Peut On Gouverner Sans La Violence

colle de français pouvoir et violence.docxCapon Léni Français ECG 1 Pouvoir et violence Il existe des pouvoirs violents, c'est un fait. Dans un régime dictatorial, le pouvoir du souverain est nécessairement violent dans la mesure où les gouvernés subissent l'autorité sans pouvoir la contrôler, ni l'infléchir, ni la refuser. De même, celui qui est l'esclave d'un autre ne peut que subir la violence que son maître exerce sur lui en vertu de son pouvoir. Par "pouvoir" on entend

avec la réalité. Les rapports entre les Etats sont des rapports de violence et de guerre. Les politiques intérieurs ou extérieurs sont en total décalage avec « les discours insinuants » des moralistes. Le réel est la barbarie. Le barbare est alors le philosophe et non le soldat (OXYMORE). C’est le moraliste, par ses écrits, qui se trompe totalement sur la réalité ou alors tente de falsifier la réalité en donnant à la violence un air de légitimité. L’objectif de la philosophie est de penser le

lieu idéal de justice et les moyens pratiques et théoriques pour atteindre cette vocation de la politique qui est d'assurer la sécurité et l'épanouissement des citoyens. Quand vient l'heure de choisir le type de pouvoir qu'on souhaite voir gouverner l'Etat, l'on peut hésiter entre le régime qui s'accorde toute la puissance ou celui qui la rejette entièrement en donnant à l'individu dans la cité, une liberté absolue. Cette constatation recommande qu'on retrouve la doctrine qui incarne mieux les aspirations

La liberté peut désigner le pouvoir de faire ce que l'on veut au sens de ce que l'on désire; la liberté est ici le règne de la spontanéité de mes désirs capricieux sur ma volonté. La question « Faut-il apprendre à être libre ? » semble paradoxale : selon le sens commun, l’idée d’apprentissage suppose un effort, une discipline, une contrainte. Apprendre est de l’ordre de l’acquis. Au contraire, la liberté semble naturelle, spontanée, dégagée de toute contrainte. Ainsi, si l’on a besoin d’apprendre

à feuilleter le livre, et fut frappé comme d’une lumière qui en sortit toute nouvelle à ses yeux. Il entrevit une science dont il n’avait point d’idée, et sentit qu’elle lui convenait. Il acheta ce livre, le lut avec empressement, et, ce qu’on aura peut-être peine à croire, avec un tel transport qu’il lui prenait des battements de cœur qui l’obligeaient quelquefois d’interrompre sa lecture ».). Il en est extasié et se consacre dès lors à la philosophie. En 1674, il publie le traité philosophique et

genre très codifié, donc quel genre, sous-genre est présenté ici : classe sociale des personnages = paysans, donc comédie, mais roi, donc tragédie, mais roi indigne, donc comédie ? Farce tragique ? Vu le langage grossier dur oi Ubu, farce, vu la violence du propos et de l’action, tragédie ? 800 morts évoqués, donc tragédie ? Bataille en scène, donc drame ? ou farce ?  -la question préalable permet donne le thème : quelle image du roi donne l’extrait ? Réflexion sur la question de la monarchie, de

éthique, un monde gouverné par de justes lois, un monde où règneraient l’égalité et la concorde, où tous se reconnaitraient les uns les autres. Mais ce sont là pour certains des rêves. De tels rêves ne masqueraient-ils pas la réalité des rapports des hommes entre eux, nécessairement conflictuels, cruels ? Serait-ce par sa présence seulement que l’autre susciterait de tels rapports ? Par sa présence ou par circonstance : pour des motifs particuliers ? La violence est partout : Peut on se prévaloir

A propos de quels faits de société peut-on dire que le Gouvernement réussit à améliorer (à moraliser) la population ? Les violences faites aux femmes ; le racisme ; l’antisémitisme ; l’homophobie ; etc. A quelles fonctions serapportent la primature ? Les fonctions de Premier ministre A quelles occasions semble-t-il que « la peur du gendarme » n’a point d’effet dissuasif ? Lors de la dispersion de manifestants ; dans les relations avec les extrémistes, les kamikazes. A quoi incite la loi Coluche

plus en plus grandissante des rapports entre gouvernants et gouvernés, phénomène du contrat social. 16ème siècle en France on va avoir une somme avec la notion lois fondamentales du royaume, qui s'impose également au monarque. Ce mouvement d’écriture et d'introduction de règle de droit en gouvernant et gouvernés va trouver sont d’ordre lors des constitutions ( états unis ) première constitution du contrat entre gouvernants et gouvernés. Cette tradition trouve sa concrétisation dans révolution américaine

d’éviter la guerre. Mais je (Machiavel) réponds qu’il ne faut jamais laisser arriver un désordre afin de fuir une guerre », parce que si on ne la fait point, on ne fait en réalité que la différer et en reporter les dommages dans le temps. Ainsi l’auteur peut tirer sa conclusion, qu’il juge lui-même « presque infaillible », « que le prince qui en rend un autre puissant, se perd lui-même. Car celui qui est devenu puissant se défie toujours de l’industrie ou de la force de celui qui l’a rendu tel. » .