Peut On Se Connaitre Par Introspection

dépeindre tant ses défauts que ses qualités, par contre, il ne cherche pas à « s'élever au dessus de la masse. », comme il le dit dans ses Essais. Par ailleurs, en écrivant ce genre de littérature, l'auteur entreprend une introspection et apprend de ce fait, à mieux se connaître. Nous pouvons notamment retrouver cela, de nouveau, chez Rousseau, lorsqu'il cherche ce qui construit son bonheur. Il analyse sa chute -causé par un chien- qui lui a fait perdre connaissance, et qualifie cet accident de moment

file:///C|/Documents%20and%20Settings/pierre/Mes%20documents/Copie...ite%20GREX/textes%20vermersch/introspection%20comme%20pratique.htm L'introspection comme pratique Pierre Vermersch CNRS URA 1575 LCP ( version française d'un article à paraître au Journal of Consciousness Studies ) Comment accéder de manière réglée à l'expérience subjective ? Comment développer une expertise de l'acte par lequel je peux la connaître ou la reconnaître et fonder une véritable méthodologie reproductible à laquelle il soit

Introduction Lorsque l’on pose la question « qui suis-je ? », on espère, à travers la réponse, obtenir des informations qui vont me permettre de me connaître. Me connaître, connaître quelqu’un en général, c’est d’abord être bien informé sur la personne : connaître ses pensées, ses sentiments, mais aussi son histoire, son passé, au point, d’ailleurs, que cette connaissance, si elle est bonne, devrait même nous permettre de prévoir les réactions et actions de la personne en question. Alors, n’est-il

courant pour expliquer Etre humain : - la Psychanalyse : basé sur des concepts abstraits, approche sur la souffrance humaine, et la manière dont la structure psychologique gère la souffrance. - le Behaviorisme : « comportementalisme », ne peut pas étudier l’esprit Humain → pas directement observable. Mais il étudie le comportement de l’être humain. - Le cognitivisme : ce qui se passe dans le cerveau, les fonctions supérieurs ex : mémoire …), base biologique. - L’analyse systémique

Les hommes sont depuis toujours convaincus de se connaître, et pensent que rien ne peut leur échapper. Selon Descartes, la conscience est d’ailleurs la clé de tout, et l’homme est ainsi conscient non seulement de lui même mais aussi du monde dans lequel il évolue. Cependant en 1885, le docteur Sigmund Freud, psychanalyste et neurologue, remet en question le raisonnement de Descartes en démontrant que notre esprit possède également une partie inconsciente. En affirmant que « Le « ça » est la partie

ce « je ». Si la prise de conscience répond à la question « suis-je ? », elle peut aussi répondre à la question « qui suis-je ?», comment alors parvenir à cette prise de conscience, à cette connaissance de soi la plus authentique et complète possible ? En effet, le problème est de savoir si, dans ce processus, l'on a besoin d'autrui ou si l'on a besoin de la solitude pour prendre conscience de soi, et mieux se connaître, à moins que cette conscience et cette connaissance de soi ne soient qu’illusoires

Pouvons-nous connaître autrui autrement qu’à partir de nous-mêmes ? Quand nous rencontrons un ami, nous nous comportons immédiatement comme si nous avions affaire à une personne intelligente, raisonnable, capable de sensations et de sentiments, en tous points semblables à nous-mêmes. Autrement dit, immédiatement, nous voyons en lui un autre moi, en latin un alter ego. Pourtant, comment puis-je savoir qu’autrui est un autre moi ? La réponse la plus simple est la suivante : je me représente autrui

de soi. Or, s'il ne fait pas de doute que la conscience permet de savoir que l'on est, il n'est pas assuré qu'elle favorise nécessairement la connaissance de ce que l'on est. Autrement dit, le fait d'être conscient de soi induit-il le fait de se connaître soi-même ? En un sens, la conscience favorise la conscience de soi-même mais cette perception est elle réellement objective ? Comment réussir à faire coïncider ce que nous sommes vraiment avec ce que nous avons conscience d'être ? Chacun aspire

devenir et non un être dc on peut passé sa vie entière à se chercher. D'où vient la certitude de l'identité perso ? Est-elle peut-être illusoire ? Cette illusion peut être atténué ? I/ Identification entre conscience de soi et connaissance de soi : >Expressions communes : '' J'ai ma conscience pour moi '' , je connais mes limites ''… , je peux me voir de l'intérieur grâce à la méthode introspective. >Intro/spection ( regard/intérieur) = regard que chacun peut porté à l'intérieur( de lui

Terminale L2 Dissertation de philosophie Suis-je le mieux placé pour me connaître ? Spontanément, on pourrait admettre que je suis le mieux placé pour me connaître. La question suggère que je suis le seul capable d’analyser, d’étudier ma personnalité. C’est donc le regard et l’étude de moi sur moi qui révèle l’absolue intimité que j’ai avec moi même. Mais est-ce vraiment moi qui suis capable de me connaître ? Il y a en effet dans la connaissance une notion d’objectivité, on sort