Peut On Concilier Liberté Et égalité

La liberté est-elle menacée par l'égalité ? 1789. Un phénomène extraordinaire a lieu en France. Mus par le désir de bâtir un monde juste, des hommes et des femmes se révoltent contre l’Ancien Régime et son système inégalitaire jugé inhumain. La République naît avec comme devise « Liberté. Egalité. Fraternité ». 1989. Deux siècles ont passé. Un autre phénomène extraordinaire se produit. Mus par le désir de vivre libres, des hommes et des femmes se révoltent contre le communisme et son idéal d’égalité

Conseil d’Etat s’est efforcé de concilier le droit de grève avec celui de la continuité du service public. Le législateur et le gouvernement sont habilités à prendre les mesures permettant d’éviter un usage abusif du droit de grève, mesure pouvant aller jusqu’au retrait du droit de grève à certaines catégories d’agents. La grève des agents publics est licite que pour la défense des intérêts professionnels. Même lorsque le a grève est licite, le gouvernement peut prendre les mesures propres à

------------------------------------------------- La liberté * DE QUOI PARLE-T-ON ? La liberté est un sentiment (ou une sensation), une valeur et, si ce sentiment est juste ou cette valeur atteinte, un état.  - On se sent libre quand cesse une contrainte : un empêchement physique, une occupation non choisie ou un souci.  - « Liberté, égalité, fraternité » : la devise de la République proclame trois valeurs dont l'association, en fait, ne va pas forcément de soi. Car liberté et égalité doivent se concilier, alors que la liberté absolue

leur laisse une entière liberté. I. Un idéal humanisme. 1/ Un idéal communautaire et égalitaire a) La vie en communauté : - les pronoms personnels « on », « ils »,  « tous »,, nous présentent un groupe indissociable - égalité sociale : on ne distingue pas les individus, on les prend en groupe Les individus sont au service des la collectivité et le travail est valorisé (L9 à 12). Ils se réunissent dans des « salles communes » ou « réfectoires ». b) Egalité : pas de distinction hommes

1) Faut-il refuser toute liberté aux ennemis de la liberté ? Il n’y a aucune distinction, spécification dans le sujet de la notion de liberté. Oppose t’on la liberté générale à une liberté précise telle que la liberté de penser ou de presse par exemple ? De plus, le sens du sujet est de « supprimer » la liberté d’une personne afin de sauver la liberté des autres. 2) L’historien fait-il œuvre pour le futur ? Dans ce sujet il faut interroger le concept d’œuvre. Comment un historien, une personne

commutative | Repartit les honneurs et la richesse suivant le mérite. On aura différentes manières de répartir les richesses et les honneurs (ce que mérite chacun) | L’équivalence dans les échanges. Elle est assurée quand aucun des contractants ne peut réaliser de gains ou de pertes. Il n’est pas possible de s’enrichir pendant la transaction. Elle permet la reproduction de la justice distributive. | Jaffé reprend la terminologie de Thomas D’Aquin, et se passe des définitions de Walras, est dit

française, dans certains cas le fait d’obéir aux lois n’est pas synonyme de liberté. Qu’est-ce qu’être libre ? Etre libre c’est être autonome, n’être guidé que par soi-même. Je les laisse m’imposer des règles des obligations. Mais je ne comprendrai pas forcément ces règles qui seront en contradiction avec ma conscience. Si le rêve de tout un chacun est de faire ce que l’on veut, quand on veut. Par définition, la liberté dictée par les hommes serait de supprimer toutes lois pour que chaque Homme

Tocqueville a eut un projet, celui de construire le concept de démocratie, quelles sont ses caractéristiques ? Ses limites ? Pour lui les Etats Unis étaient une démocratie intéressante à étudier. Tocqueville est un libéral et démocrate par amour de la liberté. En 1856 il publie l’Ancien Régime et la révolution, seulement la 1ere partie car il meurt peu après. Tocqueville a une perspective évolutionniste c’est- à-dire qu’il pense que les sociétés suivent le même chemin : celui vers l’égalité et recherchent

temps, puis aux libertés dans un second temps. L'individualisme fragilise les institutions (à force de s'émanciper par rapport aux instances d'intégration) et affaiblit le lien social.  Il accroît "la tyrannie de la majorité". Ainsi pour limiter ce phénomène, il faut développer les contre pouvoirs : le pluralisme des médias, la démocratie locale, la liberté d'association. Donc Tocqueville remet en cause les sociétés Égalitaristes.  Mais peut-il y avoir des libertés sans égalité ? Nous pouvons répondre

grec laikos (λαϊκός : le peuple), principe de séparation de la société civile et de la société religieuse, est un fondement de la République française, aboutissement de longs siècles de revendications et réformes. C'est un double droit. Il offre la liberté de conscience et celle d'expression de ses convictions, ainsi que la garantie apportée par l'état de sa neutralité en matière religieuse. La laïcité, pierre angulaire du pacte républicain, inscrite dans la Constitution est le fruit d’une longue tradition