Personnalité Juridique Cas Pratique

Préfecture (Le président du Conseil Provincial ou Préfectoral) 3. La Commune ((Le président du Conseil Municipal ou communal) Les Bibliographies  : - DECONCENTRATION ET DECENTRALISATION - La décentralisation : Aspects Théoriques et Expériences : Cas du Maroc - La Déconcentration et la Décentralisation au Maroc - L’Organisation Préfectorale et Provinciale au Maroc - L’Organisation Communale au Maroc -L’Organisation Préfectorale et Provinciale au Maroc Les principes fondamentaux de l'organisation

toutes les lois, les décrets, les arrêtés municipaux,... toutes les normes qui veulent régir la conduite de l'homme en société. Dans l'inconscient collectif, le droit se confond avec le droit pénal (correspond qu'à une partie infime du phénomène juridique, c'est qu'une branche spéciale du droit). Droit civil pas un droit qui veut réprimer les comportements antisociaux. Il veut accompagner les personnes, régir la vie sociale sans forcément de rapport répressif. Le droit définit les règles qui entourent

La notion d’entreprise 1)l’approche juridique de la notion d’entreprise L’entreprise n’a pas de définition juridique. A) Des composantes juridiques très diversifiées de la notion d’entreprise Le statut juridique d’une entreprise varie selon plusieurs critères èl’acte juridique de création de l’entreprise : il peut s’agir : -soit d’un acte unilatéral de volonté. C’est le cas de l’entreprise individuelle en nom personnel : une personne décide de se « mettre à son compte » (commerçant

peu différente. la personne n'est pas l'individu, ce n'est pas l'être humain. C'est le sujet de droit. Ques que cela change? Avant, avec la peine de mort et l'esclavage, les différents sens du mot personne prenait toute leurs apportances. La personnalité juridictionnel est une création de l'esprit, une fiction. "je n'ai jamais déjeuner avec une personne morale" (gaston jezze) sa formule permet de souligné l'artifice de cette personalité morale. On aurait pu prendre gaston a son propre jeu et dire

d'un être qui a la personnalité juridique et c'est d'ailleurs cette conception qui est reconnu par le code romain (droit antérieur au code civil et le code napoléon (code civil dans son état initial). Au sens juridique du terme, les personnes sont les êtres capables de jouir de droits. Aujourd'hui tous les hommes ont la personnalité juridique, ils sont donc capables de jouir de droits. (Tel n'a pas toujours été le cas, puisque les esclaves étaient privés de personnalité juridique, juridiquement parlant

Droit civil deuxième semestre. I-LE DROIT DES PERSONNES introduction: 1)le notion de personne C'est une notion juridique, si le terme existe dans le langage courant en droit la personne est une notion définie, conceptuelle distinct de l'individu ( terme qui n'est pas juridique) ou encore de l'être humain. L'être humain n'est pas ignoré du droit civil telle enseigne qu'on le voit apparaitre dans le code civile à l'article 16 «la loi garantie le respect de l'être humain des le commencement

est apte à connaitre le droit et à le dire au sein d’une société. Or c’est précisément en étant déclaré que le droit apparait, ainsi en étant déclaré le droit sort des rapports sociaux. C’est pour cela, qu’il est possible de dire que le discours juridique est performatif car il réalise ce qu’il énonce. Par exemple quand le juge prononce une sentence il dit le droit et ce qu’il dit produit des effets de droit. Le droit apparait à partir du moment où il est déclaré par une autorité, or le droit est

la règle de droit. La matière juridique peut donc être approchée selon deux points de vue complémentaires : Un point de vue objectif (externe) qui permet de cerner la dimension objective du droit Un point de vue subjectif (interne) qui s’intéresse aux avantages individuels susceptibles d’être retirés de l’application effective de la règle de droit. Nous aborderons donc la matière selon ces deux points de vue successifs, d’abord nous approcherons la matière juridique selon un point de vue objectif

La question n’est pas si bête : on peut se demander s’il y a vraiment un droit des OI. En effet, chaque OI est autonome et a ses propres règles qui forment son propre ordre juridique. On pourrait donc croire qu’il n’y a pas un droit des OI mais qu’il y a en fait autant de droits des OI que d’OI. Mais ce n’est pas le cas : certes, chaque OI a ses propres règles, mais elles ont aussi des règles communes qui s’appliquent résiduellement à leur droit propre. En fait, le droit des OI passe constamment

seule la personne physique dotée de la personnalité juridique est susceptible d’être titulaire de droits. L’embryon étant vu comme l’être humain à son commencement, il s’agit là de savoir si l’on peut, si on a les moyens d’assurer la protection de l’embryon, de garantir sa sécurité, son intégrité par des moyens juridiques. Tout en sachant qu’il est d’un certain point de vue, impossible de lui attribuer, de lui conféré les droits liés à la personnalité juridique qui est l’aptitude à être titulaire