Peut On Désirer Ce Qu On Ne Connait Pas

importante dans le texte, il ponctue le poème par sa voix. Le poème semble ainsi être délivré au lecteur avec les commentaires de son auteur. Ponge joue beaucoup sur l'implication de son lecteur pour aider à la perception de son poème. On retrouve un désir d'implication qui est traduit par l'emploi de généralités visant à créer un lien entre le poète et le lecteur qui les met au même niveau: "(tout le monde (…)". La présence de nombreux pronoms de la deuxième personne du pluriel permet également de créer

psychisme. Normal et pathologique: Comment peut le définir ? PATHOLOGIQUE : maladie. Empêche le développement classique Discontinuité NORMAL : plus difficile à définir. Référence à une question de norme, de conformité, c’est une question de statistique. La psychopathologie travail sur le normal/pathologique. C’est même une question cruciale en psychopathologie. On ne trouve pas de définition simple et définitive. On ne peut se concevoir indépendamment : ▪ de nous

semble une évidence tant ils sont compréhensibles, humains... Car si tous semblent désirer sans fin (Nora pour la plupart, dont on ne cesse de chercher à comprendre d'où vient son pouvoir d'attraction), aucun ne semble capable de prendre une décision. Aucun n'a la volonté ou le courage de mettre fin à sa souffrance, et même pire, chacun a trouvé pour seule échappatoire de faire souffrir à son tour ceux qui l'entourent. Peut-être pour équilibrer la balance sadisme-masochisme de toutes ces relations bancales

Peut-on ne pas vouloir rechercher la vérité ? Pour vivre , l'homme a besoin de croire. Ces croyances sont des vérités qu'il se fait à tort, ce sont comme des certitudes issues de sa propre réalité. Il y a aussi, cependant, l'homme qui préfère rester dans l'ignorance , par crainte ou refus de la vérité. Pourtant la vérité reste un sujet dont tous les hommes se soucient, ils sont épris de la volonté et du désir de savoir. Aristote a dit que tous les hommes naissent et possèdent naturellement le

système féodale étant stabilisé et des institutions de paix s’étant développées (la paix de dieu et la trêve de dieu), le royaume de France connaît une forte croissance démographique, de plus grâce aux croisades le commerce est en pleine expansion, le système féodale connaît donc des mutations sociales et économique, ces changements sont aussi du à un certain un désir d’émancipation urbaine. En effet à partir du XIIème siècle grâce à la multiplication considérable des échanges, les habitants des bourgs

dire quel est ce pb ici : le problème est celui de la non-coïncidence entre conscience et connaissance : puis-je avoir conscience de moi-même, de mon existence, sans savoir qui je suis ? sans me connaître ? - On développe ce pb autant qu’on peut : ça s’appelle une problématique : puis-je être à la fois conscient, par la capacité de penser qui est en moi, et donc savoir avec certitude que j’existe et me saisir par la seule pensée et être en même temps dans l’ignorance de moi-même, càd de ce

n’est peut-être pas satisfaisante : elle semble impliquer l’existence d’un raisonnement incompatible avec l’immédiateté avec laquelle je reconnais autrui comme un autre moi. Y a-t-il une autre manière de penser autrui, plus proche de notre expérience ordinaire ? Pour répondre à ce problème, nous examinerons tout d’abord a connaissance que nous semblons avoir d’autrui à partir de nous-mêmes, pour soumettre ensuite cette analyse à une critique sévère. Il nous restera à déterminer alors s’il peut exister

un manque de quelque chose. Ce manque revient au désir. Celui-ci est défini par un manque ou une production. Le désir est manque comme le dit Schopenhauer où je cite « Le désir est un manque engendrant la souffrance ». L’homme désire par un manque. Le désir et le manque sont donc liés. Mais le désir est aussi producteur, il permet de rendre un objectif à notre existence, Deleuze dit qu’il « produit du réel et étreint la vie. On ne peut désirer que lorsqu’on manque. Du latin « desiderare » et «

vérité ? Problématique : la formulation du sujet peut étonner. La vérité est une valeur de la connaissance, relevant du domaine de la science ; la notion de devoir est une valeur de l’existence, relevant du domaine de la morale ou de l’éthique. Donc l’idée d’un devoir de chercher la vérité peut paraître étrange, d’autant qu’on recherche la vérité en science et ailleurs. Il y a un désir de vérité, un devoir éventuel de la dire quand on la connaît mais pourquoi un devoir de la chercher ? Pour comprendre

questions posées par Philinte destinées à Alceste « Qu’est-ce donc ? Qu’avez-vous ? » (v. 1), tandis qu’Alceste lui répond par de le l’impératif « Laissez-moi, je vous prie. ». On peut donc voir qu’un problème se pose dès le début. Alceste reproche à Philinte d’être courtois avec tout le monde même quand il ne connait pas la personne. Philinte, lui, rétorque qu’il obéit simplement au code social. Cette entrée nous donne envie de connaitre la suite des évènements, d’en savoir plus sur leur dispute