Peut On Concilier Liberté Et égalité

conscience collective (Cf. 80 du livre). Durkheim explique donc le social par le social et lorsqu’on en veut expliquer un fait social, il faut se référer à la société. Durkheim définit le fait social comme toute manière de faire fixée ou non qui peut exercé sur l’individu une contrainte. Les individus sont modelés par la société et à chaque statut correspond un rôle. 2). Le déterminisme social : C’est la notion centrale du holisme. Il renvoie à tout le vocabulaire lié au poids de la société. On

La liberté individuelle peut être analysée comme le pouvoir de faire ce que l’on souhaite dans sa vie privée, sans en être empêchée. Selon Spinoza «  le but de l'Etat, c'est la liberté » , le sens commun semble plutôt concevoir la notion de liberté comme une absence de contraintes, un refus de l'autorité. La liberté serait alors plutôt caractérisée par l'affranchissement de tout ce qui la restreint comme les règles sociales, l'Etat. Cependant, penser la liberté comme une révolte constante contre

traversée par une exigence d'égalité. Pour mieux la définir, Tocqueville la compare à l'aristocratie. On peut noter que la démocratie est un système politique qui précède l’aristocratie dans lequel il existe toujours des inégalités sociales et économiques mais où chacun n’est plus obligé de passer d’une classe à une autre, où les frontières de l’Ancien régime ont disparu et où le maître peut devenir valet et inversement. Il va même jusqu’à dire que l’aristocratie amène les paysans au Roi tandis que

Sommaire du cours sur la justice et le droitSommaire du cours sur la justice et le droit Remarques préliminaires2 1. Deux problématiques2 A. Pourquoi les hommes ont-ils des lois ?2 B. La loi peut-elle énoncer ce qui est juste ?2 2. Quatre termes à bien cerner : droit, juste, loi, égalité2 A. Qu'est-ce que le droit ? 2 B. Qu'est-ce que le juste ? 2 C. Qu'est-ce qu'une loi ?3 D. Qu'est-ce que l'égalité ?4 E. Synthèse à recopier dans vos notes4 Etape 2. Pourquoi les hommes ont-ils des lois 

Cependant, on ne sait pas clairement quelle figure du citoyen est entrain de s’imposer actuellement. L’Etat demeure toujours le garant de l’effectivité des droits de citoyenneté. Les décisions hors frontières sont toujours réglementées par le national. On peut penser à un passage à un Etat partenaire d’initiatives privées. Dilemmes de la citoyenneté Même si on parle d’empowerment des individus, une multiplicité de sujets leur échappe (sécurité, monnaie, environnement). Le champ d’action politique s’élargit

( beaucoup de protestants viennent se réfugier en Suisse près de Genève ! 5) Rôle des cantons protestants : • Chez les protestants, chacun doit savoir lire l’évangile (≠ catholique) donc tt le monde est alphabétisé • On reconnaît la liberté de chacun face à Dieu( la conséquence politique est que ces Républiques sont assez libérales et égalitaires (+ que dans les cantons catholiques). L’individu n’est pas soumis à Dieu ni au "Prince" (Louis XIV). 6) Rôle des cantons catholiques à

démocratie participative » dans le débat public et politique traduit une certaine crise du système représentatif actuel. Que penser de cette expression aujourd’hui si répandue et à la fois si polémique ? Dans un premier temps, nous verrons que l’on peut penser cette expression à l’encontre de la démocratie représentative qui a montré ses failles à plusieurs égards dans nos sociétés. Puis, Nous analyserons les faiblesses de cette forme de démocratie qui l’empêchent de se substituer totalement au système

XXème siècle ouvre une ère nouvelle, qui reconnaît la légitimité du modèle égalitaire entre les sexes. Quant aux hommes, ce chambardement dans leurs relations avec les femmes les contraint à se redéfinir. Bien sûr, leur situation est complexe, on peut presque dire, qu'ils sont passés d'une situation de « droit », à une situation d' « acceptation ». En effet, le temps où les hommes dirigeaient les femmes comme ils l'entendaient est révolu, ils doivent aujourd'hui les accepter et les considérer, à

n’est-t-il pas pourtant longtemps apparu comme un élément de souffrance et d’asservissement ? Ce paradoxe met en lumière la complexité des relations de l’homme avec le travail. A une époque où le machinisme est remis en cause, un siècle après Marx, on peut se demander si l’homme parviendra réellement à se libérer du travail et, dans l’affirmative, si cette évolution est souhaitable ? Etudions tout d’abord dans quelle mesure le travail se révèle une contrainte douloureuse, un impératif source de souffrances

conception très ancienne, on parlait de cité, la cité étant synonyme de l’état. Il y a plusieurs moyens pour classer des personnes, en l’occurrence on peut prendre en compte le critère de la citoyenneté. Nos anciens, les romains, grecs et même avant, faisaient déjà des différences en ce qui concernent les personnes, les citoyens, selon les pays par critère de liberté, si ces personnes sont libres ou pas. Il y a toujours, qu’on le veuille ou non, une hiérarchisation des statuts car juridiquement tout homme