Peut On Juger Les Autres Cultures

 intellectuelle  qui  consiste  à  juger  les  ouvrages  de  l'esprit,   les  œuvres    littéraires,  artistiques  en  leur  attribuant  des  concepts  esthétiques  :  certains  iront   jusqu'à  dire  que  c'est  l'«  art  »  d'appliquer  des  critères.  En  quoi  pourra-­‐ce  être  une  science  ?   Elle   vise   à   juger   les   d'œuvres   art,   elle  

traitera du besoin de l’autre pour exister pour tout un chacun: pourquoi a-t-on besoin des autres ou pourquoi n’en a-t-on pas besoin et comment considérer chacun de ses arguments. S’il va sans dire que d’autres, à savoir en premier lieu nos parents, sont à l’origine de notre venue au monde, il est intéressant de chercher plus loin une réponse à ce besoin d’autrui. Tout d’abord, l’homme a besoin de ce que les autres lui apportent. Il a besoin qu’on s’occupe de lui, dès la naissance et tout au long de

Commentaire de texte –KANT - Critique de la faculté de juger §7 Le texte de Kant que nous allons commenter est extrait de la première section de la Critique de la faculté de juger analytique de la faculté de juger esthétique, livre I : analytique du beau. C’est un extrait du §7. L'Analytique du beau se propose de dégager les éléments ou caractères constitutifs de toute appréhension de ce que nous considérons comme beau. Dans l’extrait étudié Kant examine le jugement de goût selon la quantité.A

grecs appellent la nature Est-ce que l’on peut mettre à part dans la nature ? Ou alors, faut il dire que l’homme est un être comme les autres, et qu’il faut donc le loger à la même enseigne ? Si l’homme est hors de la nature, il appartient donc à la nature. Culture : l’art, la philosophie, tout ce que l’homme a crée de lui-même, et qui ne revient pas à la nature. Donc l’homme vivrait hors de la nature, dans la culture. Nature →innée Culture →acquise Si on prend le sens n°2 → l’homme

veut former pour quel sujet de société. L' école ne peut et ne doit se contenter d'instruire mais d'éduquer à l'autonomie et au vivre ensemble. Les problèmes relatifs à l'éducation sont des problèmes majeurs de notre temps et dont nombreux philosophes ou auteurs tels Montaigne, Érasme, Rousseau ou Rabelais se sont penchés sur la question : Qu'est ce qu'une bonne éducation? L'idée principale sortant communément de leur récit est que la culture générale doit prendre une part dans l'éducation et ce

dialogue ouvert entre les cultures peut conduire à des résultats durables. La diversité culturelle devrait être un atout, et non une menace, à condition d’avoir l’envie d’une entente avec l’autre. Car la culture de chacun est une chance. C’est une source de renouveau au service du développement et de la paix. A nous d’en faire une source d’échange qui doit mener à une liberté commune et à une envie de découverte, et non une adversité ou un moyen de désunion. Elle peut être envisagée aussi en

constamment faire des choix et prendre des décisions. Pour cela il faut délibérer. L’homme vital est en nous, mais il est soumis à l’homme mental. Il ne peut pas nier sa propre conscience et sa pensée. Et cet homme qui pense a besoin de repères du bien et du mal, de principes sûrs de ce qui est bien ou de ce qui est mal. En d’autres termes, pour juger, il nous faut des critères. Mais où les trouver ? Sur quels critères nous appuyer pour distinguer le bien et du mal ? *   * * A. Morale et tradition

réflexion nouvelle sur la culture occidentale. Le texte à étudier illustre tout à fait le concept clé de l'auteur, et le chapitre 3 dont il est extrait porte le même nom : « l'ethnocentrisme ». Celui-ci consiste à faire de sa propre culture un modèle, et à rejeter hors de la culture en général tout ce qui ne rentre pas dans la sienne. Lévi-Strauss part d'un constat : c'est une attitude communément partagée de répudier spontanément ce qui n'appartient pas à sa propre culture. L'auteur va montrer ensuite

nécessairement leurs utilité, sans que l'on sache si ils nous amèneront réellement à notre but. Alors on peut croire que le croyant se penche sur sa foi et laisse peu de place à la raison, la capacité à bien juger et à connaitre. L'opposition entre l'objectivité de la raison et la subjectivité de la croyance religieuse laisse difficilement imaginer que ces deux notions peuvent se concilier. Pour autant, peut-on réellement affirmer qu'en devenant croyant, on abandonne toute idée de raison ? N'y a t-il pas

fait. Chez Platon, on trouve l’idée de souvenirs inconscients de la vérité contemplée dans une autre vie (théorie de la réminiscence). Leibniz (1646-1716) a formulé la thèse des « petites perceptions » inconscientes : « Il y a mille marques qui font juger qu’il y a à tout moment une infinité de perceptions en nous… c’est-à-dire des changements en l’âme même dont nous ne nous apercevons pas » (Essai sur l’entendement humain). La notion d’inconscient est ici en place, mais elle n’est pas encore conceptualisée