas qu’il soit bon, mais jusqu’à présent c’est celui qui rend le mieux la pensée du livre» (lettre à George Sand, 3 avril 1869). L’écrivain reprend ainsi un titre déjà utilisé pour une œuvre de jeunesse — rédigée de 1843 à 1845 — qu’il ne souhaita jamais publier, et qui n’a à peu près de commun avec l’œuvre présente que le titre

linéaire d’un passage de César Birotteau Situation de passage : Le texte figure au tout début de l’œuvre avec l’apparition de deux personnages César le personnage éponyme de l’œuvre et son épouse constante. Nous avons également un autre personnage ternaire, qui est la fille des deux époux qui s’appelle Césarine. Objet du texte : Tout le passage constitue en réalité, les hallucinations de Constante, suite à un cauchemar qui a dû la réveiller croyant que son mari avait été assassiné. Mouvement du