Peut On Renoncer A La Culture

le stoïcien, la vertu consiste à connaître la nature et vivre en harmonie avec elle. Ce fondement repose ainsi sur la dialectique, sciences des choses vraies, fausses ou ni l’une ni l’autre, qui serait notre unique possibilité d’apprendre correctement. Il existe une vertu logique. La physique est quant à elle l’étude de la nature (univers, monde et réalité) constitué par les quatre éléments (air, terre, eau et feu) qui n’est en fait que Dieu lui-même, ce qui laisse à penser que Dieu n’est pas exclu

désir, sinon une expérience de ce qu’il nomme liberté. Le concept est cependant difficile à définir : il concerne des domaines différents. Etre libre, c’est être dans l’incapacité d’être dominé par un homme et d’en dominer un autre. Dans l’opinion général, un monde utopique serait un monde ou chaque individu pourrait faire ce qu’il désir, sans contraintes, qu’elles soient politiques, sociales, ou même intérieures à nous même. Cependant, cette vision des choses est concrètement impossible. En effet,

Etre raisonnable est-ce renoncer à ses désirs ? L’homme de par sa nature est un être de manque, il peut se définir par ses besoins primaires, naturels auxquels il ne peut échapper (se nourrir, manger, dormir) mais il se distingue des animaux par ses désirs spirituels. En effet en plus de vouloir combler ses besoins l’homme à cette capacité à désirer ce qui est superflu et inutile à sa survie. Il transforme ses besoins en désirs (se nourrir & gastronomie ; le sexe & l’érotisme etc.) ou désire ce

réduit les valeurs morales à des valeurs sociales, on ne peut plus penser un bien et un mal qui auraient une valeur universelle. Dans ce cas, tout système de valeur ne vaut plus que pour une civilisation particulière. Ce qui est bien dans une société ne l'est pas dans une autre et il devient impossible d'exercer un jugement valable absolument. Poser la question. C'est pourquoi on doit s'interroger: le bien et le mal sont-ils des valeurs conventionnelles? Annoncer le plan à l'aide de quelques questions

La question peut, à première vue, semblée curieuse. En effet, une vérité est une affirmation conforme à la réalité qui, pour être considérée comme telle, doit être valable universellement : tout le temps, partout et pour tout le monde. Le fait qu’elle soit définitive est impliqué par sa définition même. Une vérité qui changerait avec le temps ne serait qu’une opinion provisoirement considérée comme vraie, c’est-à-dire seulement vraisemblable ou probable, et donc pas réellement une vérité. Mais disposons-nous

ne culture peut-elle être porteuse de valeurs universelles ? (esquisse) Le concept de culture est polysémique mais quand on parle d’une culture on entend par là ce qui la distingue des autres . En effet, une culture possède des caractères qui lui sont propres et qui constituent son identité . Ainsi, la langue, la religion, des mœurs, l’état de son développement technique, ses arts constituent ses signes distinctifs . Quant aux valeurs universelles, elles désignent des idées , des principes

Construire la problématique d’un sujet L'homme ne désire-t-il que ce dont il a besoin ? Sommes-nous responsables de nos désirs ? Etre raisonnable, est-ce renoncer à ses désirs ? Désirer et vouloir sont-ils synonymes ? ( propositions de solutions, voir page suivante ) L'homme ne désire-t-il que ce dont il a besoin ? Reformulation : l'objet vers lequel tend consciemment l'être humain et qu'il se représente comme source de satisfaction est-il uniquement ce qui lui est nécessaire, ce que

------------------------------------------------- Peut-on juger sa propre culture ? Dans ce devoir nous allons parler de la culture en répondant à la question qui suit. Peut-on juger sa propre culture ? La culture se définit par tous les éléments de la vie humaine qui sont transmis par la société, acquis par l’éducation qu’on reçoit par héritage culturel. Au sens philosophique, la culture c’est ce qui s’oppose à la nature, comme acquis s’oppose a inné et héritage s’oppose à hérédité. Dans une première partie

comment, nous qui vivons à un moment donné du temps, dans un lieu précis de l’espace, qui avons une histoire particulière, une culture particulière, pouvons avoir accès à une vérité universelle ? Il faudrait alors soutenir que la vérité est relative ; sans subjectivité on parlerait seulement des causes invisibles du monde visible et non pas des mouvements visibles parce que tout ce qui est logique n’est pas forcément réel. Pourtant, ce serait renoncer à la certitude et donc à la vérité parce qu’il existe

entre les hommes et la culture. En effet l’absence de culture provoque un sentiment douloureux pour l’inculte, elle est à l’origine d’une misère intellectuelle qui empêche l’homme «sans culture» de devenir homme. D’autre part, se cultiver constitue un devoir pour l’homme, afin qu’il puisse accéder à lui même et au monde, auquel il doit être capable de se plier.     Mais l’apparition de la pensée sociologique va apporter un dénigrement généralisé de la culture. Elle est d’abord à l’origine d’une délégitimation