Perspective Psychodynamique

parie communiquer avec le fou, de l’autre, de l’autre, elle a tendance à le refouler aux marges de la société dès qu’il apparaît comme dangereux pour notre sécurité. La psychiatrie a rompu avec la logique asilaire dans la mesure ou la perspective est psychodynamique. La structuration du travail d’aide doit respecter les droits et libertés du patient, doit favoriser l’accès aux soins et les démarches préventives et est basée sur l’accueil. La réflexion de la psychiatrie est à évoquer sur deux plans

de lecture évoqués plus haut, celui de la neurobiologie. Longtemps la dimension biologique de l’adolescence s’est réduite à la prise en compte des transformations endocriniennes et corporelles, selon une perspective classique affrontant le corps et l’esprit, au risque habituel d’une perspective soit dualiste soit syncrétique «psycho-somatique». Aujourd’hui émerge une dimension neurobiologique et cérébrale de l’adolescence. Une série de travaux d’imagerie cérébrale montrent que l’adolescence est contemporaine

https://www.cairn.info/revue-management-et-avenir-2014-2-page-164.htmhttp://www.tcpdf.org68 164 Bonheur et travail, oxymore ou piste de management stratégique de l’entreprise ?69 par Marie-Pierre Feuvrier70 Résumé Cet article vise à ouvrir des perspectives pour le management des hommes, au-delà de la gestion du mal-être et du stress. En effet, les nouvelles recherches sur le bonheur, via la psychologie positive, montrent que les salariés plus heureux sont plus performants. Parmi les voies d’accès

auteurs, les liens entre toxicomanie et délinquance relèvent essentiellement de la sociologie: ils participent d’un « style de vie » au sens de Dollard Cormier ou encore d’une modalité de « carrière » au sens où l’entendait Howard S. Becker. Cette perspective est aujourd’hui illustrée par les travaux de criminologues québécois et notamment par Serge Brochu (Brochu 1995). Pour ces chercheurs, l’adoption d’un mode de vie déviant constitue le ferment d’un risque de délinquance et/ou de toxicomanie, avec

du management et des choix de gestion. Cependant, ces liens ne sont pas clairement établis, et parfois, c’est délibérément qu’on ne les aborde pas. Nous nous proposons dans cet article de développer ces points. Nous ouvrirons également la perspective d’un axe de prévention passant par l’ouverture de débats portant sur l’activité même de l’entreprise et sur l’organisation du travail. PREMIER POINT : LE CARACTÈRE PLURIFACTORIEL ET COMPLEXE DES RPS N’AIDE PAS À LEUR COMPRÉHENSION L’erreur

th´eorie de la complexit´e a ´et´e abord´ee et trait´ee souvent comme une auto-´eco-organisation permettant `a l’organisation de r´epondre au probl`eme crucial de l’adaptation `a l’environnement dont elle se nourrit et dont elle d´epend. Dans cette perspective, l’autonomie se d´efinit dans et par l’environnement dans lequel les individus composent avec leurs propres ressources, en construisant ainsi progressivement leurs comp´etences. Autonomie et intrapreneuriat : une dynamique d’apprentissage

Jaqueline Wendland (PR) COURS Vendredi 10h45-12h45 Amphi Anzieu TD 01 Mercredi 8h30-10h Salles 3016 Nadia Didane TD 02 Jeudi 13h00-14h30 Salle 2029 Joan Tissier Cet enseignement aborde dans un premier temps les processus psychodynamiques impliqués dans l'accès à la parentalité ainsi que les enjeux familiaux et sociétaux actuels autour de la parentalité. En partant du désir d'enfant, la transition à la parentalité chez l'homme et chez la femme est étudiée dans ses aspects normaux

l’ordinaire, il y a là, une certaine ambiguïté, car si nous tenons à être dans la norme, nous ne tenons pas à être ordinaire. · Le normal : c'est le familier, le proche, le même. L'anormal est donc l'étranger, le lointain, la différence. Une telle perspective conduit au racisme et à la xénophobie. 2 . Plaidoyer pour une certaine anormalité   J. Mc Dougall Le livre de J. Mc Dougall est intéressant parce qu'il insiste sur deux points :

contenu des différents articles. Elle ne contiendra donc pas de réflexions critiques. Tables des matières Résumés d’articles Jorgensen, I. S., et Nafstad, H. E. (2006). Positive psychology : Historical, philosophical, and epistemological perspectives. Dans : Joseph, S. et Linley, A. P. (Éd.). Positive psychology in practice (p.15-34). Hoboken : John Wiley & Sons Inc. 2 Linley, A. P., et Joseph, S. (2006). Toward a theoretical foundation of positive psychology in practice. Dans : Joseph,

travail est la source de nombreuses recherches que cet ouvrage présente et actualise. Recherches, qui sont toujours reliées à des interventions et gestes professionnels que les psychologues du travail mettent en œuvre. C’est dans cette perspective que ce premier chapitre introduit à la psychologie du travail et des organisations et annonce les objectifs des chapitres suivants. Eric Brangier, Alain Lancry & Claude Louche De nombreux dirigeants, salariés, syndicalistes, politiques