Pérégrin

provinces impériales, installées aux frontières, il nomme des gouverneurs appelés légats (légataires de sa puissance). Il s’appuie sur 25 puis 33 légions soit environ 150 000 citoyens romains plus des troupes auxilliaires composées de citoyens pérégrins et bientôt de barbares intégrés ainsi dans l’Empire, impose à tous les citoyens un culte public civique impérial en devenant Grand Pontife et maintient la citoyenneté locale, transmise par le père et qui se conserve même après changement de résidence

zum römischen Volk gehören, diejenigen die das Bürgerrecht nicht geniessen : sind Nicht römische Bürger = - Sklaven (selbstverständlich) - Rechtlich Freie Männer, die über ein anderes Bürgerrecht verfügen : Latiner,[5] oder Peregriner[6] Peregriner[7] :,,Peregrinus bedeutet „Fremder“, oder „Ausländer“ (Synonym vom „ Metöke“ in Athen) .. lm römischen Reich handelt es sich um Stadtstaaten die „ nicht römische“ Institutionen und „nicht römische“ Rechtgebung aufbewahrt haben Latiner

entre les habitants d’Athènes et de Rome. On a affaire à deux sociétés ou les étrangers ont des statuts différents des étrangers. Dans l’Empire Romain, les pérégrins (hommes libres, habitant les provinces) ont un statut inférieur à celui des citoyens. Ils payent plus d'impôts, mais n'ont aucun droit politique à Rome. Cependant, les pérégrins peuvent acquérir la citoyenneté romaine pour eux et leur famille en servant 25 ans l’armée romaine ou en achetant leur titres. Ce statut disparait en 212 quand

Claude a donné le Ius honorum aux habitants des Trois Gaules. 2) Le territoire concerné par l’Edit est l’ensemble de l’empire romain, c'est-à-dire de l’Océan Atlantique à la mer Noire et de la mer du Nord au Sahara. Les populations visées sont les pérégrins qui représentent l’ensemble des hommes libres qui disposent d’une citoyenneté locale car « ils vivent en cité » (citez la ligne). En effet la cité est l’élément de base du mode de vie romain, qui permet la diffusion de la romanisation. C’est la grande

bénéficient du statut de citoyen romain. *les municipes sont des villes/cités annexées par Rome mais gardant leur administration. Comme les colonies de droits latins, les citoyens de ces cités n'ont qu'une partie des droit romains. *les cités pérégrines sont des cités ayant conservés des institutions & des droits non romains néanmoins ils peuvent obtenir la citoyenneté romaine en rendant des services à Rome. Droits du citoyen | *droit de vote & participation à la vie politique

services pour devenir vétérans soit un an de plus que les auxiliaires. Ce statut leur donne accès à la retraite et aux droits décrits dans ce document. Mais le vétéran peut également se réengager à un poste plus haut gradé que celui qu'il occupait. Les pérégrins sont démobilisés avec une prime : la supra et la citoyenneté romaine mais contrairement aux légionnaires, Rome ne leur attribue aucune terre. Les rameurs, sont souvent recrutés parmi les étrangers notamment des Égyptiens voire rarement des esclaves

au rang de colonie honoraire. - Avant 205 : deux communautés politiques coexistent à Thugga. D’une part la civitas Thuggensis, c’est-à-dire la cité pérégrine de Dougga : la cité numide originelle a été reconnue comme une cité et intégrée à ce titre dans le cadre de la province. D’autre part, le pagus de citoyens romains. La cité pérégrine et son territoire ont en effet été intégrés dans le territoire de la colonie romaine de Carthage (la pertica) qui était très vaste. La cité de Dougga a sans

- les colonies romaines (droit romain) : citoyenneté pleine, accès possible au Sénat de Rome - les colonies latines (droit latin) : citoyenneté partielle, pas d’accès au Sénat - les cités pérégrines qui préexistaient sont les plus nombreuses : droit propre, pas de citoyenneté. Les pérégrins (p.70) doivent payer un tribut (impôt) à Rome et sont sous la tutelle des gouverneurs. Les Romains diffusent leur civilisation et le modèle de la cité romaine dans l’Empire => dans son organisation

des citoyens romains, c’est ce qu’on appelle le droit de «coniubium». Même si son statut est inférieur, il est parfois difficile de la distinguer de la colonie romaine au point de vue des institutions. Les pérégrins sont des citoyens libres mais non romains et non latins. Les cités pérégrines sont donc des villes peu romanisées qui ne bénéficient pas d’un statut privilégié. Elles sont un peu à l’écart et n’ont pas la citoyenneté romaine, elles sont, par conséquent, moins bien connues. Elles deviennent

appelle les PEREGRINS (les étrangers de l’intérieur) et les BARBARES qui sont ceux qui ne parle pas la même langues, les étrangers de l’extérieurs. Rome va encourager le commerce avec les Peregrins pour des raisons économiques, ce commerce va longtemps rester en dehors du droit puis peu à peu Rome va accepter de sécuriser ce commerce et la République romaine va instituer un nouveau préteur, que l’on appelle le préteur Peregrins ce prêteurs est compétent pour les litiges entre peregrins et aussi pour