Peut On Fonder La Morale Sur Les Sentiments

sachant se fixer certaines contraintes. On peut néanmoins se poser une question sur la nature des désirs qui nous guide. Ne désirons-nous que les choses que nous estimons bonne ? L’homme est un être conscient qui au cours de son existence est à la recherche du bonheur, pour y accéder l’homme va recourir à l’acquisition de choses qui lui semble bonne, qui le rapprocherait de son bonheur et l’aiderait à rendre son existence meilleure. Néanmoins on peut se demander sur quoi l’homme se base et si son

Cours morale et politique: « peut-on désobéir aux lois ? » 1 On peut d’abord partir d’une définition très générale du mot de « droit » : le droit c’est la latitude de liberté que vous laisse la loi à l’intérieur d’une société gouvernée par un Etat ; le droit limite nos libertés afin qu’elles ne se détruisent pas l’une l’autre (sous-entendu : la liberté sans limite mène au chaos ; homme = non naturellement sociable, etc.). Fonction : ordre social. Nécessité sociale. Le droit à travers la loi

Lille) Morale et politique de l’amour dans Hernani Hernani est-il une pièce d’amour1 ? La réponse à cette question ne va pas tout à fait de soi. D’un côté, il est bien évident qu’Hernani parle d’amour, que les enjeux amoureux constituent un élément central de l’intrigue, que la passion amoureuse se dit à de nombreuses reprises. De l’autre côté, on a d’emblée quelques raisons de penser que l’amour n’est pas le sujet de la pièce – c’est-à-dire ni son sujet unique, évidemment, ni peut-être son

Romancier français, né à Rouen le 12 décembre 1821, Gustave Flaubert s’était tout d’abord destiné à des études de médecine, suivant ainsi les traces de son père et de son frère aîné ; or il s’aperçut bientôt que l’observation des phénomènes de l’ordre moral convenait mieux à ses aptitudes, et il cessa ses études scientifiques pour se tourner vers la littérature. Avide de découvertes, Flaubert voyagea beaucoup avec son compagnon de route et ami M. Maxime Du Camp : en Egypte, en Nubie, aux bords de la mer

| Liberté: Sentiment intérieur très simple que l'on va ressentir à tout moment (en parlant, en marchant, etc...). Descartes, Principes de philosophie, I, §39: «La liberté se connaît sans preuves par la seule expérience que nous en avons». C'est la vie qui me permet de savoir que je suis libre, je sais de manière intuitive que je suis libre. La liberté ne se prouve pas mais elle s’éprouve. Problème: Peut-on se fier au sentiment de liberté? Le sentiment suffit-il à prouver

La conscience morale Introduction Si l‘homme agit souvent d’une façon instinctive automatique, il agit parfois d’une façon volontaire, libre et réfléchie, en prenant conscience des fins qui déterminent son action. Mais les fins possibles sont multiples. Comment devrons-nous alors choisir ? Que devons-nous faire? Pour répondre a ces questions il nous faut préalablement savoir : Pourquoi sommes-nous tenus à choisir ? Quels sont les facteurs qui déterminent ce choix? D'où est ce que ces facteurs

l’a trouvé de « Je rêvais donc » jusqu’à la fin de la tirade. Dans ce premier mouvement, Marguerite n’a pas un discours construit. Elle juxtapose les phrases donnant ainsi à ses paroles un rythme rapide et vif qui confère l’impression que ses sentiments explosent. En effet, Marguerite apparaît énervée, elle exprime, rapidement ce qu’est l’enfer de sa vie et son malheur. « Pourquoi ? Tu veux le savoir ? » Ces deux questions qui commencent la tirade montrent une sorte d’agressivité chez Marguerite

constitué par des objets qui l’entourent, il contient d’autres hommes dont il doit tenir compte dans son action. L’homme n’est pas fait pour vivre seul. Il a besoin des autres non seulement dans l’entraide et la coopération, mais aussi pour partager le sentiment d’exister. Son jugement, ses découvertes, ses émotions n’ont de significations et de valeurs que si d’autres peuvent aussi les éprouver ou les confirmer. Ils n’ont de valeurs que si d’autres peuvent aussi en être les témoins ou les garants. Aussi

Texte 3 : L’INTROSPECTION Texte 1 L’incipit. Texte 2 La rencontre au bal. Texte 3 L’introspection. Texte 4 Les barricades. « Demeura seule » Intimité des sentiments. « Sitôt » immédiateté. « Qu’elle ne fut plus soutenue » elle reconnaît l’amour qu’elle lui porte. « Ce que l’on aime » généralisation caractéristique du classicisme. « Comme d’un songe » elle ne sais pas le vivre en réalité, elle l’idéalise. 4 pauses : « Regarda » elle s’analyse, elle sait prendre du recul sur elle

le problème du texte, en rapport avec la notion traitée, en justifiant cette question (dire pourquoi la question se pose)! On peut par exemple poser comme point de départ l’opinion commune concernant le problème en question. - il faut éviter par exemple de multiplier inutilement les questions dans une énumération: il y a toujours un problème central à partir duquel on peut enchaîner les questions - il faut, au cours du développement, montrer l’unité du texte. C’est-à-dire que le texte traite une