Personnalisation Des Peines

régime fait référence à un ensemble juridique et réglementaire répressif, variable d’une colonie à l’autre. Ce « Code » liste les infractions spéciales aux indigènes, base sur laquelle l’administration coloniale jugent les délits et déterminent les peines. Expérimenté en Algérie à partir de 1834, le régime de l’indigénat a été appliqué dans l’ensemble des colonies françaises, selon les périodes et les territoires, de façon partielle ou totale, jusqu’à son abolition en 1946. Ce « Code » est un des

FONDEMENTS DU DROIT DE PUNIR. FICHE D'ARRET : Cass. Ass. Plén., 29 Juin 2001. Par un arrêt en date du 29 juin 2001, l’assemblée plénière de la Cour de cassation a eu l’occasion de se prononcer sur le principe de légalité des délits et des peines, notion fréquemment posée devant les juridictions pénales. En l’espèce, le 29 juillet 1995, suite à un accident de voiture, madame X, enceinte de six mois, a été blessée et a perdu le fœtus. C’est le véhicule de Monsieur Z. qui a heurté celui de

3ÈME PARTIE – LA SANCTION PÉNALE Chapitre préliminaire: Fonctions et caractères de la peine Section 1- Fonction de la peine On oppose deux doctrines essentielles: nous conduit à la distinction délicate des peines et des mesures de sûreté. les justifications reposant sur le postulat du libre-arbitre Idée: chaque individu a le choix de commettre ou de ne pas commettre une infraction. Quand il la commet, c'est parce qu'il l'a voulu, ces actes ne sont pas pré-déterminés. Si c'est son choix

coupable. De plus, il se caractérise par son extrême sévérité des peines et fait une distinction ente les délits publics et les délits privés. - Le droit pénal à l’époque franque (Entre le 5ème et 9ème siècle) nous a lui aussi marqué : Il en ressort des peines d’élimination pour les infractions qui menacent la structure du groupe et des peines de composition pour les infractions qui lèsent les membres du groupe. A cette époque les peines étaient extrêmement sévères. Le simple fait de ne pas craindre

pour le fait d’une autre personne, sans qu’une faute puisse lui être reprochée. Il s’agit d’un « report de la sanction » qui est une responsabilité du fait d’autrui mais qui n’est pas pénale ; et d’une atteinte au principe de la personnalité des peines. Un texte peut, par exemple, prévoir de condamner l’intéressé à une fraude à être condamné solidairement avec le responsable pénal au paiement de l’amende Or, il est des matières où l’amende, notamment l’amende fiscale, apparaît autant comme une

réalisation d’actes matériels. Ces actes constituent l’élément matériel de l’infraction. Toutefois, afin de cerner les contours de la notion d’élément matériel de l’infraction, il faut la mettre en perspective avec le principe de légalité des délits et des peines selon lequel toute incrimination doit être fondé sur un texte normatif existant préalablement à la répression. Ainsi, l’élément matériel de l’infraction sera constitué de l’ensemble des faits entrant dans le champ d’une norme pénale les incriminant

délits, contraventions, selon la classification tripartite des infractions. -         La dénomination « droit pénal » n’est pas non plus exempte de reproche puisqu’elle peut laisser croire selon l’étymologie latine « poena » (= peine) que seules les peines seront étudiées alors que l’étude des infractions, c’est à dire les faits, sanctionnées par le législateur et que l’on appelle les incriminations, représentent en réalité une part majeure de la discipline appelée droit pénal. Il existe des subdivisions

non plus exempte de | | |(liberté fondamentale) (0) |reproche puisqu’elle peut laisser croire selon l’étymologie latine « poena »| | |Cours de libertés publiques |(= peine) que seules les peines seront étudiées alors que l’étude des | | |(liberté fondamentale) (0) |infractions, c’est a dire les faits, sanctionnées par le législateur et que | | |Droit des suretés : cautionnement, |l’on

et définitive n’existe plus en droit français. Mise hors d’état de nuire par la prison mais elle a toujours un effet temporaire sauf pour les crimes les graves. Mais pour ceux-ci il existe quand même des possibilités de sortir avec des remises de peines par exemple. Au bout de 30 ans la situation doit être réexaminé. Il n’existe plus de cas où la réclusion est vraiment perpétuelle.     -Fonction d’amendement. La sanction conduirait à un sentiment de regret etc… -Fonction symbolique de cohésion

dont on dit qu’elle est l’aboutissement de toutes les erreurs des précédents régimes.(Titre II) Il me semble que votre sujet doit comporter une grande partie sur le principe de personnalisation de la peine, qui est la conséquence, ou l'origine, de l'arbitraire pénal. Et n'oubliez pas la loi sur la récidive, avec les peines plancher, où le législateur "rogne" sur le pouvoir des juges. Votre plan manque à mon sens d'une qualité majeure : qu'en pensez-vous, vous ? qu'avez-vous à dire là-dessus