Peut On Croire Sans Raison

posséder. La liberté est une notion philo, politique, et poétique. Rq2 : La liberté est une valeur qui donne un sens à l’existence humaine. La vie perdrai son sens si nous cessions de nous croire des sujets libre, des agents, des auteurs de notre destin. Ex : Schopenhauer : « nous avons besoin de nous croire libre de la même manière que notre corps a besoin d’oxygène pour respirer ». Eschyle disait que les Dieux tirent les fils et les hommes ne sont que des marionnettes. Une vie sans liberté nous

complètement erronée au sujet des orphelins du drame du World Trade Center est-elle devenu une légende urbaine ? Cette question qui laisse miroiter plusieurs réponses a été au centre des intérêts des sociologues du XIXème siècle. En effet comment croire des choses alors que nous ne disposons d’aucun moyen de les vérifier. La première explication serait à l’origine de l’influence sociale et de ses logiques propres. En effet par le biais de l’imitation mutuelle, de culture ou de domination sociale

 Peut-on dire « à chacun sa vérité ? » La vérité est une valeur que nous recherchons tous et à qui nous accordons une importance primordiale. Personne n'apprécie avoir tord ou être trompé, et chacun pense qu'il a raison et qu'il dit vrai. C'est pourquoi nous pouvons nous demander s'il est possible de dire « à chacun sa vérité ? ». Pouvons-nous dire que chaque personne a raison en ce qui concerne son propre point de vue ? Ici, le problème posé est un problème de possibilité. Afin

interroger sur la raison d’être du travail. Que gagnons-nous à travailler ? Pourquoi travaillons-nous et qu’est ce qui nous pousse ? Qu’est ce que les hommes gagnent à travailler ? Ne pourraient-ils pas opter pour la paresse et arrêter de travailler ? Après tout si l’on perd plus que l’on gagne à travailler n’est-il pas préférable de choisir cette option plutôt que n’importe quelle autre ? Cette interrogation est importante car elle nous demande de nous interroger sur la raison d’être du travail

biographiques sur le Che, sur les documents utilisés dans classe et sur l'actuelle situation en Cuba. Son seul vrai tort, je pense, aura été de croire autant en l'être humain en faisant sa révolution. Il a rêvé d'un idéal, il a voulu l'appliquer, il a voulu croire ce en quoi croyait Marx, il a voulu croire au partage, à la vie libre et il a voulu croire à la solidarité comme seul et unique fondement d'une société. Il est mort en martyre au nom d'une idéologie bien trop belle pour être humaine..

relire… Si parfois l’évidence est trompeuse, la certitude est le fruit d’une activité de la raison afin d’écarter tout doute possible. Nous pourrions dire alors qu’heureusement nous doutons ! Car ce doute est bien le signe de la présence, de l’action de la pensée qui poursuit sa finalité : la connaissance et la vérité. Comme l’affirme Alain : « Le doute est le sel de l’Esprit… le vrai c’est qu’il ne faut jamais croire et qu’il faut examiner toujours. » Le doute est donc utile si l’intelligence ne se laisse

d’enfermement à la liberté. La sortie de la caverne peut être aussi perçue comme la découverte douloureuse de la réalité. Etapes du texte : 1) La caverne : ignorance et enfermement (décors, conséquences)  « c’est de toute nécessité » 2) La libération douloureuse  « du moins dès l’abord » 3) L’accoutumance patiente du regard  « de cette façon-là » 4) La redescente dans la caverne : le risque de l’incompréhension et de la mort. Ce texte peut être perçu comme une métaphore de la condition humaine

Le besoin humain de se rattacher a dieu : Afin de bien introduire ce sujet qui certes peut être délicat a aborder pour certaines personnes qui pour moi sont trop affectifs pour ceci , mais bon laissons ca a une autre soudaine envie d’écrire  . On citera donc Freud a qui on réfère généralement la psychologie mais ses idéaux sur le sujet concerné même si peu connus de son public ont le mérite d’être approfondies .Donc pour ne pas s’attarder Freud est un athée et pour lui l’existence de dieu est sujet

plus qu’humaines. Il nous faudra définir les termes de ce sujet. Tout d’abord, la raison est : si ses déterminations exactes varient d’un philosophe à l’autre, tous reconnaissent la raison comme le propre de l’homme, et comme la faculté qui commande le langage, la pensée, la connaissance et la moralité. Descartes l’assimile au « bon sens » c’est-à-dire à la faculté de juger. Kant distingue le versant théorique de la raison, qui a trait à la volonté de connaitre, et le versant pratique, par lequel l’homme

premier temps, nous verrons en quoi un être libre est imprévisible, puis dans un second temps, nous étudierons le fait qu'un être libre ne peut tout de même pas être absolument imprévisible, pour enfin dans un dernier temps, nous pencher sur la portée morale du déterminisme, en nous posant la question de savoir si nous avons vraiment le choix de croire ou ne pas croire en l'imprévisibilité. Nous allons donc essayer dans cette partie de cherchez en quoi un être libre est un être imprévisible. L'imprévisibilité