Peut On Vivre Sans Passion

La passion amoureuse - la fatalité - l'aveu - la culpabilité «ni tout a fait coupable ni tout a fait innocente» Phèdre n'est pas coupable de sa passion pour Hippolyte. Elle est privée de son libre arbitre par Vénus – la déesse de la passion amoureuse – qui se venge du soleil sur ses descendants. «On ne peut rien changer à son destin. » (Esope) C'est dans son comportement, la manière dont elle appréhende cette passion qu'on peut lui faire des reproches.  Phèdre tente d'abord de résister a sa passion

Mieux vivre avec la philosophie Philosophie des émotions Les sages nous aident à en faire bon usage Jean Frère Vivre sereinement ses émotions : la voie des philosophes Où situer la joie de vivre ? Comment donner un sens plus juste à nos mille émotions, désirs, passions ? Pour avancer sur ce chemin, laissez-vous emporter par le tourbillon des turpitudes affectives mis en scène par les héros tragiques puis analysé par les philosophes de l’Antiquité. Partez sur les traces de la colère d’Achille

disparition de l'autre ou d'une famille entière ? Situer l'auteur : Gayle Forman est une journaliste américaine née en 1970,auteur de plusieurs roman. Elle a reçu de nombreux prix pour ses articles, « Si je reste » est un livre original qui peut s'adresser à tous les publics. Son métier de journaliste lui permet de maitriser l'écriture rapide. Des phrases courtes, très descriptives donnant un vrai souffle à ce roman haletant dont on a du mal à se dessaisir. Dans un premier temps nous pouvons

l’assouvissement de plaisirs et à l’immoralité . En effet, alors qu’ils viennent de se procurer une petite maison en province à Chaillot, M ne tarde pas à exprimer son souhait de retourner à la ville. Mais pour vivre cette vie fastueuse, il faut de l’argent à tout prix . M n’hésite pas à vendre son corps. Les plus riches sont aussi critiqués car ils n’hésitent pas à profiter de la pauvreté

venue du ciel, c’est-à-dire de Dieu, est sans doute infinie, ce qui explique son adaptabilité à tous nos états intérieurs : notre «passion » (L. 13) est changeante don si elle est changeante, notre capacité à concevoir ce qui est absent va s’adapter à notre nouvelle passion. On voit à ce propos combien l’homme selon Rousseau est un être dépendant de ce qui le passionne et de la nature. Or nous nous demandions tout à l’heure si l’homme était « avide et borné» (L. 8) en raison d’une malédiction divine

question non anodine dans notre société : on ne semble plus que jamais faire du bonheur un impératif (le bonheur, le bien être, c’est la valeur de notre société de consommation ≠ sacrifice individuelle au nom d’une cause qui nous dépasserait) Cela renvoi peut-être au mythe volontariste du sujet moderne pour lequel le malheur signifie son premier écher. Or, en réaction contre cette course effrénée au bonheur, on pourrait se tourner vers une pensée de la mesure et de la tempérance. A) la réponse d’Epicure :

paragraphes du chapitre « La morale, une anti-nature » extrait du Crépuscule des idoles, Nietzsche nous a expliqué que selon l’Eglise les passions sont une bêtise, qu’elles tirent les hommes vers le bas et que pour cette raison il faut les éradiquer. Cependant, en allant contre les instincts de la vie, la morale chrétienne va à l’encontre même de la vie. « Attaquer les passions à la racine, cela revient à attaquer la vie à la racine ; la praxis de l’Eglise est hostile à la vie » nous dit-il dès le premier

originaire d'Algérie, sur le caractère juste de la lutte pour l'indépendance menée par le FLN en dépit des attentats terroristes frappant les populations civiles, il répond clairement : « En ce moment, on lance des bombes dans les tramways d’Alger. Ma mère peut se trouver dans un de ces tramways. Si c’est cela la justice, je préfère ma mère. »34. Cette phrase, souvent déformée, lui sera souvent reprochée. Il suffit pourtant de comprendre, au-delà du fait que Camus vénérait sa mère qui vivait alors à Alger

nature est un individu jaloux de sa distinction. La rivalité, la méfiance et la fierté, qui manifestent un souci extrême du profit, de la sécurité et de la réputation personnelles sont les passions nécessaires de tout un chacun. La conduite de l’homme résulte d’un jeu de forces mécaniques et d’une soumission aux passions, lesquelles le tiraillent au point que l'homme devient à la fois source et objet de violence. Il cherche à se rendre maître d’autrui, à le conquérir par la violence ou par la ruse. Cet

PLAN A. Une réflexion sur le pouvoir : " Mais il ne s'agit plus de vivre, il faut régner " (v. 1162). Titus qui devient empereur doit faire " son devoir " . La pièce pose d'une façon moderne le problème de la responsabilité collective. Etant responsable de son peuple, Titus n'est plus libre. B. Une étude de l'amour : trois personnages aiment et sont prêts à mourir parce que leur passion les rend insatisfaits. C'est le mécanisme Eros-Thanatos que l'on retrouve dans toutes les tragédies de Racine